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Un bon premier tome bien gratifiant qui nous met un upercut avec une histoire poignante et vraiment adorable et agréable c'est un véritable plaisir de lire ce manga charismatique avec un charme inégalée ce manga n'a pas veillis d'une ride juste subblime
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Quelle superbe découverte !

Je connaissais de nom cette oeuvre emblématique mais je ne m'y étais jamais vraiment intéressée
J'en ai à nouveau entendu parler grâce à une connaissance de Twitch et je m'étais donc enfin décidée à acheter le premier tome pour pouvoir me faire un avis

Le peu de fois où j'ai été un peu perplexe par rapport aux dialogues, hop, petit retournement de situation et la phrase qui me dérangeait devient justement un support de réflexion du personnage !
Très très malin comme procédé !

A noter que les dessins sont tout simplement sublimes, sans fioritures inutiles tout en étant très efficaces
J'ai beaucoup aimé l'alternance des pages en fond noir ou blanc et les passages en couleurs, imprimés sur une autre qualité de papier (je n'y connais rien alors dur dur d'y mettre les termes techniques : un papier de type un peu glacé, avec effet brillant et lisse au toucher)

J'ai hâte de lire les prochains tomes et d'en apprendre un peu plus sur Gally et les autres personnages déjà croisés =)
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En faisant un petit tour à la décharge, Ido, mécanicien et chasseur de primes, trouve les restes d'un corps de cyborg : un buste et une tête de jeune fille. Il décide de la ramener à son atelier et de lui donner un corps digne de ce nom. Elle s'appellera désormais Gally !

En ouvrant ce manga, je n'étais pas sûre d'apprécier cette histoire. Mais il n'a fallu que quelques cases pour que je tombe sous le charme de Gally et de son créateur ! Il y a un bel équilibre entre action, histoire et états d'âme des personnages. Ce manga a beau être trentenaire, je trouve l'intrigue prenante et les illustrations vraiment bien foutues.

Je ne peux que me jeter sur le tome 2 pour voir Gally combattre le grand Makaku !
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Après de longues années à avoir découvert ce manga par l'anime, je le redécouvre et me lance dans la série.

Gally est une jeune femme robot. Recueillie par un cybernéticien, Ido, qui s'adonne au mythe de Pygmalion, elle va reprendre connaissance et retrouver sa mémoire de combattante.

Il s'ensuit alors de nouvelles rencontres : les autres Hunter Warriors comme Ido dont le but est d'arrêter certains robots recherchés.

Un premier tome entre réveil, mise en jambe et combat que j'apprécie enfin lire.

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Une première référence à Nietzsche et de la bonne baston. Ça promet !
Les dessins sont dignes d'un bon seinen comme j'aime (c'est mon exigence première), des moments drôles, des retournements de situation, du suspens, des réflexions existentielles, enfin...autant de bons ingrédients pour un manga captivant. Cela donne envie d'enchainer pour le tome 2 en tout cas.
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Une claque ! GUNNM m'a fait découvrir toute la richesse du manga. La lecture peut paraître déconcertante au premier abord, car l'histoire se déroule dans un univers cyberpunk « original » mais pas vraiment rassurant. Et c'est ce qui fait tout le charme de cette série. C'est à la fois très beau et très sale ! Rempli de contraste. Artificiel mais étonnamment humain. GUNNM se dévore. C'est captivant et émouvant. C'est riche de questionnements, qui restent souvent sans réponse. Qui est Gally ? Héroïne très attachante qui cherche sa place dans ce monde. Qui est Nova ? Ce « savant-fou » qui semble tirer les ficelles. Et bien sûr, qu'est-ce que Zalem ? Cette ville suspendue réservée à l'élite. Enfin, GUNNM c'est aussi l'évolution d'une adolescente naïve vers la sagesse d'une femme accomplit. Même si l'épilogue est hâtif, presque bâclé, ce manga n'a pas de quoi rougir de son statut de chef d'oeuvre !
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Dans un futur lointain, où même mourir n'a plus de sens, où l'on peut se déchiqueter le corps, sans pour autant en avoir conclut avec la vie.

Dans un futur où le paradis, le cité blanche d'Ivoire de Zalem, trône en maître au dessus de nos têtes et où en bas se vit un enfer au quotidien, dans une décharge suitant l'acier.

Dans un futur ou tel Icare, les cybernisés de la décharge se brûlent s'ils tentent d'approcher Zalem.

Dans ce futur, un beau jour, du haut de Zalem, tombe un ange, un parangon de vertu et de beauté. Son nom était Yoko, elle s'appellera désormais Gally.

Sur les conseils de son "père", Ido, elle tente malgré son amnésie, de découvrir qui elle est vraiment. Cet être de vertu et de douceur, au visage de poupée, se trouve pourtant rapidement aspiré dans un maelström d'extrême violence, à mesure qu'elle tente de mener une vie paisible. Elle se rend compte d'une chose : c'est au coeur du combat et du dépassement de soi, qu'elle pourra espérer retrouver ses souvenirs perdus. Que ce soit au coeur des arènes d'un sport ultra violent nommé le Motorball où dans les plaines arides jouxtant la Décharge, préparez vous à être emporté dans un récit sous haute tension, à la recherche des souvenirs de Gally et dans sa quête d'un futur meilleur. Dans un enchaînement ininterrompu de combats, elle devra gravir les marches et protéger ceux qu'elle aime pour espérer trouver et comprendre la vérité.

Dans un style graphique précis et dynamique, Yukito Kishiro nous embarque dans un récit cyberpunk qui a rapidement su graver dans le marbre son importance majeure dans le genre. Si les scènes de Motorball sont dessinée d'une main de maître, alliant une sensation de vitesse et de dynamisme à outrance, l'auteur maîtrise tout autant les paysages en double page. L'alliance improbable entre arts martiaux, chi, armes de tout genre et corps cybernétique aux dimensions titanesques donne un cocktail détonnant dans Gunm.

Mais bien au delà d'une claque visuelle qui saura vous laisser figé devant certains combats mêlant art martiaux et corps cybernétiques en lambeaux, Gunnm est une source de questionnements existentielles.

Ce genre de questionnement dont en quelque sorte parti du genre Cyberpunk. En effet, dans un monde qui semble à la dérive, où l'homme n'a même plus conscience de ses limites et où ses désirs les plus malsains peuvent être assouvis, c'est dans ces mondes là justement qu'on y trouve un terreau fertile à la réflexion, un espèce de miroir sur ce que pourrait devenir notre société et comment l'éviter. Dans Gunnm, la question du corps est omniprésente car en plus de le voir se déchirer, se démolir ou même se reconstruire, on pose souvent des questions : qu'est ce qui fait l'humain, le corps ou la conscience ?

Si de notre être, il ne reste plus que boulons, écrous et système informatique, sommes nous encore des êtres conscients ? Au fil du manga, on y découvre des êtres d'une laideur et d'une difformité indescriptible, qui semble prêts à être à 2 doigts d'exploser sous la charge de leurs modifications corporelles. Dans Gunm, la notion de cyberniser son être est poussé à son paroxysme. On va ici bien plus loin qu'un simple bras bionique ou un oeil, mais jusqu'à changer l'entièreté de son corps pour dépasser des dimensions classiques ! Certains personnages ressemblent alors à des animaux quand certains ne sont alors plus que des éléments interchangeables dont on utilise les oreilles ou même le visage comme d'un baume pour faire fonctionner la grande roue du système.

Dans ce marasme d'acier donc, certaines réponses émergent et c'est à nous, lecteur, d'en interpréter le contenu.

En conclusion, Gunm est un immanquable et il m'a été difficile de réfréner ma plume tant il y a des choses à raconter, autant dans la trame principale que dans les questions qui la jalonne.
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Après avoir vu le film tiré de ce manga, j'étais restée sur ma faim. J'avais envie de découvrir l'origine de cette héroïne et son histoire.
Le résultat est que je suis à présent dans la lecture de la suite. Je n'arrive pas à décrocher de ce récit.
Malgré que ce manga soit sorti dans les années 90, il n'a pas pris une ride, les dessins sont sublimes et les personnages incroyables.

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Certains citent Ghost in the Shell, Akira... Gunm en est très loin. le manga n'est pas forcément inintéressant mais un peu vide.
On laisse des pistes de réflexions sans jamais trop s'y aventurer, préférant se concentrer sur l'action uniquement. Je sens que cet univers a quelque chose d'intéressant à donner... mais je ne suis pas sur de m'être laisse convaincre.
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Il est difficile d'aborder Gunnm sans prendre en compte l'histoire du manga avec la France. le titre n'étant pas construit selon les codes spécifiques japonais pour l'époque (même encore aujourd'hui, il existe des cases bien spécifiques et des codes à respecter pour certains magazines de prépublications), le titre est sorti en France avec un engouement plus important suite à la sortie de Akira dans l'hexagone.

Alors que le titre a plus de 30 ans aujourd'hui, il s'en dégage malgré tout une étincelle que je ne retrouve que rarement dans mes lectures actuelles.
On ne fait pas que suivre Gally, on suit un robot à la recherche d'une identité, à la recherche d'une humanité qui va constamment se dérober à elle et dont chaque coup qu'elle va se prendre va lui rappeler sa condition de cyborg.
Malgré tout, Gunnm représente un ode à la vie et à la recherche de soi pour exister dans un monde qui peut étouffer.

Le scénario est en dent de scie et alterne entre séquences qui ne semblent pas rattachées les unes aux autres (on passe notamment de Makaku au motorball), mais le réel fil conducteur est la quête de Gally à exister et à ressentir ce qu'un humain peut vivre.
C'est pourquoi les faiblesses scénaristiques que je peux trouver dans le titre ne me dérange pas tant que cela, lorsque je lis Gunnm je lis un personnage, une personnalité à laquelle je m'attache et les péripéties ne sont pas ma priorité pour ce titre.
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