- Tu veux me dessiner ?
Il hoche la tête.
- Comme une de tes Françaises ?
- Quoi ? il demande, dubitatif.
- Tu ne te souviens pas de la scène de Titanic que nous avons regardée l'autre soir avec Hollis ? (p239)
Mon cerveau est passé en mode “homme des cavernes”.
Summer crie.
Summer danger.
Summer sauver.
Pour la première fois, j’ai la sensation de vraiment vivre ma vie plutôt que de rester caché dans l’ombre.
Vous vivez vraiment dans un triste monde, Kamal. Un monde plein de personnes intéressées et de gens qui s’utilisent en permanence. Un monde où la compétition règne, où deux personnes ne peuvent pas être ensemble simplement parce qu’elles s’aiment.
Il fut un temps où nous avions des objectifs et un ennemi communs. Nous luttions pour le droit de vote et faisions brûler nos soutiens-gorge. De nos jours, nous passons trop de temps à nous moquer du corps des autres sur les réseaux sociaux ou encore à n’accuser que la maîtresse d’un homme qui nous trompe. Je ne suis pas une féministe radicale. Je ne considère pas les hommes comme des démons qu’il faudrait éliminer de notre société. Je pense que les hommes sont indispensables à notre monde. Leurs bites sont fantastiques, reconnaissons-le. Ce serait simplement plus agréable si les femmes redevenaient un peu plus solidaires entre elles, comme au bon vieux temps.
Quand on est une fille riche du Connecticut, les gens ont tendance à vous mettre dans la case pétasse matérialiste.
“I’m not having kids with you,” I wheeze at Summer. “I don’t want to be part of your insane family.” “Oh hush, sweetie. It’s too late. I’ve become attached.”
- Ce ne sont pas les hommes qui définissent une femme, mais ce qu'elle accomplit. Sans oublier ses chaussures.