Malheureusement, nous vivons dans une société où l’on apprend davantage aux femmes à se crêper le chignon qu’à s’entraider. C’est totalement absurde. Nous devons nous aider les unes les autres en vue de notre émancipation et pour apprendre aux générations futures combien il est important de rester soudées. Il fut un temps où nous avions des objectifs et un ennemi communs […] De nos jours, nous passons trop de temps à nous moquer du corps des autres sur les réseaux sociaux ou encore à n’accuser que la personne d’un homme qui nous trompe.
Ce ne sont pas les hommes qui définissent une femme, mais ce qu'elle accomplit.
La façon dont les gens te perçoivent n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est le regard que tu portes sur toi.
Summer est tout pour moi.
Summer est ma muse. J'ai numérisé presque tous les croquis que j'ai fais d'elle pour créer le personnage de mon nouveau jeu vidéo.
Summer est celle qui me fait toujours rire.
Je suis complètement fou de cette fille. Fou à lier.
Il est dangereux.
Pas pour ma sécurité.
Pour ma raison.
Je n’ai pas l’habitude du silence, qui force à sonder les profondeurs de son esprit. À affronter les pensées mises de côté durant la journée, ou bien les inquiétudes qu’on pensait disparues, ou encore les secrets qu’on tente de garder.
Avec Fitz. Notre baiser a duré moins d'une minute, devant une dizaine de personnes qui jouaient à la bouteille. Pourtant... il m'a fait chavirer. Je n'ai pas cessé d'y penser, je suis sûre que j'en ai même rêvé (mais je ne m'en souviens pas).
Fitz saisit mon menton. J’entends vaguement quelqu’un siffler, sans doute Hollis. Ensuite, je n’entends plus rien. Quand Fitz pose tendrement ses lèvres sur les miennes, seuls les battements saccadés de mon cœur résonnent dans ma tête.
« Oh…
Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi tendre. Devant tout le monde. Pourtant, son pouce caresse ma joue. Il a des lèvres douces, qu’il utilise avec une grande assurance. Je frissonne dès qu’il augmente la pression contre ma bouche. Puis je sens le bout de langue caresser ma lèvre inférieure et je sursaute, comme si j’avais mis mes doigts dans une prise.
Le contact de nos deux langues signe ma perte. Entre mes jambes, le désir augmente, se propageant jusqu’à mes tétons qui durcissent. Je m’abandonne complètement. Je laisse Fitz enfoncer sa langue dans ma bouche, me serrer par la taille avec possessivité. Je sens son souffle chaud contre ma bouche, et son odeur torride m’enivre.
Plus rien ne m’arrête. »