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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un deuxième tome que je me languissais de découvrir depuis la fin du premier. Évidemment, Gabriel Katz est connu pour être un auteur sadique et ce diptyque le prouve complètement.

Le culte d'Ochin prend de l'ampleur sur la Grande Déesse. Kyrénia est la cible parfaite pour ce nouveau culte. Un duel est organisé entre les deux religions. Mais Ochin est privée de leur champion, ils vont devoir en trouver un autre. La guerre civile est proche, le Temple se doit de réagir. Qui va l'emporter ?

J'avoue qu'au début du roman j'ai été perdu, je me rappelais que la fin du premier était horrible, mais quand j'ai commencé ce livre, j'ai du retourner lire le dernier chapitre pour être bien sur car l'auteur m'avait mis le doute.
Dans ce second tome, Desmeon est mis en avant. C'est un personnage que j'avais beaucoup apprécié dans le premier tome, surtout que tout le monde l'appelle le Danseur et que dans ce tome on comprend mieux pourquoi. C'est un personnage avec beaucoup d'humour, il prend les choses un peu à la légère du coup, il a toujours des réparties amusantes. Dès le début, il a su me touchait et je suis très contente d'en avoir appris plus sur lui.
On suit encore l'histoire du point de vue de Varian. Jeune homme croyant à la Déesse plus de que tout, va très vite se rendre compte de certaines choses… J'aime beaucoup le fait de suivre Varian, de ce fait, on voit ce qu'il se passe dans le Temple.
Par contre, cette *bip* de Nessirya, elle m'a gonflé ! C'est rare que je n'aime pas un personnage, mais elle, c'est normal !
Encore une fois l'auteur a su me captiver avec ses personnages. Desmeon est un des personnages que j'apprécie beaucoup.

Le style de Gabriel Katz est toujours aussi prenant. Dès le début je plonge dans ce roman avec une énorme envie. Sauf qu'entre temps j'ai dû lire un autre livre, du coup je l'ai mis en pause. Dès que je l'ai repris, je n'arrivais pas à me remettre dedans mais dès le deuxième chapitre, c'est bon c'est parti ! de plus, l'intrigue est prenante. Et les révélations s'enchaînent !

En conclusion, j'ai passé encore un bon moment grâce à Gabriel Katz ! Un diptyque fantasy que j'ai beaucoup apprécié. le conflit entre les deux religions est très intéressant, les revirements de situations sont prenants et les personnages très attachants – sauf une évidemment !
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Je suis tellement heureuse de l'avoir reçu à noël, il n'a pas tenu un mois que je l'ai dévoré en peu de cession de lecture. Ce second et dernier tome de la série est amer, captivant, il apporte un final intéressant et j'espère pouvoir continuer mon aventure avec La part des ombres (tome 2) ou encore La maîtresse de guerre. Je dois bien avouer que j'ai préféré le point de vue de Leth Marek, mais j'ai davantage aimé le scénario développé dans ce tome.

Nous avons un deuxième tome écrit sous l'oeil amusé, cynique de Desmeon. Rien que de savoir qu'il était mis en avant et je savais que j'allais beaucoup m'amuser. Alors d'une certaine manière, j'ai bien perçu que le récit nous été délivré via Desmeon, les métaphores, les répliques... Mais pour s'amuser, l'histoire est d'une telle violence, sombre et terrifiante. Ce qui ne laissera pas Desmeon indemne. J'ai beaucoup aimé voir notre protagoniste principal en difficulté, moins confiant sans pour autant être changé. C'est un personnage captivant, attachant, cynique et loyal, j'ai bien aimé sa relation avec les autres protagonistes de la duologie.

Ces derniers sont très intéressants. J'admets que ce tome plus violent leur donne une nouvelle facette, la guerre et les événements de cette intrigue me donne une autre vision d'eux. Synden est tellement géniale, forte et caractériel, vive et très déterminée, sa relation avec Desmeon est fantastique. Simple, jolie, amusante – j'ai adoré leurs répliques. Annoa et toute la troupe qu'il parvient à mener me rend aussi admirative que terrifiée. Ce récit met en avant le fanatisme religieux, d'un côté ou de l'autre de la balance, c'est glaçant de voir les manipulations, les mensonges, les torsions faites avec la réalité pour apparaître vertueux et parfait. En ça, Annoa est un personnage merveilleux, tout comme Ismaen ou Nessirya. J'ai bien aimé Mae Nam ou Varian, ce sont deux personnages très sympathiques, la première rompue aux manigances tandis que le second se blinde devant toutes ces horreurs pour gagner sa place.

Ce qu'il y a de fascinant dans cette série c'est qu'elle est amer. La fin en est le parfait exemple. J'avais des attentes, des envies de justice qui ne verront jamais le jour, pourtant, aussi frustrant cela soit-il, il y a comme du génie dans cette fin. Les méchants ne sont pas toujours punis selon les conséquences de leurs actes, c'est horrible, mais intéressant comme parti pris. Et pour en revenir à cet aspect « amer », les personnages subissent de nombreux revers, des situations périlleuses où ils sont obliger de se dépasser quitte à se renier, à se parjurer, à mentir, à cracher sur leurs valeurs, leurs rêves, à changer de trajectoire, mieux se perdre pour mieux rebondir sur leurs pattes. Ça me rappelle énormément l'ambiguïté cultivé dans la saga du Trône de fer.

De ce fait, toute l'atmosphère oppressante, toute cette violence se développe via les protagonistes, leurs évolutions. Mais pas seulement ! La plume de Gabriel Katz est parfaite pour ce type de récit. Les thèmes abordés sont nombreux et bien exploités, le style s'avère précis, soigné sans faire de chichis, avec une légère pointe d'humour. Un côté irrévérencieux bien pensé et suffisamment chouette pour ne pas sombrer dans une intrigue trop glauque. Sans oublier que l'intrigue en elle-même est bien maîtrisée. J'ai eu de la tension, des drames, des duels, de l'amour, des trahisons et des alliances, des mensonges et des révélations, des ascensions et des chutes. L'histoire propose une fin – qu'on l'accepte ou non –, des réponses aux questions posées, de petites zones de floues suffisantes pour jouer avec notre imaginaire. Les ingrédients fonctionnent à merveille et j'ai adoré lire ce second opus.

En conclusion, Aeternia est formidable sur plus d'un point. Il n'existe pas de bons ou de méchants, juste des hommes avec des défauts et des qualités, tentant de faire au mieux, de survivre. C'est un univers sombre, très mature, violent, avec du sang, de la tension, des drames, des larmes, vous êtes prévenus ! Il y a certes de l'humour sous forme de cynisme, d'un brin de dédain, un aspect irrévérencieux bien exprimé à travers Leth Marek et Desmeon plus que dubitatif sur l'utilité du fanatisme religieux qu'il soit exprimé par Varian, Ismaen ou par Annoa et Nessirya. Enfin, la fantasy est vraiment explosive avec ce mélange d'arènes à la gladiateur, avec un aspect très médiéval pour le reste, un brin de magie. Les intrigues sont maîtrisées et denses, le style d'écriture est très addictif, entre modernité et précision. Je ne me suis pas ennuyée et les deux tomes m'ont enthousiasmées pour des raisons différentes. Je suis maintenant impatiente de terminer La part des ombres et de lire la Maîtresse de guerre.
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La fin du premier tome m'avait laissée sur les fesses ; je ne m'y attendais tellement pas ! L'envers du monde prend suite directement après les événements achevant La marche du prophète, et autant vous dire que dès le début de ce second tome, j'étais de nouveau plongée dans le récit, pleine d'espoirs pour certains personnages, et j'avais vraiment hâte de savoir comment tout cela se terminerait. Je n'ai pas été déçue ! Et ce que j'ai apprécié plus que dans le premier livre, c'est que le récit nous fait suivre plus de protagonistes ; parfois, ils ne sont présents que pour un ou deux chapitres, d'autres fois, on les suit tout au long du roman. Les personnages sont variés et apportent un point de vue différent sur les événements, se croisent…
L'envers du monde est l'occasion d'en apprendre plus sur l'univers créé par Gabriel Katz, sur les religions qui régissent le pays… En fait, on retrouve tous les bons éléments du premier tome, et on y ajoute plein de révélations, des surprises et des retournements de situations, plus de personnages, et on obtient ce second tome !

Aeternia est une bonne duologie de fantasy. J'ai une autre histoire de Gabriel Katz dans ma bibliothèque et c'est avec plaisir que je la découvrirai.
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Mais quelle conclusion ! On retrouve ici tous les bons ingrédients du tome 1, quoique dans une ambiance nettement plus sombre. Heureusement, l'humour de Desmeon permet d'alléger un peu la barque (mais bien peu). le rythme, effréné jusqu'à la fin, ne laisse aucun répit au lecteur. Voilà un diptyque fantasy très réjouissant, proposant une aventure on ne peut plus dynamique, sur fond de guerres de religion - un thème rudement bien traité.
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Quelle suite! J'ai eu tout ce que je voulais. Desmeon se montre enfin vraiment et c'est un délice...Bon, c'est vrai qu'il fait le fanfaron, qu'il n'est pas du genre à respecter les protocoles ou à écouter ce qu'on lui dit mais c'est surtout le combattant qui m'impressionne. Après avoir lu ce tome, je comprends mieux et n'y aurais pas pensé. Gabriel Katz a encore frappé avec ses surprises. le roman est quand même bien sanglant. Personnellement, ça ne m'a pas dérangé puisqu'il décrit avant tout les combats. Et pour sortir des combats, il donne les résultats. Au bout d'un moment, on est immunisé.


Concernant Varian, je l'ai adoré. Ce n'est pas un religieux, c'est un stratège, négociateur et politicien. Je n'ai aucun doute sur son avenir. Et je suis contente que le petit chien s'en sorte bien grâce à Varian. Nessyria...J'aurais bien aimé qu'elle paie pour tout ce qu'elle a fait. Et en même temps, elle a été sacrément naïve. Est-ce suffisant pour autant comme prix à payer? Je ne sais pas.


Quand à la fin, on se doute de la suite mais j'aurais bien aimé savoir le juste après. En même temps, je me dis que l'auteur a été sympa en épargnant un peu. En tout cas, cette suite et fin est rythmée. On n'a pas le temps de souffler. Les informations s'enchainent tout comme les jeux de pouvoir, les complots et trahisons.


En bref, ce tome est juste brillant. Je l'ai lu en deux fois sans voir le temps passé. Si je dois conseiller un auteur de fantasy, Gabriel Katz en ferait parti. Je peux vous le garantir.
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J'ai dévoré ce second tome aussi rapidement que le premier, et le moins que l'on puisse dire c'est que Gabriel Katz n'est pas tendre avec ces personnages... Tout s'enchaîne très bien, le roman se dévore et l'on ne s'ennuie pas une seule seconde, je déplore simplement que la fin ait été un peu trop rapide et pas assez explicitée! Néanmoins, c'est un récit qui soulève quelques réflexions intéressantes sur des sujets parfois sensibles ^^
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A la fin du tome précédent l'on avait quitté l'histoire sur l'assassinat de Leth Marek par la prêtresse Nessyria. C'est donc logiquement que dans cet ultime tome l'on retrouve Desmeon dans les arènes de Kyrénia face au Champion du culte de la Grande Déesse.

Si l'histoire ne naous avait pas totalement convaincue dans le premier opus avec de nombreuses longueurs et une omniprésence de deux cultes, une intrigue qui se développait un peu trop longuement, ici les événements se précipitent. En effet le décor ayant été planté, et même si la présence des deux cultes est encore présente elle prend moins le devant de la scène. le changement de narrateur apporte un plus au récit, l'intrigue prend de l'ampleur et les introspections sont pour ainsi dire inexistantes.

Les révélations s'enchaînent avec Desmeon qui nous livrent les dessous cachés du culte d'Ochin. Avec cette révélation choc l'atmosphère se fait plus sombre, la noirceur de l'âme humaine est mise en évidence. Avec l'entrée dans la cité des fidèles la violence prend le dessus sur les manigances et bien que les rebondissements soient souvent prévisibles, ils se montrent saisissants car l'auteur ne ménage pas ses personnages.

Des personnages qui prennent de l'ampleur, notamment Desmeon que l'on découvre plus complexe même s'il garde une certaine désinvolture qui fait tout son charme. Certains personnages de second plan que l'on avait peu vu jusqu'à maintenant prennent de l'ampleur en occupant le devant de la scène et l'on découvre d'eux une approche moins caricaturale que dans le premier opus. Varian nous présente un autre visage que le novice que l'on avait découvert un peu désabusé, plus mature et s'adaptant avec facilité au jeu d'échec des Grands Prêtres parvenant lui aussi à faire avancer ses pions, mais donc se veut moins attachant. Les inter-actions verbales sont toujours savoureuses, l'humour y est toujours présent même s'il est plus sobre. Un autre point qui gagne en qualité car distillé avec plus de finesse.

Les thématiques abordées par l'auteur sont, en plus d'être d'actualité, pertinentes et l'histoire est mieux construite que précédemment même s'il persiste encore quelques petits défauts. Un récit plus attrayant et plus addictif qui ne donne pas parfois l'envie de sauter quelques lignes certaines répétitions du premier tome ayant totalement disparues.

Malgré une facture classique et un postulat de départ simple, ce deuxième tome se révèle nettement plus intéressant avec des personnages plus travaillés, un univers mâtiné d'une pointe de dark-fantasy, des rebondissements à presque chaque page, des combats plus présents même si l'on aurait aimé qu'ils soient encore plus visuels, moins expéditifs. Ces points positifs additionnés à la plume de l'auteur parfaitement maîtrisé nous donnent une dynamique de lecture encore meilleure.

Le dénouement est surprenant, et nous laisse sur une impression d'inachevé : les motivations de certains personnages ne sont pas clairement explicités, il demeure de nombreuses zones d'ombres. Avec cette fin qui n'en est à proprement parler une fin l'auteur laisse à penser que l'on va retrouver certains de ses personnages dans une oeuvre à venir.
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Un vrai bonheur de retrouver cet univers ! le tome 1 nous avait laissé sur un cliffhanger de folie. Un évènement qui remettait tout en cause et s'il y avait encore un doute, si certains lecteurs avaient encore un espoir, celui-ci est vite dissipé. Desmeon va devoir affronter la situation seul.

L'histoire démarre tout d'abord par un retour sur le passé de Desmeon, ce qui nous permet d'en savoir plus sur lui et la façon dont il est arrivé là. Ce tome porte bien son nom. L'envers du monde parce qu'on est à contre courant du tome précédent. le héros change, les enjeux aussi et même nos attentes vis à vis de l'histoire. L'impression de sérénité qui semblait se dégager du premier tome laisse place dorénavant à un chaos grandissant.

Les complots se multiplient ainsi que les révélations. Encore une fois, Gabriel Katz sait distiller ce qu'il faut d'action et de suspense pour nous donner envie de lire le chapitre suivant.

La fin un peu ouverte m'a un peu frustrée mais à force le nom de Gabriel Katz semble rimer avec frustration. Un bon moment même si j'ai une préférence pour son autre saga : le puits des mémoires.
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Ce deuxième volume d'Aeternia est dans la ligne directe du premier.
Les révélations du premier volume avaient déjà de quoi secouer un peu, et celui-ci approfondit encore, descendant toujours plus dans la noirceur humaine.
La narration est différente, ce qui nous permet également d'apprendre à mieux connaître les états d'âme de Desmeon, un protagoniste agréable à suivre.
Mais surtout cette mise en scène du conflit religieux prend de l'ampleur et reste toujours aussi intéressante et pertinente.
Gabriel Katz mélange avec habileté la fantasy de divertissement, une thématique sérieuse, un récit dramatique. L'Envers du monde conclue un diptyque réussit.
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Bien heureusement, mon avis sur ce second tome est bien meilleur que pour le premier ! J'avais trouvé le premier tome assez classique, bien qu'efficace tout de même, mais j'ai trouvé ce deuxième tome bien plus étoffé, plus rythmé et plus glauque ! Autrement dit, j'ai beaucoup apprécié ma lecture !

Ce n'était pourtant pas gagné au départ… Avec mes a priori après ma lecture en demi-teinte du premier tome, et les mois qui avaient passé entre les deux lectures, j'ai eu beaucoup de mal à me replonger dans l'univers d'Aeternia. J'ai mis environ 70 pages à me remettre dans l'ambiance, à me rappeler des personnages et de ce qui leur était arrivé dans le tome précédent. le démarrage fut donc un peu laborieux… Mais passé ces premiers moments de doute, ma lecture fut très bonne !

J'avais déjà bien apprécié le personnage de Desmeon dans le premier tome, mais dans ce tome-ci il est exploité à sa juste valeur, et je l'en ai d'autant plus apprécié. C'est un personnage qui est loin d'être naïf, et dans ce genre d'intrigue qui tourne autour de politique, c'est très appréciable de suivre un personnage qui sait prendre du recul avec les événements. Les personnages qui pouvaient paraitre secondaires au départ deviennent primordiaux dans cette suite, révélant une intrigue assez complexe et vraiment terrible ! Je ne m'attendais pas à ce que l'intrigue prenne un tour aussi sombre, et j'ai beaucoup apprécié cela.

Le roman est très rythmé, ponctué de très nombreuses scènes d'action, de combats et de batailles. J'aime lire des romans de fantasy dans lesquels les épées sont souvent sorties de leur étui, et où le sang coule à flot ! Non non je vous rassure, je n'ai pas de problème de gestion de l'agressivité, mais j'avoue que j'aime bien quand il y a de la bataille, et là j'ai été servie, car c'est ce qui m'avait un peu manqué dans le premier !

La thématique tournant autour de la religion et de la politique développée dans le premier tome prend ici une tournure encore plus retorse, et cela aussi je l'ai beaucoup apprécié. Gabriel Katz a un don pour créer des histoires complexes mais intéressantes de par les problématiques qu'il soulève, et ici le tout prend une tournure terrible qui m'a extrêmement plu ! Aeternia démontre en effet comme il peut être simple de soulever des mouvements populaire par quelques artefacts bien recherchés, à quel point certaines croyances peuvent entrainer des déviances, combien les élites n'hésitent pas à sacrifier le bas peuple…
Sans compter LA révelation qui tombe en fin de roman, qui m'a totalement soufflée malgré les indices disséminés au fil des chapitres, et dont je ne suis toujours pas remise. Et ces ultimes phrases de fin qui ont fait que l'auteur s'est pris quelques noms d'oiseaux pas commodes quand j'ai refermé le livre…!

Vous l'aurez compris, les deux jours passés en compagnie de ce deuxième tome ont été très agréables : je n'ai pas vu ma lecture passer, j'ai vibré, été surprise, déçue, énervée et effarée… Bref, ce fut un bon moment de lecture !
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