Le sanctuaire d'Emona

Je reste sur ma faim. J'étais hyper intriguée avec cette histoire, en lisant le résumé je ne savais pas vraiment dans quoi j'allais être embarquée mais j'avais hâte de découvrir cette nouvelle plume d'autant plus que l'ambiance promettait d'être très particulière.

Et malheureusement ça ne l'a pas fait avec moi.
J'étais très attirée par le côté magie, sorcière, légendes anciennes et nature. J'avais hâte de découvrir nos deux héroïnes atypiques. Mais j'ai trouvé ça trop brouillon. Ce n'est pas assez approfondi à mon goût. On reste trop en surface sur pleins de thèmes abordés et c'est dommage !

L'écriture est aussi très spéciale, je pense que c'est soit on adhère soit on adhère pas du tout. Je dois avouer que je n'ai pas été embarquée et ça dès le début, mais j'ai persisté car j'avais envie de voir ce que ça pouvait donner et pour moi ça reste une déception. La plume ne me parle pas, je me suis même un peu ennuyée.

En bref, un voyage pour lequel je n'ai pas été conquise malgré des points positifs.

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Le road trip de quatre jeunes adultes tourne lentement mais irrémédiablement à la catastrophe, rappelant les cauchemars récurrents de l'héroïne, Séléné. L'histoire d'un "autre monde" s'entremêle au récit du voyage vers Ljubljana, épaississant le mystère qui entoure l'aventure...

Je n'avais pas lu de "roman fantastique pour jeunes adultes" depuis longtemps et j'avais très envie de me remémorer mon séjour en Slovénie. le fait que l'autrice soit professeur de lettres classiques m'a encouragée à découvrir ce premier tome.
J'ai été déçue par le peu de liens avec la Slovénie, l'ambiance et le rythme tantôt lent, tantôt précipité (surtout dans les 60 dernières pages). Je ne me suis pas du tout attachée aux personnages, que j'ai trouvé fades et bardés de clichés sur les ado des années 2010. J'ai relevé plusieurs incohérences (confusion de noms, d'époque et de lieux, personnages quasiment occultés) au point de m'interroger sur le travail d'édition... Et enfin, vu la profession de l'autrice, je m'attendais à une écriture plus captivante et plus littéraire.
Malheureusement, j'ai été très déçue par ce roman, mais peut-être en attendais-je trop...

Malheureusement ma lecture de le Sanctuaire d'Emona s'est soldée par un abandon en cours de route, à un peu plus de deux cents pages. C'est assez rare que je n'aille pas jusqu'au bout d'une histoire mais malgré une belle plume, je n'ai jamais réussi à entrer dans l'histoire et ma lecture se révélait trop fastidieuse pour que je la poursuive.

Sans être particulièrement fan des légendes anciennes et de magie ancestrale, j'ai au départ eu envie de me plonger dans le Sanctuaire d'Emona pour son ambiance prometteuse ( un huis clos), son décor (la forêt slovène)et son mystère ( un voyage qui se transforme en quête identitaire). le début s'installe rapidement, Séléné embarque avec son frère Antoine, Daria la petite amie de celui-ci et Irina, la soeur de Daria, pour un road trip qui doit les conduire de la Roumanie à l'Australie. Mais un événement imprévu va les contraindre à s'arrêter sur la route et ils vont croiser la route d'une femme, Miléna, qui vit dans la forêt Slovène.

Très rapidement on sent que cet incident et la rencontre avec Miléna n'est pas un pur hasard, le mystère s'épaissit encore plus lorsqu'Antoine et Daria partent de leur refuge et que Séléné et Irina se retrouvent seules avec Miléna. Il s'intensifiera aussi chaque jour un peu plus en ce qui concerne les intentions de leur hôte mais également le destin de Séléné et Irina, à mesure que l'histoire d'un “autre monde” qui peuple les cauchemars de Séléné, semble prendre le pas sur la réalité…

Le sanctuaire d'Emona nous plonge donc dans une ambiance étrange. Séléné et Irina se retrouvent isolées et coupées du monde aux côtés de Miléna, ce qui interroge énormément le lecteur. Mais je me suis peu à peu ennuyée, n'arrivant pas à m'attacher aux deux héroïnes atypiques et surtout trouvant que les événements tardaient à se produire. L'ambiance est là, mais c'est à peu près tout et j'ai donc peu à peu décroché.
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J'ai voulu tester un nouveau type de livre : la Fantasy jeune adulte. Et bien je suis déçu. J'ai mis énormément de temps à le terminer et j'avais même envie d'arrêter en route.

En soi, l'histoire est originale ; il y a de l'imagination mais l'écriture est beaucoup trop simple et enfantine. Il manque de la recherche dans les phrases, le vocabulaire et la formulation.
Du coup, l'histoire semble être toute tracée et sans surprise : tout ce qui arrive aux personnages se devine 50 lignes avant car l'action est mal amenée.

De plus, les personnages sont des caricatures d'adolescentes. L'une est trop solitaire et dans son monde parallèle avec ses cartes et son savoir ancestral. L'autre est le stéréotype de l'adolescente ultra connectée qui ne peut pas survivre une minute sans son téléphone.
Le reste des personnages incarnent eux aussi des stéréotypes : soit les très gentils, soit les très méchants.

Enfin, en ce qui concerne l'histoire, les coïncidences sont trop nombreuses (la police sur la route déserte, la voiture démontée et laissée en plan, le frère qui passe par là et les remorque, le fait que tout le monde parle français alors qu'on est dans un pays étranger…).
L'absence soudaine du frère et de la copine ne semble pas beaucoup inquiéter les deux adolescentes. Et elles oublient vite leur voyage en Australie une fois qu'elles sont dans la maison de Miléna.

Du coup, j'ai bâclé la fin de ma lecture car j'en avais marre. J'ai lutté pour ne pas abandonner car j'ai payé ce livre 20 euros. Ce qui est sûr c'est que je ne lirais pas les tomes suivants.

J'ai lu ce roman d'Alexandra KOSZELYK dans le cadre d'une sélection pour un prix destiné à des adolescents et jeunes adultes (Prix CLC). Après un premier roman pour adulte "A crier dans les ruines", l'autrice s'essaie pour la première fois au public des jeunes.
La première partie du récit présente le voyage de quatre adolescents de la France vers la Slovénie, les embûches se succédant. Les mystères qui entourent d'emblée les deux personnages principales : le passé de Séléné et les pouvoirs singuliers d'Irina, embarquent le lecteur. La montée progressive du fantastique et l'ambiance mystérieuse et inquiétante contribuent également à donner de l'intérêt à ce texte.
Néanmoins, le dernier tiers de l'histoire nous plonge dans un fantastique déroutant : des péripéties se développent dans deux mondes parallèles, les personnages se succèdent, les lieux se démultiplient et il devient difficile de suivre le fil narratif qui s'avère très confus en partant dans plusieurs directions.
J'ai vraiment du me faire violence pour aller au bout de ce pavé, premier tome d'une série. Au bout de ces 373 pages ennuyeuses, nullement envie de découvrir la suite qui se passera... en Ukraine

Une plume élégante et poétique mais une histoire dans laquelle je n'ai pas réussi en entrer. je ne me suis pas attachée aux personnages, je n'ai pas compris le monde.
je suis restée à la porte de l'univers de Séléné et d'Irina.
dommage... j'avais pourtant lu beaucoup de bien de l'auteure. Peut-être que j'essaierai de la découvrir dans un univers moins fantastique.