Que cet homme est fatiguant. J'ai aimé ce livre, vraiment. Mais c'est un pavé rempli de disgressions. Dix fois je l'ai fermé d'énervement, dix fois je l'ai réouvert car l'auteur est assez bon pour nous donner l'envie de savoir, de comprendre, et dix fois, je l'ai maudit de me balader ainsi. Il prévient qu'il le fait, il s'excuse de nous perdre avec d'autres sujets. Son style est typique du gars au café qui a un truc à te raconter et qui, une heure plus tard en est encore à te parler de sa grand mère. Sincèrement. J'aimerai lire un autre de ses livres, mais je repousse, à mi-chemin entre la fascination pour ses histoires et la fatigue à l'idée de retomber dans ses salades. Bref, c'est à lire pour se faire un avis, l'intrigue en vaut le coup.
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Thème original pour un roman qui se rapproche du policier. le personnage principal/narrateur fait partie de ces détectives loufoques mémorables et bien sympathiques. Après, le récit est bien trop long et se perd en disgressions ; l'histoire aurait très bien pu tenir en 250-300 pages. de plus, la première moitié est bien plus intéressante/divertissante que la seconde qui se lit bien plus difficilement.
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On pourrait qualifier ce livre de récit journalistique. le style est vraiment particulier, grinçant, avec beaucoup (trop) de digressions, ce qui rend la lecture désagréable. Pourtant l'histoire me semblait intéressante mais j'ai abandonné au 1/3 du livre...
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J'ai lu 100 pages et ne ne savais pas quoi en penser... Puis j'ai été jusqu'à la page 200 et j'ai abandonné !
Trop de digressions, une histoire qui ne démarre pas... Je passe !
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Jaenada, je suis total love.
Il mène ici une enquête historique sur le triple meurtre non élucidé dont ont été victimes le père et la tante d' Henri Girard, ainsi qu'une domestique en octobre 41.
Girard fut accusé puis acquitté. Jaenada nous présente donc l'écrivain du salaire de la peur sous un angle qui nous était inconnu , mais surtout, ça part dans beaucoup de sens, ça digressionne un max, ceci de façon désopilante. La scène dans une station service est très drôle. Son analyse du '' club des cinq '' également.
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Il faut souligner le beau boulot d'enquête, d'investigation et de recherche documentaire de l'auteur/narrateur. L'humour permet d'alléger le fond (3 meurtres) et la forme (635 pages en édition de poche).
La morale de l'histoire est qu'il toujours important d'avoir un bon avocat et de bonnes relations.
J'ai bien aimé dans un premier temps les digressions et les parenthèses de parenthèses mais ça m'a fatigué à la longue et j'ai fini la lecture du bouquin à coup de serpe !
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Impossible de rentrer dedans. Je suis déçue car toutes les critiques sont bonnes.
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