Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

Ca faisait longtemps que je voulais lire ce livre. Une amie a eu la gentillesse de me le prêter. Allan Karlsson est un personnage atypique qui intrigue, de part son âge, son passé et ses actions. J'ai eu du mal à faire la transition entre la cavale du papi et son passé. L'histoire de sa vie est fantasque. Il faut dire qu'Allan boit des verres avec des chefs d'Etat et est la cause de nombreux problèmes du XXe siècle. J'ai trouvé le récit un peu décousu. Je pense que cette impression vient des anecdotes de la vie du vieux qui prennent le pas sur la cavale, qui devait être le centre du roman. Ce livre montre de hommes avides de pouvoir et vaniteux, mais aussi la bêtise humaine. C'est une lecture agréable, que je n'ai pas trouvé hilarante. Je suis déçu. On m'a offert L'analphabète qui savait compter, j'ose espérer mieux l'apprécier.

Je crois qu'il m'a fallu plus d'un mois pour arriver au bout de ce livre. J'avais tout entendu à son sujet : des avis très positifs ou complètement négatifs. Cela débute bien pourtant, mais au fil des pages, la cavale du centenaire passe au second plan, derrière des anecdotes de sa vie. Un va et vient entre passé et présent auquel je n'ai pas accroché.

J'ai trouvé ça hyper long et pas spécialement drôle … Ce fut une épreuve de lire les 150 première pages, je ne savais clairement pas ce que je faisais là. L'histoire est abracadabrantesque et malgré l'alternance entre le passé du héros et son présent je me suis demandée où on allait et quelle allait être la dénouement et puis finalement j'ai fini par jeter l'éponge, car je n'arrivais pas à m'intéresser au récit.
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Pas du tout accroché. Si vous aimez la comédie Forrest Gump en voici la version suédoise. Un personnage qui a fait le tour de la planète et a rencontré les plus grands de l'époque dans des situations qui n'ont aucune réalité ou crédibilité. Si cela peut vous aider à réfléchir sur la futilité du monde, tant mieux, pour ma part je n'avais qu'une hâte, achever au plus vite pour me consacrer à une oeuvre plus consistante, de celles qui vous émeuvent ou vous aident à y voir plus clair. La littérature est une aussi une histoire de choix.

Ce premier roman de Jonas Jonasson est plein d'originalité. Allan, centenaire s'enfuit de sa maison de retraite va croiser le chemin d'un tas d'énergumènes complètement farfelus.
Ce récit est entrecoupé de celui de son passé.
Le début commence très bien mais l'histoire est trop rocambolesque et je le trouve très mal traduit

Eh bien moi je suis une vilaine qui vient râler au milieu du flot de critiques dithyrambiques.
Le début est vraiment complètement déjanté et hilarant mais à la moitié de l'histoire, on se lasse et on attend patiemment la fin en espérant que ça va redémarrer. Ben non, ça redémarre pas. Dommage.

Ce roman alterne deux points de vue : la cavale d'Allan, cent ans, en fugue, et les rappels de son passé. Spécialiste en explosifs, il a été le protagoniste de tous les conflits du 20ème siècle, et a copiné avec tous les chefs d'état de l'époque.
Au bout de 100-150 pages, l'humour paraît répétitif, le procédé est trop visible, et la lecture devient vite monotone.
J'aurais préféré que l'intrigue soit plus centrée sur le Allan centenaire et fugueur.
Ce livre se lit assez facilement, sur la plage ou dans le train. Cependant, il m'a appris à me méfier des livres avec titre à rallonge, avec vieillard aux aventures dites loufoques, ou avec du rose sur la couverture.

Une histoire abracadabrantesque pleine de rebondissements, à lire au Nème degré. le récit alterne les aventures d'Allan (enfuit de la maison de retraite pour échapper à la fête de son 100è anniversaire) et de sa valise (volée à un petit malfrat dans une gare) et son passé (spécialiste en explosifs, il a connu tous les conflits et chefs d'état du Xxè s).
Le souci c'est qu'assez rapidement on a compris le ressort d'écriture utilisé pour introduire une nouvelle mésaventure et le tout devient très répétitif et du coup on a hâte que ça se termine. J'ai trouvé également le récit décousu et les allers-retours entre la cavale du vieux et ses souvenirs rocambolesques construits sur un rythme trop systématique. Bref, je me suis ennuyée.
Mais la revue du 20è s faite par Jonasson au travers des rencontres de notre petit vieux (avant qu'il ne soit vieux) avec toutes les grandes figures de l'histoire est super drôle dans le principe.

Un Candide à l'envers étonnant, détonnant, truculent et dont l'auteur nous rappelle avec audace et ironie que l'on est tous empêtrés dans L Histoire et qui offre au Hasard une place de choix.

Une théorie de la relativité déconcertante, servie par un panel de personnages tous plus invraissemblables les uns que les autres ; un conte philosophique moderne et désespérant de clairvoyance, qui ridiculise les conventions sociales les plus éprouvées, du mariage à la sexualité en passant par l'argent et les clichés liés à l'âge.

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Enfin, une rétrospective amusée sur un XXème siècle qui a trop fait pleurer, un pan de notre Histoire sans queue ni tête, auquel nous n'avons visiblement toujours rien compris... et pour cause !
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Page 250..... pfffff ça fait trois fois que je recommence ce bouquin ...... je déteste abandonner un livre en cours de lecture ! Là je prononce l'arrêt définitif et pour être certaine que je ne recommencerai pas ...... je vais aller le mettre dans la boîte à livres! En fait il aurait pu être bien ! C'est bien écrit le ton est décalé et léger..... mais 250 pages aurait suffit!
L'auteur alterne entre l'aventure de Allan en 2005 et l'histoire de sa vie entre 1905 et 2005 . Allan fête ses 100 ans en se faisant la malle de la maison de retraite, vole une valise qui le rend riche et recherché et rencontre une bande de personnages tous plus loufoques les uns que les autres !
Finalement le livre est trop long mais 100 ans de vie peut être aussi.