Ce tome voit la fin des investigations d'Issei et de Shizuku pour l'identification du septième apôtre et la production de leur résultat respectif.
Mais avant d'arriver à ce dénouement, tandis qu'Issei arrive vers la fin de ses démarches aux Etats-Unis, Shizuku est au coeur de l'Australie avec des rencontres étonnantes qui vont lui parler d'écologie, avec aussi un incendie spectaculaire que seule l'union des hommes de volonté peut contenir et peut-être la découverte du septième apôtre.
C'est un tome assez intéressant où se révèlent un peu plus les personnalités des différents protagonistes avec de nombreuses interférences entre eux. Miyabi reste vraiment l'alliée inconditionnelle de Shizuku. La mérite-t-il?
Des dessins toujours réussis aussi bien pour illustrer les expressions des acteurs que pour développer l'harmonie des visions des deux jeunes lorsqu'ils définissent le vin qu'ils ont choisi en tant que septième apôtre.
On a forcément hâte de passer au tome suivant.
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Une partie de ce tome traite de l'écologie, mentionnant la pollution lors des exportations de vin et de la déforestation. Mais il est aussi question d'art et de Gaudí. de belles planches lors du verdict du 7ème apôtre.
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Issei et Shizuku ont pris des chemins très différents, des continents opposés, des méthodes divergentes. C'est un joli duel, mais dont je pressentais déjà le résultat.
On apprend tout de même de nouvelles choses sur la personnalité de Yutaka Kanzaki, et d'autres se profilent sur ses relations avec Shizuku pour le prochain volume. La mère d'Issei est elle aussi un personnage bien intrigant.
Et c'est vraiment plaisant de sortir de l'Europe pour le nouveau monde.
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