L'Araignée

Neuf balles blanches pour symboliser neuf meurtres, la neuvième étant prévue pour l'inspecteur Joona Linna...Et Saga Bauer,une ex-officier de police au passé professionnel chaotique comme salvatrice...Le tueur en série l'indiquant comme seule personne capable de résoudre ses énigmes...
Telle une araignée qui tisse sa toile pour emprisonner ses proies, ce tueur en série surgit de nulle part et frappe quand on s'y attend le moins...
Un très bon thriller aux scènes de crimes marquantes, comme souvent avec les auteurs scandinaves!!!

Encore une fois, un polar magistral.

Le couple Lars Kepler arrive à se renouveler et à maintenir l'intérêt des lecteurs avec des protagonistes récurrents et tout reste lié sans que nous tombions dans la redondance et rien que pour ça Chapeau bas !

Ici nous retrouvons Joona Linna et Saga Baueur.
Si vous vous souvenez du précédent opus, vous savez que Saga a vraiment payé de sa personne dans la précédente enquête et que Joona a fait des choix difficiles qui vont le hanter.

C'est donc Joona, flic, mais hanté par ses actes qu'on suit ainsi que Saga, dévastée de longs mois qui veut réintégrer les forces de l'ordre.

L'occasion se présente quand le corps d'un membre des forces de l'ordre est retrouvé, abattu selon un mode opératoire particulier qui a quelques ressemblances aux pratiques de l'araignée.
En effet, Saga a été destinataire d'une carte postale quelques temps avant, lui annonçant une série de meurtres (9) et cette phrase "toi seule peut sauver Joona Linna".
En tant que destinataire des paquets du meurtrier, de sa qualité d'ancienne membre de la Sãpo, Saga intègre l'équipe de la NAO au côté de Joona.
Mais rapidement, les crimes s'enchaînent et Saga est en mauvaise posture ... seul Joona, qui combat ses propres démons, lui réitère son entière confiance.
Et au dessus de cette enquête plane encore et toujours l'ombre de Jurek Walter.

Avec cet opus, Lars Kepler ne nous épargnent pas plus qu'ils n'epargnent leurs personnages.
De nombreuses figures emblématiques disparaissent. le doute s'insinue et finalement l'histoire, la genese de ces crimes est si bien pensé qu'on arrive à avoir de l'empathie pour le criminel.

Une écriture fluide, un style incomparable et efficace, des personnages plein de blessures mais debouts qu'on aime suivre.

Un régal.

Bonjour les babeliophiles aujourd'hui petit retour sur ma dernière lecture de 533 pages et non pas sur ma liseuse mais avec un vrai livre!!!!
Bon ayant reçu ce livre en cadeau l'ordre de lecture n'était pas le bon mais franchement cela ne m'a pas gêne.
Alors mon avis j'ai trouvé une première moitié longue,ennuyeuse, des meurtres répétitifs ou j'aurais aimé plus de description disons que je suis resté sur ma faim. Ensuite le seconde partie un peu plus rythmée ou nous avançons dans l'enquête. Alors oui c'est bien écrit les chapitres sont courts ce qui fait que l'on veut toujours continuer et suivre l'araignee ,mais franchement il m'a manqué quelque chose peut être plus de suspense un truc qui me prends les tripes et ce je ne l'ai pas eu malheureusement.
Toutefois, comme je le précise toujours, ceci est purement personnel.

Cette nouvelle enquête menée par Joona Linner et Saga Bauer m'a quelque peu déçue. Pour ceux qui ont lu les romans précédents, vous vous souvenez de Jurek Walter, sadique psychopathe redoutablement intelligent qui finissait enfin par mourir non sans avoir marqué profondément les esprits et les chairs de ceux qui l'avaient approché et avaient survécu. Et bien qu'il ne soit plus, cette intrigue lui est liée. Je ne peux évidemment pas dire en quoi mais vous le découvrez à la moitié du livre. Première déception vous savez qui commet ces crimes atroces. La seconde partie du livre se concentre sur les motivations du tueur, qui avant de passer à l'acte envoie à nos enquêteurs une petite figurine en étain figurant la prochaine victime. Bien évidemment rien n'est simple d'autant que le temps leur est compté. Mais je n'ai pas retrouvé l'angoisse et le suspense présents dans mes lectures précédentes. La tendance des préquels et des spin off dans le cinéma fait rage, je dirais qu'il en est de même avec l'araignée.

Dans ce nouveau roman, l'inspecteur Joona Linna et l'enquêtrice Saga Bauer sont de retour et doivent affronter un redoutable tueur en série.
La particularité de celui ci? Il annonce d'emblée qu'il y aura 9 victimes et envoie à Saga Bauer une figurine en étain enveloppée de différents indices, avant chaque meurtre, pour que la police tente de trouver le lieu où cela va se produire.

Il s'agit du premier livre que je lis de ce couple d'auteurs suédois, et comme tout polar scandinave il est particulièrement bon.
Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu un véritable page turner, et je peux dire que je suis conquis par le rythme infernal donné à l'enquête. Il ne se passe pas vingt pages sans qu'il y ait un énième rebondissement.

Pour tenir la distance, le réalisme est par moment mis de côté afin de privilégier une lecture sous anabolisants. C'est un parti pris qui de manière générale ne m'a pas trop dérangé, tant j'ai été happé par l'intrigue, la cadence des évènements qui défilent sous mes yeux et une lecture totalement oppressante par moment où j'avais l'impression d'être littéralement dans la peau du protagoniste principal.

Par contre j'ai été interpellé de voir que la psychologie des personnages est peu travaillée, ce qui m'a plusieurs fois laissé sur ma faim. Alors qu'une action forte émotionnellement est écrite, en une phrase elle est déclinée pour décrire le ressenti du personnage. J'ai trouvé ce procédé plutôt froid, et détaché.

L'action au détriment du sentiment, ou le manque de sentiment sublimé par une action cannibalisante.

L'araignée tisse sa toile et ne fait qu'une bouchée de son lecteur, effrayé de ne pouvoir se dépêtrer de ce piège.

Stop, overdose d'hémoglobine et corps décomposé, trop répétitif même si conté avec un certain talent, je me suis arrêté bien avant la fin. Neuf meurtres exécutés de la même manière sans que personne n'y voit rien... On y croit plus dès le troisième !
La surenchère dont font preuve les auteurs aujourd'hui finit par me filer la migraine, pourtant j'aime le polar nordique mais....pas à toute les sauces !

Je n'avais encore lu aucun des polars de Lars Kepler. « L'araignée » fut une très bonne découverte. le livre est rythmé, nous maintient en haleine malgré sa longueur (544 pages). Si l'affaire fait écho à plusieurs enquêtes précédentes des héros, l'auteur annonçant lui-même en introduction

Le livre est tout à fait accessible aux nouveaux lecteurs. L'intrigue est sombre et nerveuse, avec son lot de meurtres sanglants. Surtout son dénouement n'est pas cousu de fil blanc, malgré la certitude qu'il se jouera autour de la dernière cible et laissera donc derrière lui 8 cadavres. La toile d'araignée tissée par le tueur s'avérant plus subtile qu'il n'en a l'air. Un polar parfait pour les longues soirées d'hiver !

Lien : https://mangeursdelivres.fr/

J'attendais avec impatience ce nouvel opus de Lars Kepler, et je n'ai pas été déçue! Saga Bauer et Joona Linna se retrouvent et, bien entendu, ce ne sera pas pour partager un thé et des petits gâteaux ! Les voilà donc très rapidement pris dans une situation inextricable, au coeur de la toile d'araignée...
S'il est évident qu'ils ne résoudront pas tout de suite l'énigme et que le lecteur aura son lot de victimes à se mettre sous la dent, les auteurs parviennent à maintenir le suspense grâce à une tension palpable, qui monte d'un cran page après page, et des situations pour le moins inattendues qui poussent nos héros toujours plus loin dans leurs retranchements. Comment sortiront-ils de cette chasse à l'homme ?
Thriller à dévorer !

Je découvre Lars Kepler et c'est absolument grandiose ?!
Un polar gore, glauque et captivant !

Malgré son épaisseur, le roman se dévore hyper rapidement tant le rythme haletant et fébrile nous prend aux tripes.

Les protagonistes sont denses et aboutis.
Tout est électrisant.

À lire, je recommande teeeeeellement fort !

532 pages, 100 chapitres.... le rythme de ce roman déménage... Les actions s'enchainent, les meurtres aussi... On est dans le roman noir, parfois à la limite du glauque. Mais ça fonctionne, on ne peut pas lâcher ce roman avant le dénouement qui reste bien ficelé.