On se reverra de Lisa Jewelle, Hauteveille Suspens
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Avis : 5/5
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Lily vient de se marier avec un homme mais celui-ci a disparu, elle prévient de suite la police qui tarde à lancer les recherches, elle a tout laissé tomber pour lui et est partie habité à Londres. À des kilomètres de la suite à une tempête un homme est assis sur la plage sans manteau, mais surtout sans prénom. Il est assis la où 20 ans plutôt un crime a été commis. Cet homme a perdu toute sa mémoire, Alice l'observe depuis des heures à sa fenêtre, mais la pluie, le vent rien ne semble distraire cet homme. Elle a un studio indépendant elle pourrait l'accueillir, alors elle va le voir lui donne un parka, et s'en suis son hospitalité. Mais Alice a le chic pour se mettre dans des situations difficiles voir impossibles. Mais pourtant elle a trois enfants qu'elle élève seule, des fins de mois difficiles, et des chiens qui ne la protège pas tant que ça. Et en même Gray et sa soeur, partent en vacances dans une petite station balnéaire avec leurs parents, mais cet été un jeune homme s'immiscent dans l'équation.
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Avis : trois histoires en parallèle qui rend ce roman aux personnages attractifs (avec Alice, ses adolescents, ses chien, son ami, cet inconnu mais également Gray et sa soeur, et Lily en même temps) tous ses personnages ont leur histoire, leur passée et parmi eux un a perdu totalement la mémoire il ne sait pas qui il est, ni ce qu'il fait là. On veut savoir pourquoi, on veut connaître la fin des histoires de toutes ces personnes. Les pages se tournent de plus en plus vite. On a besoin de savoir ce qui s'est passé, ce qui va arriver. Ce roman est bien tenue tout se tient et en fait un thriller psychologique plein de surprises et de rebondissement. L'auteure sait jouer avec nous, nous laissant croire qu'on a compris, mais on s'enfonce dans un travail de mémoire a couper le souffle
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Citations : « Elle monte dans sa chambre et jette un oeil [ via une caméra de surveillance ] à ce que font ses parents. Ils sont assis sur leur beau canapé
John Lewis et fixent la télé. Elle sait qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'ils sont en train de regarder. Si elle les appelait pour leur demander ce qu'ils font, ils auraient du mal à lui répondre. Mais même dans le brouillard de leurs mémoires évanescentes, ils se tiennent la main, ils ne se lâchent pas. Ils ne sauraient pas dire qui est le Premier ministre, quel est le jour, le mois ou l'année. Ils ont du mal à se souvenir des prénoms de leurs filles et sont loin de pouvoir dire s'ils ont déjà déjeuné ou s'ils ont quelque chose de prévu pour le dîner. Ils ne connaissent plus rien, pas même les choses cruciales . Mais ils savent qu'ils s'aiment. »