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3,74

sur 4060 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis vraiment embêtée par la déception que j'ai ressentie en lisant ce livre. Cela faisait des années que j'avais envie de le lire — et peut-être aurais-je dû effectivement le lire plus tôt —, et je m'attendais à adorer ma lecture. Malheureusement, je suis passée à côté et j'ai eu bien du mal à terminer le livre.

J'avais envie d'être transportée sur la route avec les personnages, de vivre leurs aventures, leur tourments, leur quête infinie de liberté... Au lieu de cela, j'ai ressenti un grand vide. Les personnages sont immatures, superficiels et peu attachants. Je n'ai pas besoin d'adorer les personnages pour apprécier un livre, mais j'avais l'impression que l'auteur tentait plus ou moins de faire passer ses personnages pour des modèles, ou tout du moins pour des personnalités intéressantes, ce qui donne encore plus l'impression d'un résultat complètement raté. Quand on sait que tout est inspiré de personnes réelles, ça ne donne pas envie de rencontrer de tels types, mais je ne vais pas m'égarer sur ce sujet.

Il y a quelques jolies phrases par-ci par là qui donnent du sens à ce "voyage" et à ce livre, mais elles étaient bien trop insuffisantes pour rattraper le reste. C'est dommage parce qu'on sent qu'il y a du potentiel et il y avait vraiment de quoi faire. On ne ressent pas ce qui anime les personnages, on lit une succession d'événements qui se répètent inlassablement. La fascination de Sal pour Dean m'est apparue complètement incompréhensible et Jack Kerouac n'a pas franchement été toujours cohérent dans l'écriture de ses personnages (en l'espace de deux deux pages, Sal voit Dean pleurer puis dit que Dean ne pleure jamais ?). le traitement des personnages féminins est simplement consternant. Je comprends bien qu'il s'agit d'une autre époque mais beaucoup de livres bien plus vieux s'en sortent mieux à ce niveau-là. D'autant plus que pour un livre qui semble tourner autour de la découverte, de la liberté, etc., on pourrait s'attendre à une plus grande ouverture d'esprit et à des personnages féminins qui ne seraient pas uniquement décrits par rapport à leur poitrine et traités comme des objets.

Peut-être n'aurais-je pas été si sévère si j'avais lu ce livre il y a quelques années ou s'il avait été plus court mais malheureusement ma lassitude n'a fait qu'augmenter au fil des pages. Ressentir un tel ennui malgré un voyage aussi extraordinaire, c'est vraiment un exploit, mais pas dans le bon sens...
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Bon... eh bien j'ai abandonné cette route interminable qui va d'abord nul part pour ensuite en revenir et se perdre. Cela dit, j'ai aimé le sentiment de liberté intense et absolue qui s'y dégage. Ça m'a rappelé un voyage que j'ai moi-même fait dans un état d'esprit semblable. Des régions que j'ai visité; des gens que j'ai rencontré. Autrement, les aventures de Sal, Dean et Cie m'ont laissé pantois...
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Fin des années 40, Sal a fait la guerre, il essaie d'écrire un livre et vit chez sa tante à New York. Il rencontre alors Dean, un jeune homme qui va bouleverser sa vie sur les années qui suivront. Les deux hommes ont la bougeotte, ils ont soif de route, de femmes, d'alcool et de drogue. Sal parcourt donc les Etats-Unis dans tous les sens à la poursuite de Dean et ses amis pour passer du bon temps. Les deux pauvres hommes n'ont pas un sou et c'est le dernier de leurs soucis. Ils sont au-dessus de ça. Ils préfèrent profiter et réfléchir sur le sens de leur vie, de la condition humaine entre deux joints !

J'étais un peu réticente quant à la lecture de ce roman autobiographique, comme souvent quand il s'agit d'un classique de la littérature. Beaucoup de critiques sur internet disent que "ça passe ou ça casse". J'ai encore un peu de mal avec la littérature américaine, donc je me suis dit "ça va sûrement casser" !! J'ai mis beaucoup de temps à en venir à bout, je ne dirais pas que c'est un coup de coeur, mais j'en ai apprécié la lecture.

J'y ai d'abord vu un grand roman de voyage. Jack Kerouac m'a emmenée sur les routes dans des voitures pourries, j'ai tenu compagnie à des routiers solitaires, j'ai fait du stop avec Sal... Sal et Dean m'ont fait découvrir des villes de l'intérieur, où il faut manger, dans quel bar boire un verre... Je vais pouvoir aller aux Etats-Unis avec plein d'adresses (bon ok elles n'existent certainement plus !).

Les personnages sont dingues, j'ai souvent eu du mal à les suivre dans leurs moments de réflexion intense. C'est peut-être un livre à lire défoncé, histoire d'être dans le même état d'esprit que les personnages ! J'ai été complètement dépassée par le personnage de Dean, beaucoup trop perché pour moi ! Quand Dean me raconte toutes ces aventures, toutes ces rencontres, j'ai l'impression d'avoir un mythomane en face de moi qui me prouve l'étendu de son imagination !!

L'écriture est à l'image des personnages, c'est très cohérent. J'ai aimé l'alternance de phrases très longues et d'autres très courtes, des mots ou des onomatopées seuls. le jazz est très présent, accordé à un petit mélange de drogue - alcool !

J'ai aimé découvrir le pilier de la Beatgeneration, mais j'y reviendrais plus tard et à petites doses !
Lien : https://lesmotschocolat.word..
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C'est tout d'abord pleine d'entrain que j'ai débuté cette lecture au côté de Sal Paradise, Dean Moriarty et toute leur clique d'intellectuels à la recherche du bonheur. Cependant, après quelques chapitres mon intérêt n'a eu de cesse de décliner.

En effet, malgré quelques passages prenants et de belles descriptions, je ne me suis attachée à aucun des personnages. Au contraire, je les ai même tous, plus ou moins, pris en grippe. Chacun d'eux va, en effet, vers sa perte dans une course effrénée teintée de folie, sans jamais en prendre tout à fait conscience.

J'ai eu du mal à comprendre cette admiration pour Dean, ce personnage égocentré qui ne vit que pour ses propres plaisirs et pulsions. de la même façon, le livre ne nous permet pas vraiment de comprendre qui est Sal Paradise. J'ai trouvé que ce personnage était privé de son passé et de son histoire, raison pour laquelle j'ai eu du mal à percevoir ses motivations. On glane quelques indices au fil des pages : c'est un ancien combattant, orphelin, qui souhaite devenir écrivain, et c'est à peu près tout…

« Sur la route » ne nous raconte pas vraiment une histoire, mais traite du «mood» des protagonistes. Si, sur le principe, j'ai trouvé leur quête de liberté absolue romantique et romanesque, je n'ai pas accroché avec leur conception de ce fameux « it » qui se résume finalement à une éternelle fuite en avant, loin de tout et de tous, à la recherche perpétuelle de l'ivresse (par l'alcool, la drogue et le sexe).

Tandis qu'à certains moments, je me suis laissé entraîner dans cette danse de déments par la vacuité de l'existence telle qu'elle ait ressentie par les personnages, je me suis également ennuyée durant de longs passages en raison de la monotonie du voyage et le manque d'évolution des protagonistes.

J'ai, tout de même, terminé ce livre et j'ai relevé quelques citations et extraits qui m'ont interpellés, mais dans l'ensemble cette première expérience ne m'a pas donné envie de découvrir d'autres oeuvres de Kerouac.

J'ai conscience de la renommée de ce livre et je me demande si je ne suis pas passé à côté, mais que voulez-vous, les goûts et les couleurs ne se discutent pas et les émotions ressenties sont propres à chaque lecteur.

Lien : https://thecosmicsam.com
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"Sur la route" est le livre clé de la Beat generation. C'est le récit des errances de l'auteur (mis en scène sous le pseudonyme de Sal Paradise) d'un bout à l'autre des USA. Voyageant en auto-stop, logeant chez qui accepte, partageant femmes et alcool avec des amis de rencontre, Paradise-Kérouac s'abandonne à la loi du hasard, à la recherche moins de l'aventure que d'une fraternité réelle entre les gens; il s'agit de connaître et aimer le monde et ceux qui y vivent, par-delà les conventions sociales, aller à la rencontre de soi-même.
Le récit est le compte rendu de cette quête, avec ses moments d'euphorie, mais aussi les passages à vide, les instants nuls, les échecs, parfois cocasses, parfois tragiques. Il rend remarquablement la nostalgie, typiquement américaine, des grands espaces.
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Je suis resté la plupart du temps sur le bord de la route à regarder avec détachement les étranges pérégrinations de ces jeunes gens.
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Abordée sous la forme d'extrait dans le cadre des lectures analytiques pour le bac de français, il y a de ça un moment, cette oeuvre m'avait fait grande impression. Il faut dire aussi que le prof de français, le sympathique M. V., vendait très bien ce qu'il nous a décrit comme une ôde à la liberté ; une part de rêve américain.
Quelques années plus tard, je m'attelle à cette lecture.

Quelle déception !
Entre des lignes que j'ai trouvé plus grandiloquentes que grandes, il s'agit plutôt d'une ôde à l'alcoolisme et à la défonce.

J'ai conscience de m'attaquer à un monument de la littérature, mais en toute franchise, lorsque M. V. nous a décrit la beat generation, j'imaginais un roman palpitant, un récit de voyages navigant entre aventures et déconvenues (réelles et non dûes à des crises de délirium), quelque chose à mi-chemin entre le carnet de voyage et le roman d'apprentissage.

Ici, pour moi, Sal et Dean tentent de nouvelles expériences, n'en sortent pas nécessairement heureux, recommencent, traversent les États-Unis en tout sens, le tout avec un sens de la morale franchement discutable.

Plus que la liberté rêvée, un tantinet rebelle faite d'amitié, de dévouvertes, de voyages enrichissants qu'on peut imaginer, on fait plutôt face aux affres d'une liberté malsaine où les personnages semblent à peine conscient de leurs actes.

Le seul point positif, pour moi, demeure la qualité de la plume, fluide et très poétique, qui rend un bel hommage aux grands espaces américains.
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Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est non, je n'ai pas accroché un seul instant à ce livre d'une esthétique qui ne me parle pas... Je ne recommande donc pas de lire ce roman.
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"Tout est devant nous. Le chemin ne finit pas ;
plus on avance, plus la route s'ouvre à nos yeux."
Henry Miller

"Neal est monté dans un car marqué "Chicago" et il s'est arraché dans la nuit. Je me suis promis de prendre la même direction quand le printemps fleurirait pour de bon et m'ouvrirait le continent. C'est ainsi que notre cow-boy est parti. Et c'est vraiment comme ça que toute mon expérience de la route a commencé, et la suite est bien trop fantastique pour ne pas la raconter."

Jack Kerouac a tapé "Sur la route" au kilomètre, en trois semaines d'avril 1951, carburant au café pour tenir la distance - la soupe de pois et la benzédrine n'étant là que pour nourrir la légende. Il a tapé le texte d'un seul jet, sur un rouleau (the scroll) fait de 370 feuilles de papier à dessin qu'il colla bout à bout. Et Truman Capote de persifler :

"That's not writing, that's typing."

Quand on voit cette version sans paragraphe, mais avec ponctuation (tordons encore une fois le cou à la légende !) on découvre le fameux flux d'écriture de Kerouac ; quand on s'immerge dans le texte, on entend sourdre l'improvisation jazz, la pulsation beat que l'auteur a voulu restituer.

Auteur beat par excellence, Kerouac écornait volontiers sa propre légende (encore !) :

"Je ne suis pas un "beat" mais un mystique catholique étrange, solitaire et fou."

Et comme chacun sait

"L'important dans toute légende, ce n'est pas qu'elle soit vraie ou fausse, que les faits rapportés soient exacts, c'est que l'histoire ait pu basculer à un moment pour devenir plus vraie que la vérité elle-même." - Thomas Keneally

La genèse du livre est quand même plus travaillée. Le rouleau, route de papier de 36,50 mètres de long noircie d'un unique paragraphe de 125 000 mots, déroutant dans sa forme évidemment, mais aussi par la liberté de son langage et ses scènes crues, est - ce que l'on sait moins - le jet final de six versions antérieures que Kerouac commença à écrire en français, sa langue maternelle.

"[…] le livre est génial mais fou, pas au bon sens du terme et [...] il doit être, sur le plan esthétique et dans l'idée de le faire publier, repris et reconstruit", écrira Allen Ginsberg à Kerouac qui prendra salement la mouche.

Le fait est que les éditeurs demanderont à Jack Kerouac de changer les noms, d'organiser le récit en chapitres et paragraphes. Ils iront même jusqu'à faire certaines corrections que l'auteur ne découvrira qu'une fois le livre publié. Bref, révisions et versions nombreuses, modifications structurelles, reprises, "Sur la route", dans sa 1re version publiée, est donc moins né que devenu.

"Le roman publié n'a rien à voir avec le livre échevelé que Kerouac a tapé en 1951. Un jour, quand tout le monde sera mort, l'original sera publié en l'état dans toute sa folie." - Allen Ginsberg

Visionnaire, Ginsberg, lui qui avait mis en garde son ami ?

Il a fallu attendre 2007, 38 ans après la mort de Kerouac, pour que le rouleau original, à l'exception du dernier mètre mangé par son chien, soit enfin publié aux États-Unis. En France, c'est chose faite en 2010 avec la traduction de Josée Kamoun pour les éditions Gallimard.

Alors, si l'on oublie la légende, "Sur la route", c'est quoi ?
Le livre culte de toute une génération, cette Beat Generation contestataire qui a connu la guerre, ses atrocités et qui, dans son retour à la vie, refuse de se plier à ce que la société attend d'elle. Tempérance et retenue ne font pas partie de son vocabulaire. La Beat Generation, c'est celle qui taille la route avec en poche quelques maigres dollars, avec en tête une vague destination et aucun calendrier. le terme beat appartient à l'argot de la rue, il prolonge le mythe de la génération perdue, celle de John Dos Passos et surtout de Hemingway auquel Kerouac fait souvent référence. Être beat, c'est s'être battu et avoir été vaincu, c'est être usé par la société, pauvre, sans domicile, traîner la savate dans les rues, voler aussi bien une voiture que du pain et du fromage, fumer des mégots ramassés à même le bitume, oublier ce qui imposerait de se fixer, tels un travail ou une famille, refuser les attaches qui entravent le mouvement, au nombre desquelles les enfants que l'on conçoit et que l'on abandonne à leur mère.
Ne dit-on pas que les voyages forment la jeunesse ?
"Hit the road, Jack!"

"Une fois de plus, nos valises cabossées s'empilaient sur le trottoir ; on avait du chemin devant nous. Mais qu'importe : la route, c'est la vie."

"Sur la route" est un livre culte et un monument de la littérature contemporaine américaine qui laissera bon nombre de lecteurs sur un bas-côté non stabilisé, incapables de sauter dans un train, de grimper à bord d'un bus ou d'une voiture lancée à toute allure à travers les États-Unis, d'est en ouest et retour, avec à son bord une bande de jeunes hallucinés, irresponsables et impulsifs, béats devant les grands espaces américains, doués d'un émerveillement sans cesse renouvelé, fût-il provoqué artificiellement.

"Ma garce de vie s'est mise à danser devant mes yeux, et j'ai compris que quoi qu'on fasse, au fond, on perd son temps, alors autant choisir la folie."

"Sur la route", c'est un livre-fleuve en ce sens que sa parole coule sans jamais pouvoir être endiguée, une transe spontanée de phrases qui rappelle les jazz sessions de Charlie Parker. Kerouac ne disait-il pas qu'il souhaitait qu'on le considère "as a jazz poet blowing a long blues in an afternoon jazz session on Sunday" ?

"[...] mais à l'époque, ils dansaient dans la rue comme des ludions, et moi je traînais la patte derrière eux, comme je l'ai toujours fait quand les gens m'intéressent, parce que les seuls qui m'intéressent sont les fous furieux, les fous de la vie, les furieux du verbe, qui veulent tout à la fois, ceux qui ne bâillent jamais, qui sont incapables de dire des banalités, mais qui flambent, qui flambent, qui flambent, jalonnant la nuit comme des cierges d'église."

Je vais être honnête : j'étais passée à côté de la version première et il m'a fallu une bonne dose d'endurance pour refaire cette traversée avec Neal et Jack. J'ai certes conscience qu'il y a un avant et un après la publication du rouleau original - je me suis d'ailleurs amusée à traquer les différences entre les 2 versions -, mais je n'y ai pas trouvé ce que j'espérais, ce souffle qui manquait à la version sage et aseptisée que l'on m'avait servie il y a 30 ans. Les divagations bavardes de ces jeunes gens avinés et défoncés sur le sens à trouver à la vie, m'ont laissée au mieux indifférente, au pire exaspérée. Leurs embardées sur la route, passant toujours par les mêmes villes, déroulant toujours le même itinéraire et finalement n'osant se risquer vers l'inconnu qu'à la toute fin, ne m'ont pas embarquée. "Youhou !"

Reste que ce livre vaut surtout pour son écriture qui défie les codes pour dire le sentiment de liberté. pour ce qu'il dit de cette génération de paumés rebelles qui préfèrent vivre intensément plutôt que de s'étioler dans un conformisme facile.

"[...] et à présent nous arrivions au bout de la route, et moi, qui ne m'en doutais guère, j'arrivais au bout de ma route avec Neal. Or, ma route avec Neal était bien plus longue que ces trois mille cinq cents bornes."

Je suis au bout du rouleau. Sans regret, je laisse Jack, Neal, Carolyn, Diane, Allen, William et les autres, ces fous hallucinés, tracer leur route.

Il est dommage que "Sur la route" soit l'arbre qui cache la forêt. Il ferait presque oublier que Kerouac n'est pas l'auteur d'un seul livre. Quitte à cheminer avec lui, je préfère de loin emporter dans mon baluchon son travail poétique, "Le Livre des haïkus" par exemple. Cette ascèse est à l'opposé du vertige verbal de "Sur la route", et tellement plus inspirante et inspirée.
Et quitte à tailler la route pour trouver un sens à la vie, je préfère embarquer avec Jim Harrison et "Une Odyssée américaine". Autrement plus attachant. Tout simplement magistral.

Lu pour la session anniversaire 5 ans des #68premieresfois, "Sur la route" est le choix de Pascal Manoukian.
Lien : https://www.calliope-petrich..
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J'ai dû mal à comprendre l'engouement pour ce récit tant il m'a parut monotone et ennuyeux.
Pas d'intrigue ni de péripéties seulement une liste répétitive de détails insignifiants « qui voyage, avec quel budget, à bord de quel moyen de transport, qui conduit, quoi, ou, à quelle vitesse, noms de villes traversées »
Si au moins les personnages étaient intéressants ! À part décrire leur folie on entre très peu dans la psychologie, pas de profondeur, on est forcés de constater leurs actes et leurs caractères ( complètement répugnants pour certains ). Pas d'évolution, les personnages sont linéaires et repoussants, ils usent et abusent de drogues, alcool, sexe, ils stagnent et répètent les mêmes actions du début à la fin. Boring
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