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3,57

sur 1509 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Oui, d'accord, cela fait bien longtemps que le blog s'était malheureusement retrouvé en sommeil ... ce qui était révélateur de deux phénomènes conjoints : bien peu de temps pour lire, et encore moins de temps pour rattraper un retard qui commence à être plus que conséquent, comme en atteste la pile des livres à "billetiser", bien sagement rangée à proximité de l'ordinateur, mais néanmoins effrayante. Ce que les insomnies n'arrangent pas, en augmentant encore s'il était possible la hauteur vertigineuse de ladite pile. Réduire la pile, une des multiples tâches que je reporte à mon congé, qui risque cependant de ne pas extensible. D'où ma bonne résolution de m'y attaquer dès aujourd'hui, les copies attendront pour ce soir !

Un petit Douglas Kennedy, donc, lu le mois dernier, essentiellement la nuit, entre deux paquets de copies et trois périodes de sommeil plutôt entrecoupées et d'autant plus courtes. Cela faisait bien longtemps, et, ma foi, cela se laisse toujours bien lire ! Même si le cadre (accouchement cauchemardesque, suivi d'une bonne dépression post-natale) n'est pas des plus indiqués dans mon état (en même temps, ça fait relativiser faut dire).

Présenté comme un thriller (ah, satanées quatrièmes de couverture), alors que bon c'est plutôt un roman psychologique, qui démarre, à mon sens, plutôt mollement, dans sa première partie. Sally, correspondante pour un journal au Caire rencontre Tony, un brillant reporter ; c'est le coup de foudre, très vite conquise, Sally l'épouse, le suit à Londres, s'installe avec lui, et attend un enfant. C'est le passage un peu gnocchi, qui pour moi manque assez nettement de rythme et de mordant. C'est déjà un peu mieux lorsque Sally, en pure Yankee, peine à s'adapter à la vie londonienne, et découvre peu à peu un Tony qu'elle ne soupçonnait pas, et que leur relation, jusque là idyllique, commence nettement à battre de l'aile. L'accouchement et l'arrivée prématurée de leur petit garçon fat tout basculer ; l'enfoncement de Sally dans les affres de la dépression est assez réussi ; le roman prend enfin un rythme acceptable, même si certains passages s'éternisent un peu en fin de deuxième partie (même si on ne peut pas vraiment dire pourquoi, au risque de révéler des choses).

Un avis assez mitigé au final : divertissant, se lisant bien, quelques trouvailles sympathiques (comme l'avoué de Sally, personnage assez attachant, contrairement à sa copine Julia, plutôt agaçante) ... mais bon, pas le roman du siècle non plus. Dans le genre plus thriller pour le coup, je ne peux que préférer son excellent Cul de sac (récemment réédité sous un titre assez gnan-gan : Piège nuptial, vraiment haletant et très bien mené.
Lien : http://le-mange-livres.blogs..
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Et bien, que dire ? Je n'ai pas vraiment accroché. Il faut vraiment attendre plus de la moitié du livre pour qu'il se passe quelque chose, pour que ça bouge. Je m'attendais à plus d'action, à une histoire plus dynamique. Déçue.
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Titre lu il y a cinq ans et pour lequel il ne me reste aucun souvenir. A l'époque j'avais adoré "Cul de sac" aujourd'hui titré "Piège nuptial", et "l'Homme qui voulait vivre sa vie". Avec une relation dangereuse j'ai du passer largement la moitié du livre avant de trouver un intérêt et l'envie de connaitre la suite. Une déception pour moi donc.
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Le début de ce roman commence comme un conte de fée : ils s'aiment et eurent un enfant. On a du mal à s'attacher aux personnages de Sally et Tony, mais comme on ne comprend pas où veut en venir l'auteur, on s'accroche tant bien que mal. Dès que la perversité de Tony est mise à jour, on se laisse peu à peu embarqué dans le destin, la dépression, le combat de cette femme . Si la fin est plutôt réussie, il n'en reste pas moins que 200 pages pour commencer à intéresser le lecteur, cela me parait un peu long.
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Sally et Tony sont deux journalistes qui voyagent aux quatre coins du monde pour couvrir les catastrophes naturelles ou les guerres... Ils se rencontrent en Somalie et l'attraction est rapide. leur liaison débouche très rapidement sur une grossesse accidentelle. Direction Londres, travail de bureau et grossesse difficile. le couple va vite être mis à l'épreuve...

J'étais curieuse de découvrir cet auteur, mais je me dis finalement que je ne fais pas partie des lecteurs cibles de ce roman. Entre le titre et le résumé, je m'attendais à autre chose. Je me suis globalement ennuyée.
On devine vite que le couple ne fonctionnera pas, mais ça ne m'a pas du tout touchée. J'ai détesté Tony, du début à la fin.
Au début, Sally m'a laissée indifférente. Puis, elle traverse de telles épreuves que je n'ai pu qu'éprouver de l'empathie pour elle. Mais le résumé annonçait que son mari "semble cacher bien des choses", "allures de machination perverse" et je m'attendais à plus de perversité, plus d'actions, que ce qui se passe au final.
J'ai ressenti beaucoup de longueurs et d'ennui.

En bref, je ne sais pas si je lirai d'autres livres de l'auteur, mais celui-ci ne m'a pas passionnée, c'est le moins qu'on puisse dire.
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Bizarre livre. Cela commence de manière mièvre puis devient dramatique avec 200 pages de dépression postnatale et du traitement qui s'ensuit, avant à la page 306 (sur 525) de prendre un nouveau tournant et de terminer de manière melo-dramatique.
Je ne m'en suis tiré d'affaire qu'en survolant nombre de pages (lire trois lignes et balayer la page du regard). Un livre inégal dans son déroulé avec pourtant des suspens à rebondissements.
Je suis d'autant plus déçu que j'étais resté sur la bonne impression de « l'homme qui voulait réussir sa vie ».
Cela se termine moralement bien, mais moi je suis cassé.

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J'ai attaqué ce livre avec une forte sensation de déjà-lu.... ce qui s'est avéré exact. Il faut croire qu'il ne m'avait pas laissé une forte impression ! En général, j'aime plutôt bien ce qu' écrit D. Kennedy mais là, pas vraiment. L' histoire d'amour des personnages n'est guère crédible, tout va trop vite pour des gens aussi accros à leur métier, il y a aussi trop de clichés entre la jeune Amérique et la vieille Angleterre.
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Un petit Douglas Kennedy, donc, lu le mois dernier, essentiellement la nuit, entre deux paquets de copies et trois périodes de sommeil plutôt entrecoupées et d'autant plus courtes. Cela faisait bien longtemps, et, ma foi, cela se laisse toujours bien lire ! Même si le cadre (accouchement cauchemardesque, suivi d'une bonne dépression post-natale) n'est pas des plus indiqués dans mon état (en même temps, ça fait relativiser faut dire).

Présenté comme un thriller (ah, satanées quatrièmes de couverture), alors que bon c'est plutôt un roman psychologique, qui démarre, à mon sens, plutôt mollement, dans sa première partie. Sally, correspondante pour un journal au Caire rencontre Tony, un brillant reporter ; c'est le coup de foudre, très vite conquise, Sally l'épouse, le suit à Londres, s'installe avec lui, et attend un enfant. C'est le passage un peu gnocchi, qui pour moi manque assez nettement de rythme et de mordant. C'est déjà un peu mieux lorsque Sally, en pure Yankee, peine à s'adapter à la vie londonienne, et découvre peu à peu un Tony qu'elle ne soupçonnait pas, et que leur relation, jusque là idyllique, commence nettement à battre de l'aile. L'accouchement et l'arrivée prématurée de leur petit garçon fat tout basculer ; l'enfoncement de Sally dans les affres de la dépression est assez réussi ; le roman prend enfin un rythme acceptable, même si certains passages s'éternisent un peu en fin de deuxième partie (même si on ne peut pas vraiment dire pourquoi, au risque de révéler des choses).

Un avis assez mitigé au final : divertissant, se lisant bien, quelques trouvailles sympathiques (comme l'avoué de Sally, personnage assez attachant, contrairement à sa copine Julia, plutôt agaçante) ... mais bon, pas le roman du siècle non plus. Dans le genre plus thriller pour le coup, je ne peux que préférer son excellent Cul de sac (récemment réédité sous un titre assez gnan-gan : Piège nuptial, vraiment haletant et très bien mené.
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On a surtout envie de secouer l'héroïne...
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C'est très simple. Comme tous les Douglas Kennedy, c'est bien écrit. On se prend au jeu. Mais rien ne se passe, l'histoire est plate comme la Terre au XIIè siècle. Qu'importe, on sait qu'après il va se passer quelque chose, alors on s'accroche. C'est ça la cikologie. On attend. On attend, comme un peu ce personnage sur la couverture. Et puis, un jour, on envoie le bouquin à l'autre bout de la pièce, énervé, et on demande à sa femme : alors, comment ça finit ? Et elle nous raconte les 20 dernières pages du livre. Ah oui, c'est sympa comme fin. Mais avant de la lire, il faut s'accrocher sur au moins 250 pages de vie inutile. Je déconseille malgré la qualité de l'écriture. Pour les femmes, peut-être (c'est pas machiste comme remarque ça ?)
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