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4,17

sur 2099 notes
Le fléau a été pour moi une expérience paradoxale ..
J'ai été subjugué par cet univers qui sombre en un rien de temps dans une sorte de néant de civilisation aussi enfuie que disparue .
Le style fluide et cette peinture de ce monde est détaillée au point que je dirais qu'elle est ciselée , avec une caractérisation du tonnerre .
Le lecteur mesure l'étendue du désastre à chaque seconde , par le compte rendu de l'expérience des personnages qu'il croise et par leurs observations , souvent perplexes et désorientées aussi , et principalement .
Le texte est méticuleux et j'ai beaucoup apprécié cette ballade dans ce monde angoissant parce que vide .
Un vide qui interpelle de façons passionnantes des personnages de tous âges , de tous horizons sociaux-culturels , des gens aux problématiques psychologiques plus ou moins saines et plus ou moins opportunistes ainsi que plus ou moins adaptées à la nouvelle situation post-apocalyptique.
Cependant dès ce premier tome , et plutôt à la fin , il y a comme sorte de rendez-vous ultime qui se dessine , un topo du genre , Gog et Magog .
J'ai trouvé un peu trop irrationnel pour moi cet aspect du texte , et trop pour poursuivre le cycle au-delà de ce premier tome .
Dans le premier tome cependant , cela reste comme une sourde inquiétude qui se précise progressivement et qui n'est pas désagréable .
C'est un excellent roman post-apocalyptique à mon humble avis , et cela que l'on poursuive ou non la lecture , après ce premier tome .
Ce monde et ces personnages sont en effet tellement réels !
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Le Fléau, un de mes King préférés, un long roman avec catastrophe et post-apocalypse.

Parce que la catastrophe n'est pas d'origine surnaturelle ou extra-terrestre, mais une erreur humaine et parce que des virus terribles existent réellement : plus de 25 ans après la publication de ce roman, le virus Ebola est toujours mortel, sans remède ni vaccin.

Parce que ce sont les États-Unis d'Amérique de bout en bout, d'Ogunquit dans le Maine (destination estivale de nombreux Québécois), jusqu'en Californie et au désert du Nevada, en passant par les champs de maïs du Nebraska et les Rocheuses. Un périple qui évoque pour moi de nombreux souvenirs.

Parce que les personnages sont variés, parfois typiques ou caricaturaux, mais surtout humains, et qu'ils formeront une nouvelle communauté…

Parce qu'on y trouve juste un soupçon de fantastique pour illustrer la lutte entre le bien et le mal, la noirceur et la lumière…

Parce que j'aime les histoires bien menées, avec beaucoup d'imagination, mais dans lesquelles on peut se demander : et si c'était vrai? Si la terre devenait une île déserte...
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Une erreur s'est produite dans un laboratoire ultrasecret, et la personne chargée de la surveillance prend la fuite avec sa famille, et le virus va se répandre sur la planète, en l'occurrence les USA, du moins pour le premier tome, déclenchant la panique, les morts à la pelle.
On fait la connaissance, peu à peu, des personnages et au début on ne sait pas trop à qui s'attacher car on se demande s'ils vont survivre ou non. On découvre aisni, Larry Underwood, un jeune chanteur qui vient de sortir son premier disque, Franny jeune femme enceinte, qui va voir disparaître des proches en faisant preuve de beaucoup de courage et de tendresse et qui décide d'écrire ce qui arrive au jour le jour dans son journal, Harrold, personnage bizarre dont on se méfie assez vite, Stu avec ses allures de cow-boy, qui sert de cobaye car il a été en contact avec le virus et en a guéri, Lucy et d'autres que l'on rencontre au fur et à mesure du périple.
Pour survivre, ils mettent leurs expériences et leurs connaissances en commun, ils partagent la nourriture qu'ils trouvent dans les supermarchés désertés, « empruntent des motos ou des vélos de la même manière et la plupart fait un cauchemar récurent où un personnage inquiétant les terrorise et ils comprennent que leur salut se trouve en la personne de mère Abigaël, âgée de 108 ans qui va les guider.
On comprend assez vite qu'il va y avoir parmi les survivants de cette apocalypse les bons et les mauvais…

Ce que j'en pense :

Cette édition du roman a été remaniée et Stephen King a consacré une large part à la description de la personnalité de chacun des protagonistes ; ce qui explique les 764 pages de ce tome 1. Ceci le rend très intéressant mais parfois, c'est long, on aimerait que cela avance plus vite.
Les scènes décrivant les morts atroces dues à cette maladie regorgent de détails, (cf. la scène du tunnel) de même que la violence avec laquelle certains personnages s'entretuent pour survivre, laissant apparaître leurs défauts profonds, leurs lâchetés, tous les moyens sont bons pour survivre et asservir l'autre pour certaines personnes. On se demande pourquoi certains survivent et d'autres pas, et sous entendu, pour ceux qui survivent, ont-ils une mission ?
Pour les vrais héros, ceux qui mettent tout en commun pour arriver jusqu'à mère Abigaël, ils ont aussi leurs forces et leurs faiblesses et on s'attache assez vite à la plupart, quand on a compris qu'ils allaient survivre et on se sent happé vraiment par l'histoire au bout de 200 pages environ.
Le mensonge d'état est bien mis en scène aussi : « de plus, certains groupes extrémistes ont fait courir le bruit que cette grippe était causée par un virus et que le virus aurait été mis au point par le gouvernement à des fins militaires. Américains, Américaines, il s'agit d'un mensonge inqualifiable. Notre pays a signé de bonne foi les accords de Genève sur les gaz de combat et sur la guerre bactériologique. Nous n'avons jamais… »
Malgré les longueurs, j'ai eu envie de continuer mais à petites doses, j'ai lu d'autres romans en même temps car je me sentais dans une atmosphère angoissante, et étant d'un naturel pessimiste vis à vis des humains et de la façon dont ils peuvent agir dans ce genre de circonstances, je redoutais des pensées du genre : « je savais bien qu'ils sont tous tarés, égocentriques, incapables du moindre geste altruiste… », car on n'échappe pas au cliché du délinquant raciste et imbécile, qui malgré la catastrophe, pense que tout est toujours de la faute des autres et tue pour le plaisir de tuer ou d'avoir le dernier mot.
J'ai très envie de continuer car je pense que si l'auteur a pris tant de peine à nous décrire la vie et la psychologie des personnages (il a, pour cela, étoffé ce roman, rajoutant beaucoup de pages) c'est pour qu'on comprenne mieux ce qui va se passer dans le tome 2.
Bonne expérience malgré les longueurs pour mon 3e roman de Stephen King

Note : 8/10

Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Je relis pour la troisième fois ce roman fleuve. Malgré tout, je suis à chaque fois repris par l'ambiance qui règne dans ces pages.

Charles D. Campion est militaire. Il travaille comme gardien sur la base d'Atlanta, base qui abrite un laboratoire de recherches.
Il fuit en emmenant avec sa femme et sa fille…

Un accident est survenu au labo. Un virus excessivement contagieux a été libéré.

Campion arrive à Arnett en Oklahoma. Il percute les pompes de la Station-Service. Stuart Redman et ses copains approchent du véhicule et s'aperçoivent que les trois occupants sont morts. Ambulances, policiers et rapidement militaires sont prévenus. Arnett est mis en quarantaine…

Le cauchemar commence…
Comment empêcher l'extension de l'épidémie ?
Pourquoi Stuart Redman n'est pas contaminé ?
Comment tenir la presse à distance ?

Grand maître incontesté de l'horreur et du fantastique, Stephen King nous décrit avec moult détails les dégâts causés par le virus.

Le langage, souvent très cru, apporte une grande réalité aux descriptions qui jalonnent les étapes de la contamination.

Et puis avec l'horreur s'ajoute le fantastique. le cheval de bataille de l'auteur : la lutte du Mal contre le Bien.

Les différents protagonistes partagent le même rêve de l'homme noir qui les amènera à tous ce retrouver pour l'ultime bataille.

Je n'ai pas pu m'empêcher de relire ce texte avec le vécu de la période Covid que nous avons traversée. Même si le désastre humain n'a pas été aussi radical que décrit dans le roman, si les exactions de l'armée décrites dans le livre ne sont pas arrivées chez nous (peut-être ailleurs quand même), les déclarations « hasardeuses » des « grands pontes » de la médecine qui découvraient le virus au fil des jours ne sont pas loin des rumeurs que l'auteur fait courir dans son livre.

A lire et à relire.
Si vous ne connaissez pas S. King, voilà pour vous un bon roman
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Le Fléau, tome 1.
Une très belle édition au Livre de Poche, deux tomes dans un coffret cartonné joliment illustré avec étonnamment deux préfaces du King: une à lire avant de commencer, une autre destinée à l'après lecture. Une postface donc? Et placée avant mais pourquoi? Parce que lors de la première édition l'éditeur trouvant l'ouvrage trop long et trop cher à imprimer demanda à l'auteur d'en supprimer pas moins de … 400 pages! C'était en 1981. Courageusement Stephen pris lui même le scalpel pour disséquer son propre enfant! Dix ans plus tard SK pu facilement imposer une seconde édition intégrale cette fois! Bien sûr la notoriété et même la gloire étaient passées par là. C'est de ce texte intégral et définitif qu'il s'agit ici: un livre fascinant, un texte prolifique et foisonnant, des personnages nombreux, touchants et attachants, émouvants ou pathétiques, réels ou cauchemardesques, et terriblement vrais. le Bien et le Mal s'affrontent toujours devant des humains fragiles, perdus et -apparemment- sans défense… En effet l'apocalypse à eu lieu et leur nombre se réduit comme peau de chagrin dans une Amérique dévastée et dépeuplée.
Il semble que ce livre soit le préféré des grands lecteurs (ceux et celles qui ont tout lu) de Stephen King -écrivain hautement humaniste- et que les séances de dédicaces soient souvent le lieu de questions sur l'avenir de ses personnages comme si ces derniers étaient des êtres réellement vivants.
En tout cas une lecture incroyable, indispensable et inoubliable. (764 pages)
Vite je pars en plongée dans le tome2! Stephen King en immersion (790 pages) !!!
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Pandémie mondiale et confinement obligent : Je me lance dans la lecture du fléau. Sacré pavé, heureusement découpé en 3 tomes. Ca parait moins long.
Je suis juste estomaquée par les ressemblances entre ce roman et la situation actuelle. Certes, la grippe du roman est beaucoup plus mortelle que notre Covid-19, mais c'est vraiment la seule différence.
Tellement que par moments, je ressentais un malaise à lire ces lignes. Vraiment troublant.
Petite précision : je le lis dans sa version intégrale. Et effectivement, cela peut paraître long parfois. Mais finalement, ce 1er tome a été vite avalé. Je fais une petite pause et je me lance vite dans la suite.
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Quand on pense que tout ça est arrivé à cause d'une défaillance du système de fermeture des portes lorsque les chiffres de l'horloge sont passé au rouge…

Ce qui a permis à une personne de s'enfuir, d'embarquer sa famille pour fuir et d'aller mourir dans un petit bled, contaminant les personnes présentes à la pompe d'essence qui eux-mêmes ont contaminés leur famille, amis, la ville, les villes, le pays, le monde…

Le King a toujours eu l'art et la manière de mettre en place ses histoires, passant de moments hautement angoissant à d'autres plus calmes, lorsqu'il met en place ses autres personnages, allant en profondeur dans leurs portraits, ce qui nous donne l'impression de les connaître depuis longtemps.

Vous êtes calmement en train de lire un passage où un homme renseigne une famille sur le chemin à suivre ? Banal à mourir… Pas chez le King, parce qu'à l'aide de ce simple geste banal, cette amabilité faite à une autre personne, vous infectez la petite famille, qui elle-même infectera d'autres personnes, qui elles-mêmes… Moins banal à lire, subitement, non ?

On se doute que les personnages dont le King prend le temps de nous dresser les portraits seront ceux qui seront les protagonistes les plus importants de son histoire, même si, dans le lot, certains trouveront la mort avec le virus de la super grippe. Zut, faut pas trop vite s'y attacher…

Provenant de tous les horizons, ses personnages seront attachants, sympathiques ou des salopards, car avec le King, rien n'est jamais tout noir ou tout blanc. D'ailleurs, on remarque que les êtres humains retournent vite à un état primaire et que devant l'ampleur des morts, on passe vite à des horreurs sans nom comme de tirer sur des gens…

Le roman du King, lu en version intégrale sur deux tomes, est addictif, anxiogène, nous fait par des montagnes russes d'émotions allant des angoissantes au plus calmes, nous laissant reprendre notre souffle pour mieux nous donner quelques sueurs froides ensuite.

Prenant son temps, le King nous délivre son récit sans sauter des étapes, sans zapper des étapes sur ses différents personnages et cela donne une première partie addictive, mettant aussi en place un élément fantastique avec deux personnages étranges, un homme en noir et une vieille dame, mère Abigaël…

Dans sa version intégrale, il y a plus de pages que dans la version « light », mais au moins, on a le récit complet, sans coupes, et si parfois, on sent un peu les longueurs, cette sensation passe très vite car la plume du King fait mouche car il sait toujours aller dans la psyché des personnages, des Hommes et nous en donner sa part d'ombre, de ténèbres, mais aussi la plus belle.

Le Fléau est sans doute un roman anxiogène dès le départ, mais le lire en période de Covid-19, même s'il ce virus est moins meurtrier que celui du roman (heureusement, nom de dieu !), c'est encore plus angoissant.

Je vais m'accorder un peu de temps avant d'entamer le tome 2 et aller me lire un Oui-Oui ou Tchoupi…

Ah zut, je n'ai que ceux où ils vont faire leurs courses tranquillement, font du sport d'équipe, vont visiter leur famille, se font des bisous… Bon, alors je vais lire Les Aristochats…

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Ayant lu juste avant l'excellent Swan Song de Robert McCammon, j'ai souhaité poursuivre l'aventure dans le monde post-apocalyptique.

Je me suis penché sur le Fléau (un beau pavé en édition JC Lattès) de Stephen King en version intégrale de 1991 déjà lu il y a 25 ans.

J'ai adoré du début à la fin, pour moi c'est une oeuvre magistrale, l'un de ses meilleurs romans. J'affectionne Stephen King depuis toujours.
J'avais oublié, dans le Fléau, comment il arrive à intégrer un nombre de personnages impressionnant sans me perdre dans les noms ou leurs rôles dans l'intrigue. Il arrive à donner une importance aux individus qui sont décrites comme des personnes simples ou malfaisantes.

Certains trouve des longueurs aux livres de Stephen King, c'est ce que j'apprécie chez lui. J'aurais même souhaité une fin encore plus lente.

Je ne peux que le recommander aux fans de Stephen King.

Comme dirait le personnage Tom Cullen "Putain, oui un chouette bouquin".
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Quand la première version de ce roman est sortie aux débuts des années 80 en français, il n'y avait qu'un unique tome de 572 pages. Je me souviens qu'à l'époque cette histoire m'avait glacée et, en refermant le livre, je m'étais dit que cela ne pouvait pas arriver… Bon certes, nous n'en sommes pas à la disparition de plus de 99% de la population mondiale mais cette histoire de virus qui échappe au contrôle des hommes n'est, hélas, plus de la science-fiction. Et j'ai donc eu envie de relire ce roman, c'est ainsi que je me suis aperçue que Stephen King avait repris l'histoire initiale et l'avait développée sur deux tomes de plus de 700 pages chacun.
Le premier tome raconte la propagation de l'épidémie, la panique qui s'installe, les mensonges du gouvernement, la folie qui s'empare des hommes et la mort, la mort, la mort…. Et, hagards, esseulés, des survivants errent à travers les Etats-Unis, à la recherche d'un havre de paix. Nous faisons connaissance avec Stu Redman, Frannie Goldsmith, Larry Underwood, Nick Sorros, Harold Lauder, quelques individus que le virus a épargnés, et qui ont point commun de rêver d'un homme noir effrayant mais aussi d'une très vieille femme Abigaïl qui les conjoint de la rejoindre.

Si l'intrigue de fond est toujours passionnante notamment tout ce qui concerne l'épidémie (là le rythme est soutenu) il y a parfois des longueurs, notamment quand l'auteur s'attarde sur ses personnages. C'est vrai qu'ainsi, ils ont plus de consistance, qu'on comprend mieux leur vie, leur psychologie mais à certains moments, j'ai eu envie de sauter des pages. Ceci dit, je m'en vais lire la suite pour voir ce que deviennent ces personnages.

Challenge Pavés 2021
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Dès les premières pages, j'ai été intéressée par l'histoire. Un virus créé par l'armée américaine se répand, suite à une erreur. Avec un taux de contamination de 99,4%, la quasi-totalité de la population mondiale va y succomber. Les quelques survivant·e·s vont tenter, parfois seul·e·s, parfois en groupes – de taille plus ou moins importante – de trouver une solution.

Malheureusement, ce premier tome est très, très long. Même si j'ai dévoré le début, j'ai vite perdu le fil et il m'aura fallut près de six semaines pour arriver – parfois péniblement – au bout de ma lecture. En effet, nous passons notre temps de sauter d'un personnage à l'autre, sans en apprendre suffisamment sur elleux pour pouvoir s'y attacher réellement, et nous en voyons mourir beaucoup.

Je me suis accrochée, sachant pertinemment que Stephen King a le don d'écrire de très longs ouvrages (plus de 1500 pages au total pour celui-ci, avec les deux volumes). Ainsi, l'auteur prend son temps, la plupart du temps, dans son écriture. Ce fut le cas pour celui-ci et, après avoir dépassé les 400 pages, j'ai dévoré la suite en seulement quatre jours.

Non seulement j'ai été captivée par les 300 dernières pages, mais j'ai eu en plus envie d'enchaîner avec le second tome – que je suis encore en train de lire au moment où j'écris ces lignes, et je viens tout juste de le commencer.

L'auteur a su parfaitement instaurer une ambiance sombre, un sentiment d'angoisse qui grandit au fur et à mesure que les personnages meurent (du virus, de la solitude, ou d'autres choses…). Il y a toute une intrigue autour de « l'homme noir » qui, à mon avis, va amener des moments encore plus sombres dans le second tome, mais que j'ai néanmoins hâte de découvrir.

Cependant, il y a parfois une violence inouïe et je préfère avertir à ce propos (descriptions de viols, d'agressions, mais aussi d'autres choses qui peuvent choquer et que je ne préfère pas détailler pour ne pas spoiler…). Un premier tome qui fait réfléchir sur ce que l'humanité est capable de faire, et ce n'est pas beau à voir…
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