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3,49

sur 548 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai été fortement déçu par « Isabelle, l'après-midi ». L'histoire de cette relation cachée entre une bourgeoise d'age mur se voulant libérée mais évoluant en réalité dans un milieu ultra conservateur et d'un jeune ricain solitaire, épris de liberté rentrant lui aussi dans le rang d'une vie toute tracée grande école-grande carrière-mariage-enfant, est d'une très grande banalité.

Le décor du Paris bohème des années 70 est bien artificiel et on ne croit pas davantage à cette lointaine liaison par éclipses parsemée de péripéties lourdingues censées la rendre plus vivante.

Dépression, alcoolisme, handicap et même cancer : Kennedy ne lésine pas sur les artifices les plus balourds pour faire pleurer ses lecteurs.

La mixture a été pour moi trop indigeste et ce livre sera probablement le seul que je lirai de lui !
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Jeune étudiant en vadrouille à Paris à la fin des années 70, Samuel rencontre lors d'une soirée littéraire à Saint Germain des Prés (évidemment) l'incendiaire Isabelle. Elle a quinze ans de plus que lui et est mariée. Mais, évidemment, pour une française, toutes ces considérations n'ont que peu d'importance et elle lui propose immédiatement trois cinq à sept (littéralement! de 17 à 19 heures) par semaine dans sa garçonnière.
Samuel est fougueux et désire plus mais finit par rentrer aux Etats-Unis où il se marie et devient avocat sans pour autant couper les ponts avec sa maîtresse et les cendres de leur passion.
J'avais déjà lu, il a pas loin de vingt ans, un roman de Douglas Kennedy. Je ne m'en souviens pas mais je n'en ai en tout cas pas de mauvais souvenir.
Il sera plus difficile d'en dire autant de celui-ci que j'ai traîné pendant plusieurs soirs sans joie.
Quelle vision de la femme! Samuel, irréprochable dans sa passivité, ne rencontre que des femmes inconstantes, matérialistes et obsédées par la maternité (en existe-t-il d'autres?). Il consomme ces femmes tant qu'elles restent des amantes passionnées (leur tempérament est quasiment exclusivement décrit par le prisme de leur sexualité), leur principale qualité étant toujours qu'elles « aiment le sexe » peu importe la façon dont elles le pratiquent bien qu'il établisse plus ou moins un classement en fonction de ça. Puis, la maternité, par lui ou pas, les empêche d'ouvrir les cuisses assez souvent. Devenir mères les rend folles et Samuel part se consoler ailleurs, non sans leur avoir offert les services d'une nurse à temps plein s'il est à l'origine de la maternité. La preuve que c'est un mec bien! Il ne va quand même pas s'emm… avec des hystériques.
Bref, un roman fort moderne dont je n'ai pas été étonnée que Le Figaro apprécie.
A lire aux toilettes.

Lien : https://lucioleetfeufollet.c..
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Tout d'abord, je suis loin de rejoindre de nombreux lecteurs quant à l'éloge de Paris faite dans ce livre : pour moi, ici, l'auteur évoque Paris d'une manière plus que caricaturale : il fait appel à de très nombreux clichés qui sont selon moi bien loin de mettre la ville en valeur et qui parfois frisent même le ridicule.

Aux côtés de Sam, j'ai aperçu Paris , et d'ailleurs toute l'histoire, comme si j'avais été sous une averse de pluie continue, une grisaille sans fin.

Je reconnais qu'au départ, j'ai été prise dans le roman : cette idylle entre Sam et Isabelle, cet amour naissant , ..... mais très vite, je n'ai plus adhéré. Peut-être que la vision de la femme donnée ici à lire m'a quelque peu .......rebutée...... tantôt instable, fragile, têtue, presque folle, ou bien encore obsédée par la maternité, Douglas Kennedy brosse des portraits de femmes guère reluisants .......
Quant à Sam...... est-il vraiment l'homme parfait ? ........ faire des choix, les assumer , ou plutôt se morfondre , douter, remettre sans cesse en question , ....... cela m'a finalement profondément ennuyé !!

Aucun des personnages ne m'a touchée, je n'ai perçu aucun réalisme dans les relations, dans les émotions, rien .

Il y a eu des longueurs, vraiment, puis des rebondissements qui pour moi, laissent à désirer ....... L'auteur a fait ce choix d'introduire des sujets graves tels que le handicap , ou encore le cancer, mais , à quelles fins ? Je me pose encore la question ........

Je crois que je n'ai pas « compris » ce roman , dans le sens où...... je n'ai pas saisi où l'auteur a voulu nous emmener .

Pendant cette lecture, il faisait froid, gris, le ton était mélancolique, triste, et distant. Moi qui pourtant ai lu quelques livres de Monsieur Kennedy, je n'ai pas du tout retrouvé sa plume sensible et romantique ici .......
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Sans intérêt, très déçue de Douglas
Kennedy, je comprends pas pourquoi il ridiculise les français de clochers insupportables et c'est d'un ennuie . Bref je ne lirais plus de livre de cet auteur.
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Je n'ai pas du tout aimé. Ennui total. J'ai lu 100 pages et j'ai abandonné.
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