Lire avec Nietzsche les “grands philosophes”, c’est assister à un spectacle comique, à une “scène primitive” où les moindres méprises, les moindres faux-pas de ceux qui se donnent pour des maîtres à penser se trouvent remarqués avec une vigilance impitoyable. C’est dénoncer les enfantillages des vieux philosophes, les dépouiller de leur sérieux et de leur sénilité et faire rire à leur dépens.
Avec Nietzsche la philosophie entre dans le domaine de la comédie e... >Voir plus