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3,77

sur 339 notes
J'aime bien les comédies romantiques, j'aime les fleuristes, mais je n'ai pas aimé ce roman. Pour apprécier l'histoire, il faut passer sur le métier du personnage masculin, et ça je n'ai pas pu. je n'y ai pas cru.

Fleuriste pour une patronne qui tient plus de l'esclavagiste que de la commerçante, Louise excelle dans son métier, dont l'une des paricularités est , le week-end, de s'occuper de la décoration florale des mariages. Un jour,un de "ses" mariages est bousillé par un (faux) prêtre, qui y dénoncera l'infidélité de la future mariée. Surnommée Jonquille, par ce " margoulin", qui bousillera une autre cérémonie, Louise est dans le colimateur de sa patronne qui menace de la renvoyer, vu qu'elle aurait dû se douter du couac , les fleurs commandées étant "jaune cocu", couleur qui ne se demande pas pour un mariage.

Déjà , je n'ai pas trouvé pertinent que la patronne tienne Louise pour responsable de ces fiascos... Pour moi, c'est une fragilité dans le scénario... Pas pertinent non plus qu'elle reste plus que ce que son métier l'exige au mariage, surtout si cela risque de mal se passer, pas pertinent qu'elle copine avec les amis de ce faux prêtre, ça sent les embrouilles à plein nez !
Et le côté "harcélement au travail", m'a agacée. Louise qui accoure ventre à terre, pour travailler dés potron-minet + le dimanche après-midi + tard le soir, ça ne cadre pas avec son caractère : ou tu es soumise, ou tu montes ta boite , mais tu ne peux pas faire les deux et changer aussi vite de personnalité .
Pour moi, c'est une fragilité dans la psychologie des personnages.
Pas pertinent non plus, que les amis de Louise, se dégagent du temps pour l'aider, alors qu'eux-mêmes ont des professions prenantes. Trop facile...
Le métier du "prince charmant", est affreux : saboteur de cérémonies de mariage ou funéraire.. . (il n'est pas comédien, payé juste pour en saboter une, non, c'est son travail ). Qui fait ça ? C'est irréaliste et cruel et puis ce n'est pas un métier, comment en vit-il ? L'auteure , si elle voulait opposer les deux personnages et montrer que les contraires s'attirent, aurait dû en faire un avocat spécialisé en divorces. (Oui, je sais, cela a été fait maintes fois .. Mais c'est plus réaliste ). Loic ne vend pas du rêve, même si je reconnais que leur première rencontre quand elle le prend pour un prêtre est savoureuse.
Après ça se gâte, le Loïc est complétement raté comme prince charmant, un peu trop sanguin et agressif. L'idée qu'il exerce ce métier pour se "venger" de son enfance, est tordue . A trente ans, il est plus que temps de grandir...

L'idée de départ était peut-être bien sur le papier, certainement originale, mais je n'y ai pas cru.
Une comédie pas crédible, pas subtile, & pas drôle ( heureusement qu'il y avait les fleurs...)
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Je ne suis pas fan des romances contemporaines mais j'ai emprunté ce livre à mon amie cici899 pour le challenge plumes féminines (un livre chick-lit).

Je n'ai pas du tout accroché à cette improbable histoire d'amour entre Louise et Loïc. Je dois avouer que je me suis vraiment ennuyée.

Je n'ai été sensible ni à l'histoire, ni aux personnages, ni à l'écriture, ni à l'humour. Je préfère de loin celui (l'humour) des nains sarcastiques (cfr. Hugi dans Trois coeurs, trois lions de Poul Anderson que j'ai lu juste avant).

On ne va pas en faire tout un fromage, ce n'est juste pas pour moi.



Challenge plumes féminines 2018
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comédie romantique sans prétention, ni prise de tête.
On y connait les codes et rien ne déroge à la règle.

Une femme et un homme que tout oppose se rencontrent, ils se haïssent. Mais pourtant ils se retrouvent toujours, les deux opposés s'attirent et finissent par commencer une belle histoire d'amour mais avant la fin il y a rupture , et comme toute comédie romantique qui se respecte ils se remettent ensemble et vivent leur parfait amour.

Dans ce roman il est question d'une organisatrice de mariage et d'un homme payé pour détruire les mariages.
J'ai lu cette comédie en une soirée, lecture légère, qui nous fait passer un agréable moment.
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J'ai lu ce roman rapidement car l'intrigue est légère et racontée avec humour. Adrielle est une jeune célibataire, employée maniable et serviable à souhait de « La dame au cabanon ». Elle ne compte pas ses heures, aussi, quand, après avoir passé du temps à décorer une église en jaune (mais les souhaits des clients sont toujours exaucés !), elle voit un drôle de prêtre anéantir en quelques mots le mariage d'un jeune couple, est-elle atterrée. Elle l'est encore plus quand elle apprend que ce « prêtre » est un comédien qu'on peut embaucher pour ruiner un mariage ou un enterrement. Dès lors, dès qu'Adrielle est sollicitée pour une cérémonie, elle n'a qu'une peur, c'est celle de tomber sur lui. S'ensuivent quelques scènes cocasses qui m'ont fait rire, notamment celle de l'enterrement où Loïc (le comédien) officie en tant que faux notaire. Entre les deux, vous vous en doutez bien, c'est d'abord l'orage puis le beau temps entre eux, le jeu de je-te-repousse-puis-je-t'attrape. On devine la fin. Mais on passe un agréable moment, une lecture qui ne vous prend pas la tête.
Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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La plume de Sophie Jomain est légère et nous plonge directement dans le bain. Mais je me suis noyée ...
Mauvaise pioche pour moi donc. Je suis complètement passée à côté de l'histoire. J'ai trouvé l'intrigue totalement hallucinante, et cousue de fil blanc. Tellement invraisemblable que je me suis demandé si l'auteure n'avait pas simplement fumé la moquette. Louise, la fleuriste et Loïc, le saboteur de mariage ... Non, vraiment, non ...
A vous de voir.
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Après avoir lu "les étoiles brillent plus fort en hiver" que j'avais adoré j'ai eu envie de connaitre cette auteure. C'est une bonne lecture dans l'ensemble et on passe un bon moment avec Louise et Loic. L'écriture est fluide ce qui facilite la lecture et l'histoire assez agréable. Un feld good avec beaucoup d'humour.
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Sophie Jomain vit de sa plume ( pas si nombreux que ça les auteurs qui n'ont pas un autre boulot !), publie deux livres par an depuis maintenant une huitaine d'années, des séries fantastiques ou de chick lit. Pas étonnant donc que ce mini phénomène d'éditions m'est échappé, je ne fais pas partie de la cible visée. ( je m'en doutais car j'aurai dépareillé au milieu de la file du salon du livre !). Mais voici qu'est sorti il y a peine un mois un nouveau titre de l'auteure chez &H... ( habituellement, elle publie chez Pygmalion). &H ? Késako ? C'est la version grand format de chez Harlequin ! La collection classieuse de l'éditeur que les lectrices visées paieront un peu plus cher ...
C'est donc avec une curiosité un peu mitigée, faut bien l'avouer, que je me suis plongé dans " Fais-moi taire si tu peux !" , la romance du printemps selon l'éditeur mais aussi coup de coeur de certains libraires (en regardant de plus près il s'agit d'Audrey de l'espace culturel Leclerc de Tonneins et d'une consoeur du Cultura de Marsac).
Que dire du roman ? Tout d'abord, il est certain qu'il entre dans le moule de l'éditeur, à savoir que la jeune femme du départ, forcément célibataire, va rencontrer dès les premières pages un homme, beau, grand, suintant de virilité qu'elle va détester tout de suite pour mieux se jeter dans ses bras à la fin. L'histoire se bornera à installer des péripéties qui l'amèneront progressivement à changer d'avis... Pas de surprise donc, la jeune Louise, employée chez une fleuriste va détester Loïc, dont le métier est saboteur de mariages. ( on notera que les professions sortent un peu de l'ordinaire). L'histoire, cousue de fil blanc, à la psychologie sommaire et improbable ne brille pas par son analyse des comportements. Comme toujours dans le cadre de cette littérature, l'auteur s'attarde assez lourdement sur la description des intérieurs mais surtout sur les tenues de l'héroïne dont le dressing est bien garni ( il faut bien l'ancrer dans une réalité ...mais qui fasse un peu rêver la lectrice). En situant son récit dans l'univers des mariages ( plutôt somptueux) , le rêve est doublé ( ce qui justifie sans doute la parution dans une collection prestige, faut que la lectrice en ait pour son argent ). Sur plus de 330 pages, nous suivront les démêlés de cette brave Louise que nous verront enfin succomber aux charmes testostéronés du bellâtre qui cache un coeur sensible sous sa cuirasse de muscles.
Je l'avoue, je n'ai pas été vraiment passionné par ma lecture, sans grande originalité, mais cependant il me faut noter deux ou trois choses qui me font comprendre pourquoi Sophie Jomain draine un public nombreux et fidèle. J'ai pu apprécier la mise en place très rapide du récit qui, même si répondant à des stéréotypes, plonge le lecteur immédiatement dans l'action. L'improbabilité de la situation de départ amène malgré tout quelques chapitres plutôt drôles, troussés sans façon et donc pas déplaisants. Mais il y a une chose qui m'apparaît essentielle sous le stylo de Sophie Jomain ( on ne peut pas réellement parler de plume), c'est l'absence totale de prétention qui se dégage de tout cela. Et je comprends donc pourquoi les lecteurs( trices) s'attache à cet auteur. Alors que beaucoup dans ce genre de chick lit pour jeune trentenaire vont en faire des caisses, vont vouloir se faire plus fines, plus " grande auteure", plus " voyez comme j'ai de l'humour, moi !", Sophie Jomain sait rester simple et vivante, gaie et rapide, sans rouler des mécaniques. J'y ai même trouvé un petit côté caustique en croquant la bourgeoisie lilloise ( les lectrices populaires peuvent ainsi se venger gentiment) ainsi qu'une vraie ouverture d'esprit avec la banalisation de l'homosexualité dans un genre plutôt porté sur le couple hétérosexuel exacerbé.
" Fais moi taire si tu peux" , même classé dans la chick lit de luxe de chez Harlequin, n'arrive pas à la cheville d'une Bridget Jones mais reste un roman très simple, très formaté, possédant quelques petites envolées plutôt réussies ( mais avec une bonne baisse de régime sur le dernier tiers, dénouement obligatoire oblige) et qui plaira au public visé. Il n'y a pas de mal à se faire du bien et si ce roman peut y contribuer chez certain(e)s tant mieux !
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Une comédie romantique jubilatoire, excellente en cette période de fêtes! Un petit bonbon, une douceur! Bien sûr, il ne faut pas s'attarder sur le côté vraisemblance, mais les dialogues sont bien menés et plein d'humour. le thème est original.
Sophie Jomain : Belle découverte ! Une auteur pétillante!
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Comédie romantique drôle, sans prise de tête.

Louise est fleuriste, Loïc détruit les couples, que ce soit lors de mariages ou d'enterrement.

Alors d'accord, ce n'est pas réaliste. Qui aurait pour travail destructeur de couple? Mais est-ce si important? Je ne pense pas.

J'ai passé un bon moment au milieu des pistes à lire les aventures de Louise et Loïc.
Ils ont relativement le même parcours de vie, tous 2 enfants de divorcés. Ce qui a conduit, l'une à ne pas vouloir de relation longue durée et l'un à s'évertuer à ouvrir les yeux des couples.

Sur un malentendu, ils se sont bien trouvés tous les 2.

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Si Sophie Jomain avait placé son histoire dans l'univers de Highlander, le résultat aurait été une micro-nouvelle. Loïc, l'empêcheur de se marier en rond, aurait rencontré Connor MacLeod (du clan des MacLeod, préciserait cet immortel La Palice) et lui aurait balancé la phrase fatale : fais-moi taire si tu peux ! Chose à ne pas dire à un type armé d'un katana et passé maître dans l'art de la décapitation. Couic, couic, quickening. Adieu, veau, vache, cochon, tête et Loïc.


Fais-moi taire si tu peux ! est une comédie romantique. le titre, la couverture, la quatrième, l'éditeur, la collection, l'ensemble de ces éléments ne laisse aucun doute sur le classement de l'oeuvre. Avant même de lire la première ligne, on SAIT que Louise la Fleuriste et Loïc le Destructeur finiront ensemble. C'est le gener qui veut ça? On ne peut donc pas lui reprocher d'être prévisible, sans suspense ni surprise, surtout quant au dénouement. Ce serait comme se plaindre d'un polar en disant que la trame est cousue de fil blanc, avec un crime au début, une enquête au milieu et la révélation de l'identité du coupable à la fin.
La comédie romantique est un genre hyper codifié en soi, obligé de répondre à certains attendus pour cadrer à la fois avec l'amour et l'humour, sans parler des impératifs éditoriaux qui viennent se greffer par-dessus et limitent la marge de manoeuvre de l'auteur. Sur ce dernier point, suffit de regarder les appels à texte des éditeurs où il est TOUJOURS demandé que l'histoire se termine bien et que les personnages tombent dans les bras l'un de l'autre. On ne parle donc pas d'un genre à suspense avec un final inattendu.
Si on veut de la surprise, faut acheter des oeufs Kinder.


“L'important n'est pas le but, mais le chemin”, comme a dit un des quatre gonziers auxquels on attribue 99% des citations d'Internet, à savoir Confucius, Lao Tseu, Einstein ou Gandhi. Je te laisse vérifier lequel de ton côté, perso j'ai la flemme.
Le but final, on le connaît, reste donc le voyage. Ici, il s'agit en premier lieu du versant comique qui t'accompagne au long des pages et soutient le roman sur ces deux premiers tiers, avant que ce dernier ne s'oriente davantage vers le rapprochement de Loïc et Louise.
L'objectif de Fais-moi taire si tu peux ! n'a jamais été de révolutionner le genre mais de proposer un moment de lecture divertissant, léger et drôle.
Y parvient-il ?
Tintintin !…
Roulement de tambour…
Solo d'ocarina…
Tension dramatique à son comble…
Chacun retient son souffle…
Tendu comme un string taille S sur un sumotori…
Cramponné à son fauteuil…
Crispé à en arracher les accoudoirs…
La réponse est oui. Tada !


Fais-moi taire si tu peux ! cherche à te faire marrer et il réussit son coup. Je me suis bidonné lors de la première rencontre de Louise et Loïc (elle : “Oh ! mon Dieu…” ; lui : “Loïc suffira”), lors du premier mariage saboté, lors de l'explosion du “gâteau d'amour” pendant un autre mariage… le chapitre de l'enterrement atteint des sommets de drôlerie. le face-à-face entre Loïc et une Louise en pyjama Marsupilami, armée d'un pot de Nutella, est à se faire dessus quand on visualise la scène. le groupe de musique tyrolienne, j'étais plié. Et cetera, et cetera.
J'ai ri de bon coeur devant les situations cocasses et les dialogues qui font mouche grâce un sens consommé de la formule. L'ensemble est bien dosé et bien rythmé. Plutôt que viser un festival du rire non-stop où les scènes se noieraient (comme Philippe) les unes dans les autres, l'auteure a su ménager ses effets en intercalant des passages qui permettent au lecteur de reprendre son souffle, construisent le personnage de Louise (famille, amis, travail, psychologie…) et mettent d'autant mieux en exergue les moments tordants.


À l'arrivée, Fais-moi taire si tu peux ! est un bon titre pour s'offrir un moment de détente. S'il n'atteint pas l'ampleur des sagas Noss Head et Felicity Atcock ni la profondeur d'un Quand la nuit devient jour, ce n'est pas non plus ce qu'il vise, ce bouquin ne cherche pas à être ce qu'il n'est pas. Il tient son engagement de divertir et faire rire, respectant ainsi le pacte entre l'auteur et le lecteur. Amen et bonne lecture.
Lien : https://unkapart.fr/fais-moi..
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