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Aquaman tome 1 sur 6
EAN : 9782365770729
144 pages
Urban Comics Editions (28/09/2012)
3.77/5   60 notes
Résumé :
Après des années de règne sur le royaume sous-marin d’Atlantide, Arthur Curry, alias Aquaman, choisit de refaire surface, en compagnie de son épouse, Mera. Mais entre la méfiance des autorités à son égard et les attaques de créatures cannibales issues des profondeurs de l’océan, ce retour à la « vie civile » ne se fera pas sans peine ! (contient Aquaman # 1-6)
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Et un nouvel album parmi les New 52 pour ma bibliothèque, un ! Merci à ma Bichette et à la Saint-Valentin : ma bibliothèque de comics devient vraiment classe maintenant ! Et aujourd'hui, c'est justement avec un super-héros considéré comme bien peu classe que je complète ma collection.

En effet, avec la Renaissance de DC Comics (toujours cette histoire des « New 52 », nouvel univers pour reprendre les séries à zéro), Aquaman refait une entrée fracassante dans le petit univers des Batman, Superman et autres Wonder Woman (je vous passe Green Lantern et Flash). Ayant souvent été victime de quolibets au sujet de sa tenue, de son pouvoir ou tout simplement de son nom, Aquaman avait besoin d'un nouveau départ et il profite pleinement de ce nouveau contexte.
Nous découvrons un héros bad-ass qui sait qu'il a toujours été dénigré par le passé, mais qui devient ou redevient (la chronologie n'est pas encore bien claire dans ces premières pages) un super-héros crédible, grâce au scénario de Geoff Johns. En effet, l'auteur, qui a déjà remodelé complètement l'univers de Green Lantern depuis neuf ans et qui chapeaute celui de la Justice League depuis des mois, réussit à détourner volontairement les gros clichés au sujet d'Aquaman : le héros qui « parle aux poissons », qui porte du orange et qui a un nom qui commence par « Aqua », s'en sort très bien quand il s'agit de voir son image évoluer à contre-courant (je me devais de la placer !). Puissant, calme et poli, il incarne le héros parfait, au moins dans sa relation avec le « public » humain.
Le premier arc est ici purement introductif finalement, car il ne sert que de prélude à une série d'arcs plus conséquents qui débutent également dans ce tome et se poursuivront notamment via la Justice League. D'abord placé face à des créatures aux pensées bien primitives venues du fond des mers, des monstres abyssaux bien répugnants, Aquaman n'effleure finalement que la surface des choses (!) dans ce premier tome ; laissons les spoilers de côté pour une autre fois, mais c'est certain que l'accent est surtout mis sur les relations dénigrées entre Aquaman (et sa femme Mera) et les humains qu'il désire protéger.
Malgré tout, on apprécie l'ensemble qui se lit rapidement et les dessins aident beaucoup. Même s'il y a peu de scènes sous-marines, Ivan Reis (puis Joe Prado après lui) réussit, avec son trait classique, à magnifier un minimum le Roi des Atlantes.

Une bonne surprise donc que cette reprise en main d'Aquaman par Geoff Johns, Ivan Reis et Joe Prado. Reprise en main, nouvelle mise en avant, redécouverte de ses lettres de noblesse : toutes ces expressions sont nécessaires pour constater le chemin parcouru pour refaire d'Aquaman un vrai super-héros crédible. Et ça marche !

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Comment ? Moi l'amateur du Silver age me voilà embarqué dans la lecture des super-héros DC version Renaissance ? Mais c'est la faute à môssieur Dionysos89 et à ses critiques salivantes aussi ! Sans quoi jamais je n'aurai abordé ce personnage de fond de classe dont je n'ai lu dans ma vie qu'un petit récit où il repoussait à lui tout seul l'armée de Xerxès (qu'est-ce qu'il faisait là ? M'en souvient pas).

Eh bien môssieur Dionysos89 avait bien raison. Je me suis bien amusé.
Ce ne sont pas tant les aventures proprement dites qui m'ont emballé : les espèces de poissons anthropomorphes à dents de sabre (que bouffaient-ils avant de trouver la lumière ? On se demande) sont d'un intérêt moyen.
C'est plutôt le second degré. Aquaman est apparemment un héros plutôt négligé voire tourné en ridicule par le lectorat comicsien. Les auteurs ont dit chiche : on va faire une mise en abîme et utiliser cette réputation dans ses aventures mêmes. Voilà donc un gars plutôt sobre, très loin de l'insupportable morgue de son collègue Marvelien Namor le Submariner, qui en a eu marre de l'Atlantide et remonte dans la maison de son enfance avec sa superbe femme Mera pour reprendre contact avec l'humanité. Il file des coups de main à la police, va au restau et tout, mais partout on se fout de sa gueule. Il est le souffre-douleur des showmen de la télé. Aquaman prend sur lui. Sa femme moins, elle réagit parfois plus… brutalement.

Mais dans le concert d'avanies, une voix s'élève de temps en temps qui revigore nos héros : celle d'une femme sauvée d'un harcèlement sexuel, d'un policier admiratif ou d'un gamin déclarant qu'Aquaman est son héros préféré.

L'espoir de se voir crédibilisé existe, au sein de l'univers du héros comme en celui de nous autres lecteurs.

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Comme disait Hannibal « j'adore quand un samedi matin se déroule sans accroc » (citation remasterisée version week-end ndlr). Après un bon petit footing pour se décrasser d'une semaine harassante suivi d'une douche revigorante, quoi de mieux qu'une petite lecture musclée, pépère dans le canap' encore dopé aux endorphines ? Une aventure du bellâtre à la chevelure platine flamboyante des océans me semblait de circonstance.

Dès les premières pages la claque graphique est telle que vous prenez un tsunami en pleine face. Pause. Vous comprendrez que le vocabulaire marin pourra être plus présent qu'à l'accoutumée, aussi je recommande aux lecteurs concernés par la thalassophobie de fermer un oeil sur deux. Reprenons. La patte d'Ivan Reis diffuse un charme céleste et dévoile des planches mirifiques au trait ciselé, expressif et gracieux.

Ajoutez à ce majestueux tableau l'ancrage précis de Joe Prado et le coloriage envoûtant de Rod Reis et vous obtenez une grâce visuelle des plus exquises. Les couchers de soleil embrasés de tons dorés offrant une vue aérienne sur l'océan scintillant de mille feux vous resteront gravés sur les rétines encore quelques temps.

Pour fermer la marche de cette équipe en grande pompe, Geoff Johns insuffle un nouveau souffle épique emprunt de valeurs éthiques et philosophiques des plus appréciables à ce héros que trop éclipsé dans l'ombre de l'aile DC. Entre action pop-corn, moments intimistes et réflexions sociétales, l'auteur redore avec subtilité et modernité le blason du roi de l'Atlantide.

Oubliez le ténébreux Jason Momoa (je sais mesdames cela ne sera pas forcément facile) et l'insipide film éponyme dont il tente tant bien que mal de sauver l'honneur et plongez dans les sombres entrailles de la planète bleue. Pour vous situer, on est sur le niveau 9 de plongée sous-marine. Ah, on me souffle dans l'oreillette que les niveaux s'arrêtent à 5 pour le commun des mortels. Vous voilà prévenus.
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Geoff Johns et Ivan Reis ont été chargé, dans le cadre des "New 52" (52 séries de DC relancées à la suite du crossover Flashpoint) de remettre au goût du jour Aquaman, un héros, il faut bien le dire, qui évolue plutôt en ligue 2 chez l'éditeur. A noter qu'ils officiaient aussi sur la JLA.
Aquaman est un héros assez ancien puisqu'il apparaît en 1941, créé par Paul Norris et Mort Weisinger. Il est le fils de la reine d'Atlantis. Historiquement, bien que recueilli par un gardien de phare, et élevé par lui, il n'a pas de sang humain. Ici, les auteurs laissent pour l'instant planer le doute sur le fait que cet homme est bien son vrai père.

Ce premier volume contient les 6 premiers chapitres de la série. On y découvre Arthur Curry, alias Aquaman, qui, ayant renoncé au trône de l'Atlantide, vit avec sa femme Mera, alias Aquawoman, parmi les hommes. Geoff Johns prend le parti de nous présenter un héros peu considéré, voire mépriser, par le grand public. Ceci lui permet de mettre en avant la distance qui existe entre Aquaman et la population, distance qui se nourrit de clichés et d'a priori. Mais c'est aussi l'occasion de mettre en scènes quelques passages fort réussis, particulièrement la scène ou il tente de manger dans un restaurant qui sert des fruits de mer et du poisson, passages qui mêlent humour et émotion.
Aquaman part de loin, en terme de popularité, mais les moqueries glissent sur lui comme sur de la peau de squale et il se concentre sur la mission qu'il croit être la sienne (protéger les côtes) et sur sa vie de couple...

Ce premier tome me laisse, au final, une impression assez mitigé. Entre les baisse de qualité, par moment, du dessin de Ivan Reis (et de l'encrage) et les ficelles scénaristiques, certes classiques dans l'univers des comics, mais utilisées sans trop de finesse par Geoff Johns, heureusement que surgissent ces quelques scènes drôles et/ou émouvantes. Et puis, on voit bien le clin d'oeil au "Continent des Hommes Poissons", mais surtout au "Piranha" de Joe Dante, mais la références s'avère finalement manqué de coolitude et sombre, par moment dans le ridicule. C'est vrai qu'un bon comicbook, c'est un bon héros, mais c'est aussi un bon méchant et, en l'espèce, les hommes poissons cannibales choisis par Geoff Johns ne provoquent pas un emballement démesuré.

Au final, ce premier volume fait office de tome d'introduction qui, s'il pose bien le fait qu'Aquaman a du chemin à faire pour conquérir les coeurs, et que le passé du héros n'a sans doute pas fini de le rattraper, ne nous offre pas, par ailleurs, une histoire très prenante en terme d'action, ni d'ambiance, Geoff Johns semblant hésiter entre le récit de super-héros classique et le kitsch assumé d'un hommage aux récits d'épouvante et d'horreur des années 70's, 80's.

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En 2011, à la suite du crossover Flashpoint, DC Comics remet à zéro l'ensemble de son univers partagé dans une opération baptisée "New 52". Parmi les 52 nouvelles séries lancées à cette occasion, se trouve celle attribuée à Aquaman que Geoff Johns avait déjà ramené sur le devant de la scène dans Brightest Day (en anglais) en 2010. Ce tome comprend les épisodes 1 à 6 de cette nouvelle série, parus en 2011/2012 (scénario de Geoff Johns, dessins d'Ivan Reis, encrage de Joe Prado, aidé par Eber Ferreira pour les épisodes 4 & 5).

Quelque part au fond des mers, dans une faille sous-marine, des créatures affamées aux dents acérées surgissent et se dirigent vers la surface pour se nourrir de chair humaine. À Boston, Aquaman (Arthur Curry) remplit son rôle de superhéros, même si personne ne le prend au sérieux. Un importun plus insolent que les autres n'hésite pas à lui résumer sa situation : il porte une tunique orange du plus mauvais goût, il sert surtout de chute à toutes les blagues moqueuses sur les superhéros inutiles et dépassés, et il n'est le superhéros favori de personne. Malgré tout, Aquaman a pris sa décision : il préfère vivre à la surface qu'essayer de s'imposer comme souverain auprès d'un peuple qui ne veut pas de lui, sous l'océan. Il s'est installé dans un phare, avec Mera sa compagne. Quand un policier vient quérir son aide après le premier massacre perpétré par les créatures des profondeurs, il n'hésite pas un seul instant à combattre contre elles, et à partir à la recherche des habitants enlevés.

Geoff Johns joue le jeu du redémarrage à zéro du personnage. Il raconte son histoire comme si le lecteur ne savait rien d'Arthur Curry et de son passé et il insère les éléments de continuité au fur et à mesure des scènes de manière un peu artificielle. Arthur se confie régulièrement à Mera pour évoquer son passé. La première fois, il s'agit d'une scène intimiste entre 2 individus qui s'aiment, la deuxième fois le lecteur a repéré le dispositif pour ce qu'il est, la troisième fois cela devient un truc narratif peu habile. le coup des méchantes créatures pleines de dents en guise de premier adversaire est assez basique (pourquoi pas des méchants extraterrestres, ou des robots géants ?), même si Johns laisse planer le doute sur le fait qu'ils sont liés au passé d'Aquaman. Dans un grand moment à la Geoff Johns, Arthur Curry finit par assister à une apparition fantomatique de son père décédé avec lequel il se met à converser pour bénéficier de sa sagesse post-mortem. Là encore, Johns utilise un dispositif narratif usé jusqu'à la corde, avec une absence de nuances et de finesse désolante.

Après tout, utiliser un ennemi basique n'est pas forcément si soporifique que ça si Arthur Curry en sort grandi. Effectivement dans la première moitié, Johns fait le nécessaire pour installer son héros, pour qu'il en impose. D'un coté, il laisse passer les railleries des habitants avec patience, en prenant sur lui, montrant bien qu'il est au dessus de ces petites piques mesquines. de l'autre il se bat comme un lion malgré les dents acérées capables de déchirer sa cotte de mailles orange, et de le faire saigner. Il se permet même un petit moment de satisfaction en se laissant tirer dessus par des petits malfrats, pour avoir le plaisir de voir leur réaction lorsque les balles ricochent sur sa peau. Il est courageux Aquaman ; par contre il n'est pas très futé. Après avoir été presque déchiqueté par un petit groupe d'amphibiens voraces, il n'hésite pas à s'élancer (avec Mera à ses cotés) contre un véritable bataillon de ces créatures, sans aucun plan de bataille, ni stratégie, ni arme particulière. Cette attitude irréfléchie et imbécile contraste fortement avec ses réactions posées et mesurées face aux quolibets et autres lazzis qu'il essuyait quelques pages avant.

Le dernier épisode est consacré à Mera qui sort du phare pour aller acheter des croquettes pour chien en ville. le récit n'est pas aussi insipide que ça, mais là encore une prise d'otage arrive à point nommé (étonnante coïncidence) pour injecter un peu d'action. Et la prise de conscience de Mera est subtile comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.

Heureusement, il reste les illustrations d'Ivan Reis encré par Joe Prado (au moins pour les 5 premiers épisodes parce que pour le dernier Reis a effectué la mise en page et les croquis, et Prado a réalisé les dessins). Ça fait plaisir de retrouver ce dessinateur qui sait comment imposer visuellement un personnage. Aquaman apparaît pour la première fois dans une pleine page, de plein pied dessiné en contreplongée, et il en impose. Son trident a une forme impossible, mais le lecteur voit qu'il a une attitude de quelqu'un d'assuré et déterminé. Dans la page d'après (4 cases de la largeur de la page superposées), les 2 policiers dans leur voiture de patrouille sont réalistes et convaincants, Aquaman est silencieux et posé. Lorsqu'il essuie une pluie de balles, il attend stoïquement la fin, sûr du résultat. En tant que superhéros, Aquaman est rendu visuellement crédible et impressionnant. Ivan Reis réalise des dessins minutieux (méticuleusement encrés), avec une densité d'informations visuelles soigneusement dosée. Il a toujours un peu de mal à rendre les créatures vraiment horrifiques (ses zombies dans Blackest night n'étaient déjà pas très angoissants). Par contre les combats sont chorégraphiés avec intelligence, les décors des différents lieux de la ville et la décoration intérieure du phare sont rendus tangibles et agréables. le passage dans lequel Aquaman est coincé dans un désert de sable dégage une chaleur intense et donne à voir le dessèchement progressif du héros. Les combats sous-marins donnent la mpossibilité à Reis de s'économiser sur les décors. le dernier épisode dessiné par Joe Prado permet de se rendre compte de la raison pour laquelle il a choisi le métier d'encreur (les proportions sont gauches).

À l'annonce de l'équipe de créateurs de la série, le lecteur pouvait être en droit de s'attendre à une histoire solide, des visuels inoubliables, comme Geoff Johns et Ivan reis avaient si bien su le faire des épisodes durant pour Green Lantern dans sa série. La déception en est d'autant plus forte. Johns semble avoir listé tout ce qu'il souhaitait mettre dans le scénario, et jeté ses éléments sur une intrigue anémique à base de méchantes créatures pleines de dents. Ivan Reis effectue un travail à la hauteur, mais rendu moins palpitant du fait de cette histoire poussive. Il m'aura fallu moitié moins de temps pour lire ce tome qu'un autre équivalent de la même pagination. Si vous n'avez pas eu l'occasion de lire les épisodes de "Brightest day", ce tome vous réserve la surprise de découvrir Arthur Curry sous son meilleur jour et il mérite 4 étoiles. Si vous avez déjà lu Aquaman dans "Brightest day", ces épisodes vous sembleront assez fades.
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critiques presse (4)
BulledEncre
21 décembre 2017
Efficace, riche en humour et en action, le récit ne délaisse pour autant pas la psychologie des personnages. L’album se lit d’une traite, on ne s’ennuie pas une seconde.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
03 mai 2017
Aquaman démarre très fort et mérite toute notre attention. Une bonne série, de l'excellent divertissement, qui ravira tous les amateurs de bons comics.
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
10 janvier 2013
Le roi d’Atlantis est enfin de retour dans sa propre série pour ce "relaunch" de l’univers de DC. Il a enfin le droit à des histoires pleines de punch et non plus de discussions ennuyeuses avec Captain Igloo.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
02 octobre 2012
L'action et le suspense vont vous garantir un excellent moment de lecture. […] Le graphisme d'Ivan Reis est superbe. Il fait là un excellent travail qui ravira les amateurs.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Un policier : Ce bruit… ça fait mal, pas vrai ?
Aquaman : Surtout avec ma super-ouïe.
Un policier : Genre… comme Superman ?
Aquaman : Genre… arrêtez de crier, voulez-vous ?

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[Mera] Nous devons refermer la fosse et les empêcher de sortir.
[Aquaman] Ça aboutirait à l'éradication de toute une espèce.
[Mera] Ces créatures stupides représentent un danger pour le monde.
[Aquaman] Les atlantes en disent autant des humains.
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- Ça fait quoi, d'être Aquaman ?
- C'est à-dire ?
- Eh bien, vous savez... Les blagues, les sketchs à la télé ou sur Youtube. Qu'est-ce que ça fait d'être la risée du pays ? De n'être le super-héros préféré de personne ?
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Comportez-vous en monstres… nous ferons de même.

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- J’y crois pas, Aquaman nous a doublés.
- On va se faire chambrer, au commissariat.

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