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Critiques filtrées sur 3 étoiles  

Une BD pour laquelle il n'est pas évident de faire une critique car tout d'abord c'est une série, un feuilleton, ensuite parce que l'histoire n'est pas évidente du tout. Il y a une foule de personnages et on a du mal à savoir qui est qui mis à part l'antihéros le détective privé de type R
La première de couverture montre un personnage en haut de chausse ou quelque chose d'approchant et portant cheveux longs en queue de cheval accompagné d'un ptérodactyle
bleuté semblable en forme à celui d'Adèle Blanc-Sec mais l'oeil globuleux et sans dents,
entourés tous deux de perches articulées munies d'appareils piquants voire contondants, le tout sur un fond jaune citron lumineux du plus bel effet.
Pour l'intérieur des cases c'est un kaléidoscope de couleurs pas forcement bien mariées mais c'est, pense-t-on, fait intentionnellement.
Pour les personnages il y en a en veux-tu en voilà: des bergs, des mutants, une homéopute qui dit « gouzi gouzi », des bossus, des robotcops style C-3PO, des aristos auréolés, un président narcissique, un méta-baron, des robots style R2-D2, une tête de chien mais pas celle de Jean Dutourd ni de Poncelet, une reine de l'amok autant dire un flopée invraisemblable et il n'est pas toujours facile de savoir qui sont les méchants bien qu'on s'en doute
l'antihéros John Difool pas trop sympathique ni trop sexy avec ses démons intérieurs et son ptérodactyle Deepo.
Pour les constructions des villes futuristes, un palais flottant qui ressemble à l'étoile noire de star war, une ville hétéroclite très minérale et métallique
Et l'incal ?
Ça brille, ça s'avale c'est très convoité mais on se demande encore ce que c'est !
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John Difool est un détective privé de seconde zone. Mais un jour, alors qu'il est engagé par une certaine Nimbéa Super Quinq en tant que garde du corps, tout bascule. La fille l'avait trompé, elle voulait profiter de son holomaquillage pour aller tirer son coup au Daredevil. Mais à minuit pile, celui-ci cessait de fonctionnait, ce qui a eu pour effet d'enrager son partenaire du moment : Kill "Tête-de-chien". S'ensuit alors une course-poursuite dans laquelle il parvient à s'échapper par les égouts, pour rencontrer d'autres problèmes... et finalement se retrouver à Suicide-allée, cogné par des hommes encapuchonnés et projeté dans le vide.
Heureusement, la cyber-police arrive à la rescousse. John Difool est miraculé... mais son histoire leur parait invraisemblable : que s'est-il réellement passé entre les égouts et Suicide-allée ?

Ah, que d'événements palpitants en seulement quelques pages. le scénario est posé, défilant case après case dans une allure folle. Nous sommes dans un véritable délire de la science-fiction, travail conjugué d'auteurs talentueux : un scénariste inventif (Alexandro Jodorowsky), un dessinateur hors-normes (Moebius) et un coloriste cosmique (Yves Chaland). Et ils ne seront pas trop de trois pour faire de cet album - et de la série qui va avec - l'un des titres phares de la bande dessinée.

La suite à lire sur BenDis...
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Beaucoup beaucoup de mal à accrocher et poutant on a deux grands de la bd. Moebius est une légende mais je n'est pas trouvé mon bonheur dans ce premier tome. Pourtant je suis sûr que les fans de science fiction y trouveront leur bonheur.
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