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sur 2161 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce matin, le journal le Monde titre : « Réchauffement climatique : une consultation lancée pour préparer la France à une hausse de 4 °C », me rappelant ainsi au souvenir de ce livre, fini il y a peu. Beaucoup de critiques intéressantes lui sont consacrées ici sur le site. Je ne vais quant à moi m'attarder plus longuement, si ce n'est pour en souligner l'humour, noir, bien sûr et une certaine clairvoyance. Ainsi, page 113, on envisage déjà (en 2021) un monde dont la température moyenne a augmenté de 4 °C par rapport à aujourd'hui. Enfin, il y a la question du nucléaire. Je ne suis pas scientifique, mais cette partie-là interpelle davantage.
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Ce ne fut pas une lecture facile car les thèmes abordés sont compliqués.
Heureusement, le sujet est grave, le réchauffement climatique, mais traité avec humour. Ce qui, au demeurant ne semblait pas facile. Les dessins de Chritophe Blain, bien mis en couleurs par Clémence Sapin, explicitent à merveille le propos.
Mais j'ai quand même été interpellée par le parti-pris évident de Jean-Marc Jancovici pour le nucléaire. Dire que les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima ne peuvent pas se produire en France, car notre méthode est la meilleure, me parait un peu prétentieux.
Maintenant, n'étant spécialiste en rien des thèmes abordés dans la BD, mon opinion a peu de valeur.
Maintenant, à vous de voir.
Bon courage.
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Dans le monde sans fin, Jean-Marc Jancovici nous dresse le constat de la situation actuelle sous forme de dialogue avec Christophe Blain qui réalise la mise en image de cette bande dessinée, somme d'informations intéressantes et vulgarisées.
Ils nous présentent les problèmes liés à la surpopulation, la croissance, la surconsommation, l'alimentation, les transports… et leurs effets sur les grands changements à l'oeuvre : le changement climatique, l'épuisement des ressources naturelles, l'érosion de la biodiversité…

Un des thèmes centraux est la question de l'énergie et de la transition énergétique. Pour limiter le dérèglement climatique conséquence de l'effet de serre d'origine anthropique, le nucléaire reste, dans l'urgence, certes le moyen de produire le maximum d'énergie sans rejet de dioxyde de carbone. Cependant, j'ai trouvé que le choix du nucléaire nous est présenté comme idéal, en minimisant les problèmes et les effets et en argumentant « à charges » contre les énergies renouvelables.
« Les déchets nucléaires ne sont pas un problème technique : ils engagent un choix de civilisation. » Pierre Bonneau et Gaspard d'Allens (Cent mille ans)

Nous vivons un moment charnière et nous sommes entrain d'affecter les conditions d'habitabilité de la Terre. le fonctionnement de notre système est remis en question. « La vitesse à laquelle il faut réformer le système n'est pas compatible avec le maintien d'une liberté individuelle accompagnée du niveau de vie auquel on est habitués aujourd'hui. » Jean-Marc Jancovici.

Un livre pour nous amener à réfléchir et à agir.

« Presque toutes les civilisations qui se sont effondrées étaient prévenues de leur effondrement, mais se sont révélées incapables de se transformer. Réussirons-nous là où elles ont échoué ? »
« C'est le plus grand défi de l'humanité. » Aurélien Barrau.


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Un livre intéressant et pédagogique sur un sujet brulant...

C'est bien fait, les dessins rendent les informations plus absorbables que celles que l'on peut trouver dans les différents rapports environnementaux. Cela permet aussi de nombreuses explications sur des sujets que l'on croit faussement connaitre.

Jancovici a ici le mérite d'assumer des positions qui ne sont pas forcément celles circulant dans le monde écologique.
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Depuis quelques temps, les informations quotidiennes affectent le moral de Christophe Blain, illustrateur de BD. C'est pourquoi il contacte Jean-Marc Jancovici pour que celui-ci l'aide à comprendre le monde dans lequel nous vivons, à affronter la crise écologique qui vient en appréhendant ses mécanismes. Ces deux-là s'entendent si bien qu'ensemble ils entreprennent de réaliser une plantureuse bande dessinée de vulgarisation.
(...)
Tout n'est bien sûr pas à jeter dans cet ouvrage mais les quelques erreurs grossières, voire malhonnêtes que nous avons pu relever laissent planer un sérieux doute sur l'ensemble des données avancées qui nécessiteraient une vérification minutieuse. C'est fort dommage d'autant que bien des passages sont éloquents et intelligemment bâtis, que le constat est relativement juste.
Jean-Marc Jancovici devrait au moins se plonger dans l'oeuvre de Günther Anders ou dans le percutant témoignage de Jérémy Désir-Weber qui, lui aussi, a choisi une autre voie que celle à laquelle ses brillantes études le destinaient, après une prise de conscience écologique. Et les 250 000 personnes qui ont déjà lu cette bande dessinée à ce jour, devraient aussi se procurer sans tarder Oublier Fukushima en guise de complément d'informations.
Christophe Blain réussit quant à lui à trouver en permanence des idées pour rendre accessible et digeste cette masse impressionnante de réflexions. Ses trouvailles sont bien souvent pertinentes. Il est drôle, inventif et efficace mais bon sang, qu'allait-il faire dans cette galère ?

Si nous défendons la bande dessinée comme arme d'instruction massive, elle peut aussi parfois, entre de mauvaises mains, devenir un puissant outil de désinformation, de propagande et de manipulation. Aussi nous devions-nous de mettre sérieusement en garde contre celle-ci.

Article (très) complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451 :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
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Autant le dire tout de suite, cette lecture donne d'abord envie de se réfugier dans une grotte. Ensuite, on peut commencer un peu à réfléchir, mais les annonces de l'auteur sont tellement désespérantes qu'on se doute bien que les préconisations sont intenables. Blain fait ici figure d' "ami naïf" de Jancovici qui doit tout lui expliquer et que le dessinateur met ensuite en images à grand renfort de métaphores. Les énergies fossiles sont ainsi "la bibine et les croquettes" dont Iron Man a besoin. Iron Man représentant tout ce qui consomme de l'énergie dans notre quotidien, c'est-à-dire l'ensemble de notre mode de vie. Une grande partie de l'ouvrage met en relation la consommation de l'énergie depuis 1850 et tous les efforts déployés depuis pour passer d'une énergie renouvelable (essentiellement à base de travail humain et animal) à une énergie fossile dont nous sommes entièrement dépendants. le constat n'est pas rose, il est même noir pétrole. On pourrait imaginer que le chapitre sur les énergies renouvelables redonne un peu d'espoir, mais ce n'est pas le cas. le seul sauveur entrevu par l'auteur est la centrale nucléaire. Pour lui, cette énergie fait injustement peur. Il prend le temps de montrer que les accidents de Tchernobyl et Fukushima ne seraient pas possibles en France et que c'est la seule énergie qui pourraient continuer à subvenir à nos besoins. Soit. Pourtant, l'ensemble du livre montre bien que c'est à l'échelle mondiale qu'une solution doit être envisagée. Nos réacteurs nucléaires français ne changeraient pas grand chose. Il semble aussi de parti pris quand il évacue bien vite la question des déchets nucléaires et de leur nocivité. Les habitants de Bure ne doivent pas le porter dans leur coeur. Les choix à faire pour l'avenir, à l'échelle individuelle, sont de renoncer aux déplacements en avion et en voiture, de diviser par deux la consommation de viande et par trois celle de laitages. Sinon, un covid annuel peut aussi faire l'affaire pour sauver la planète. Vous voyez qu'on est mal barrés.
Cette lecture m'a donné envie d'en savoir plus, notamment en aller chercher à d'autres sources contradictoires car le discours de l'auteur ne m'a pas entièrement convaincue que notre avenir était dans l'uranium.
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Prenez un ouvrage dont le titre vous harponne.
Ajoutez un nom connu en la personne de Jean-Marc Jancovici, ingénieur et spécialiste des questions d'énergie.
Saupoudrez d'un graphisme qui n'est pas sans rappeler - au moins pour moi - le loufoque "La fuite du cerveau" sur l'affaire du cerveau d'Einstein.
Et vous obtenez ...
C'est là le hic ... je n'ai pas réussi à savoir ce que j'obtenais.
Un ouvrage qui se veut vulgarisateur sur les questions complexes liées à l'énergie, sous toutes ses formes, aux ressources - limitées - de la planète, au réchauffement climatique, à la décroissance, à la finitude - ou pas - de notre monde ... Ce simple inventaire de quelques-unes des questions abordées au fil de presque 200 pages suffit à souligner que l'ouvrage ne pouvait être, à mon avis, que parcellaire et nous laisser sur notre faim, sans mauvais jeu de mots.
J'ai le sentiment qu'à trop vouloir en dire, à chercher à être exhaustif, les auteurs perdent en clarté. Trop d'informations, de chiffres, avec aussi nombre de digressions, un découpage peu évident (j'aurais pour le coup apprécié un découpage en chapitres clairement identifiés, fluidifiant le propos et la démonstration) ... Je me suis souvent senti perdu, s'agissant d'un thème certes très présent dans les médias, mais sur lequel mes connaissances sont très limitées.
Et puis, parce que l'on saisit quand même l'essentiel du propos des auteurs, j'ai parfois eu le sentiment de me faire rouler. Dans le sens où, sous couvert de propos très généraux sur les questions que j'évoquais précédemment, Jancovici se fait assez clairement me semble-t-il l'avocat du nucléaire. Il s'agit pour lui du meilleur outil pour une transition énergétique, capable d'amortir au mieux le choc de décroissance nécessaire à notre survie. Je résume à grands traits - je suis donc forcément caricatural - mais c'est globalement l'idée. Je ne dénie pas, loin de là, aux auteurs, le droit de défendre leurs opinions mais c'est assez surprenant dans une bande dessinée, et surtout, j'ai vraiment eu l'impression que le discours n'était pas clairement assumé. Après, peut-être Jancovici a-t-il raison ? Mais je reste malgré tout sur un sentiment de malaise à l'issue de ma lecture.
Un malaise d'autant plus prégnant que je viens de lire "Le droit du sol", d'Étienne Davodeau, qui porte un regard très différent sur les mêmes questions - notamment la question des déchets nucléaires - mais qui assume assez nettement son propos militant.
Reste que l'ouvrage a le mérite de proposer des pistes de réflexion, et qu'après tout, face à toutes ces questions, il peut à sa façon participer de la formation d'une conscience citoyenne éclairée.
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C'est bien, et c'est pas bien.
La couverture est bien : buildings, autoroutes pleines de bagnoles, fumées industrielles, avions, dans un brouillard jaune pollution où tournent péniblement deux pauvres éoliennes.
Et sur une terrasse, deux témoins, Jean-Marc Jancovici et Blain.
Un prologue raconte la prise de conscience environnementale de Blain (ça c'est moi en 1974, salut et fraternité aux personnes qui ont la référence). Ensuite, il nous présente Jean-Marc Jancovici, ingénieur, scientifique et vulgarisateur, l'inventeur du bilan carbone - et à partir de là, j'écrirai JMJ.
Blain loue l'art de JMJ à trouver "l'image parlante et lumineuse". Et lui, Blain le dessinateur, en fait autant : il rend les chiffres à la fois limpides et passionnants, trouve des images parlantes et lumineuses, et drôles aussi avec l'énergie sous forme d'Iron Man, et sa métaphore de l'extraction du pétrole avec une pierre ponce (Je vous appâte, là.) Je termine vite fait mon avis sur les dessins, qui sont super réussis, simples et efficaces, notamment les flashbacks au 19è siècle, ou encore dans les années 50 ou 70. Réussi aussi le travail de la coloriste Clémence Sapin.
Parlons maintenant du contenu : 100 pages sur les causes du réchauffement, 25 pages sur ses effets, 70 sur les solutions éventuelles.
Le point de départ, c'est l'énergie (ce sur quoi j'ai commencé à me documenter en 1977, re-salut et fraternité aux personnes qui re-ont la référence). J'ai appris beaucoup de choses en plus grâce à JMJ, qui convertit l'énergie en… cyclistes - très pertinent et visuel. Tout y est abordé, de l'agriculture à l'urbanisation, c'est très complet.
La partie sur les effets est assez exhaustive elle aussi (et effrayante).
Puis arrivent les solutions. Pour JMJ : décarboner grâce au nucléaire (plus : circuler en vélo électrique, manger deux fois moins de viande et ne plus prendre l'avion. Point.)
Et là, au moment où je me dis à moi-même : "Je suis d'accord sur tout avec Janco…. sauf sur le nucléaire"… arrive un personnage en tee-shirt fleuri qui dit : "Moi je suis d'accord sur tout avec Janco…. sauf sur le nucléaire". Mouhaha.
Il n'évacue pas les problèmes, JMJ, c'est documenté, pensé, pesé. Mais là où il dit "Il faut arbitrer entre le nucléaire et consommer moins", je trouve que son pragmatisme, ça ne fait pas rêver.
Il est bien trop général sur la question de la production d'énergie, et n'aborde jamais la question des productions locales (Avez-vous remarqué qu'on a plus de vent et de marées en Bretagne, que de soleil ou d'uranium?)
Il ne parle que du court ou moyen terme, pas du temps long des déchets nucléaires ou des réserves d'uranium et de lithium.
Il aborde en trois phrases l'échelle mondiale, trois phrases qui se résument à "éducation des femmes, accès à la contraception, caisses de retraite". On s'en tape de la pauvreté et des inégalités mondiales, en gros qu'ils fassent moins de gosses, et basta.
Alors ça fait quand même trois gros points noirs à mes yeux. Moi je ne veux pas avoir à "arbitrer entre le nucléaire et consommer moins". Je ne veux pas laisser après moi des espaces naturels ravagés par la course aux terres rares, une planète piégée par les déchets radioactifs.
JMJ est ingénieur, et moi géographe, ça doit être pour ça.
Pour ma part, l'arbitrage est fait : mon fournisseur d'énergie me dit que je consomme trois fois moins d'électricité que la moyenne. Normal : je n'ai ni voiture, ni smartphone, ni aspirateur, ni sèche-cheveux, ni lave-vaisselle, ni micro-ondes, ni télé, ni robot ménager, ni grille-pain, ni cafetière électrique, ni congélateur, ni sèche-linge... J'ai des pieds pour me rendre à la bibliothèque et des transports publics pour aller au marché.
Et non, monsieur JMJ, je ne désire pas de tout mon coeur un vélo électrique.
Le monde a davantage besoin de trouver tout près de chez soi petits marchés et bibliothèques publiques, que de vélos électriques.
Donc s'il avait consacré autant de pages à la question de la RÉDUCTION de la consommation d'énergie, j'aurais pris ce livre davantage au sérieux.
Tel quel, c'est un livre pour bobos.
Commenter  J’apprécie          2013
Un livre best seller déjà abondamment critiqué, qui mérite quand même qu'on s'y arrête.
On y trouve des thèses iconoclastes, comme " arrêtons de psalmodier: croissance ! Croissance! " comme un mantra. C'est encore ce que prêchent nos gouvernants, medef et investisseurs.
Ou: arrêtons de prendre l'avion pour partir en week-end à Prague ou Barcelone. Ce qui ne va pas plaire aux amateurs de vacances low cost et aux loueurs de airbnb.

Toute la partie qui décrit "comment en est-on arrivé là ? " est un résumé assez hallucinant de la vie sur Terre depuis l'ére industrielle. La machine s'emballe de plus en plus vite, et on ne sait pas qui pourrait l'arrêter.
Depuis octobre 2020, les choses ont encore évolué vers le pire : sécheresses, canicule, incendies, inondations au Pakistan, instabilité politique en Afrique, guerre russo-ukrainienne et son cortège de catastrophes humaines, économiques et politiques, soulèvement populaire en Iran.

On est en droit de s'inquiéter de l'accélération de la crise climatique et énergétique. Les récentes pénuries d'essence et la crainte de coupures d'électricité et de gaz cet hiver rendent la menace encore plus concrète.
La fréquence du mot "pénurie " et l'expression "fin de l'abondance " marqueraient elles un tournant dans la civilisation occidentale ? le thème de la sobriété, si cher à Pierre Rabbi, est maintenant repris au Ministère des Finances. On se croirait dans un roman de politique-fiction!

Faut il pour autant s'engouffrer dans la voie du nucléaire comme le préconise Janco? On voit actuellement comment la centrale de Zaporijja est devenue un enjeu géopolitique crucial, avec le risque d'un deuxième Tchernobyl si le système devenait défaillant.

En conclusion : une lecture chaudement recommandée (accompagnée de thé, de biscuits et d'un plaid écossais ) pour cerner les enjeux planétaires et les conséquences de notre modèle économique actuel. Éviter une lecture tard le soir, surtout si on a regardé Soleil Vert juste avant. Insomnie garantie.
La solastalgie n'est pas la bonne option si on veut sortir des ronces, va falloir sérieusement changer de cap.
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Lire le monde sans fin, c'est en savoir plus sur le lien entre dépendance énergétique et réchauffement climatique. Jean-Marc Jancovici, polytechnicien, est spécialiste des questions énergétiques et climatiques et par ailleurs l'inventeur du « bilan carbone », devenu norme mondiale de mesure des émissions carbonées. Nous sommes dépendants des énergies fossiles. Nous en consommons de plus en plus. Or « il n'y a pas d'énergie verte, ni rose, ni noire, ni propre, ni sale», affirme l'ingénieur. Pour ce dernier, l'énergie la moins pire est le nucléaire.
Je suis très contente d'avoir lu cette BD et en même temps, je ne sais pas trop quoi en penser ni qu'en retenir. Je l'ai trouvée difficile à suivre. Peut-être trop dense, trop de dessins, trop de chiffres pour moi, même si je reconnais que la forme BD allège le propos. Sujet d'actualité.
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