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4,4

sur 969 notes
Nevernight de Jay Kristoff aux éditions De Saxus. Tome 1 : N'oublie jamais.
ALERTE COUP DE COEUR !
Mais quel livre ! Quelle histoire ! Quel univers ! Quels personnages !
Voilà tout est résumé . Tout est bon dans le livre . Lisez le.
Si maintenant vous préférez en savoir un peu plus :
Nous sommes avec Mia Corvere qui enfant, à vu son père , qualifié de traitre , se faire pendre haut et court . Livrée à elle même mais aidée par une présence ténébreuse et un ancien tueur, elle n'a qu'une idée en tête : venger sa famille. Et pour se faire un seul moyen : intégrer l'Eglise Rouge : sorte d'école de formation des meilleurs et plus dangereux assassins de la République.
Ce livre est un roman de fantasy, d'aventure, drôle, passionnant , prenant vie dans un univers absolument énorme, avec entre autre Sepulcra : sorte de Venise . Ce monde évolue sous un ciel à trois soleils, où règne donc la « Non-nuit » en quasi permanence.....
La variété d'informations est hallucinante concernant la géographie, les monstres, les habitants, les coutumes, l'histoire, les règles , les habitants, les hiérarchies, la mythologie....
On se demande comment l'auteur à fait pour imaginer tout ceci.
Cet univers est d'une richesse incroyable , avec des personnages très marqués, hauts en couleur, et en particulier Mia qui est extrêmement charismatique.
Le ton est précis , savoureux et plein d'humour.
L'ambiance mêle aventure, duperie, rudesse, bataille, amitié, fidélité, sang et ténèbres.
Une lecture que je craignais trop exigeante, ou trop Young adult, alors qu'absolument pas : l'histoire prend le dessus sur le reste et l'on se laisse porter, car on sent que tout le vocabulaire , tous les noms, le lexique ne sont fondamentalement pas indispensables à la compréhension de l'histoire.
Ils sont là pour la mise en place de l'univers, de l'ambiance.
Ce qui a de l'importance sera répété, il faut faire confiance à l'auteur.
On sent sa maîtrise.
Quel travail.
Aucun ennui, l'action et le suspense alternent , ce n'est pas redondant, on découvre des lieux différents, des personnages différents, des événements successifs...
Jay Kristoff réussi la prouesse de maintenir intérêt, tension et rythme durant 750 pages.
C'est excellent, c'est passionnant , réjouissant et trépidant.
LISEZ CE LIVRE !

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Nevernight est le premier tome d'une trilogie de Dark Fantasy écrit par Jay Kristoff et publiée par De Saxus. On y suit Mia, une jeune fille dotée d'un pouvoir d'ombre, qui cherche à intégrer l'Église rouge de Notre-Dame du Saint-Meurtre, ordre des plus dangereux assassins du monde, afin de se venger. Ça semble classique, dit comme ça, mais il ne faut pas s'arrêter à cette base.

Vu les avis, ça passe ou ça casse, car la plume et l'univers ne sont pas les plus accessibles. On est balancé dans ce monde qu'il faut assimiler en cours de route. Il y a de nombreuses et très longues notes de bas de page (prenant parfois toute la page) qui en ont dérangé plus d'un car cela cassait le rythme de lecture. Personnellement, ça a été, mais je comprends que ce soit un inconvénient d'avoir les infos comme ça et pas dans l'histoire. le truc, c'est que c'est déjà un pavé donc ajouter des infos dans l'intrigue n'aurait pas été plus simple que sous forme de notes.

Me concernant, j'ai adoré cette lecture, suivre Mia, une vraie anti-héroïne, en apprendre plus sur les croyances et la dureté de ce monde, sur la formation d'assassin, et surtout lire de la pure Dark Fantasy. L'auteur ne plaisante pas du tout : c'est sombre, impitoyable, sanglant et cru. le langage de Mia, l'apprentissage, même les ébats, ont un aspect mature et pas du tout idyllique. On y croit et on sait que n'importe qui peut prendre cher, même Mia. Son statut de perso principal, ne la sauve pas. Quant aux autres, il est difficile de s'y fier, ils ont tous leur part de laideur, certains la portent sur leur visage et assument être sadiques quand d'autres cachent mieux leur jeu. Et c'est ce que j'aime dans la Dark Fantasy !

Le Royaume Assassiné n'a donc pas été concluant, mais Nevernight a été un coup de coeur. Ces deux parutions font donc une moyenne pour De Saxus, à voir de quel côté La Cité de Laiton fera pencher la balance.
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J'attendais beaucoup de ce livre est il m'a pas du tout déçu ! La première partie peu étre un peu long mais un fois dans l'école c'est un vrai plaisir ! Les actions s'enchaînent, et j'ai vraiment adoré les personnages !
Je regrette juste de ne pas avoir la suite.
Une histoire sombre et bien construit où l'on ne peut faire confiance en rien ni personne !
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Mia Corvere a assisté à la mort de son père. du haut de ses dix ans, elle a vu la mort et s'est tenue fièrement devant elle. Alors qu'il ne lui reste que sa mère et son petit frère, les Luminatii s'en prennent à eux, leur assurant une mort certaine malgré les revendications de sa mère. Ils sont menés, la maman et le nourrisson vers la Pierre Philosophale, une prison, et Mia est enfermée dans un tonneau promise à la noyade. Mia n'aurait pu survivre à cette situation sans la présence mystérieuse de cette ombre réconfortante. Une ombre qui lui tend la dague de sa mère ornée du symbole de leur famille, le corbeau.
Dans un sursaut de courage infini, elle se jette sur ses bourreaux et s'enfuit dans les ruelles du marché Liisien. La petite fille apeuré se doit de trouver une solution à sa situation désespérée. Rapidement elle doit faire face à la cruauté des bas quartiers et face à elle, elle n'hésite pas à rentrer dans le tas. Un homme, Mercurio, antiquaire va la prendre sous son aile. Mercurio n'est pas un vieil homme banal. Très vite il comprend la particularité de Mia et va lui apprendre à se battre. Six ans après elle est afin prête à faire ses preuves et à intégrer L'Eglise Rouge, groupuscule d'assassins au service de Niah, la déesse de la vengeance. Mais avant de devenir une véritable Lame au service de Notre-Dame du Saint-Meurtre, Mia et une trentaine d'autres prétendants et prétendantes devront suivre une initiation. de nombreuses épreuves les attends où la mort est souvent la résultante. Des cours, des missions et des épreuves finales où seules une poignée d'entre eux deviendront des Lames. Mia s'épanouit au sein de ce groupe. Elle est confrontée à ses émotions, à ses peurs et à la jalousie, mais elle façonnent admirablement bien l'adulte en devenir. Une quête initiatique, en quelque sorte, version rouge sanglant et pas de pitiés. Mia se lie d'amitié avec certains d'eux et notamment avec Tuc, un jeune homme valeureux. Mia fait preuve de pugnacité et de ténacité face à leurs différents maîtres et ne rêve qu'à ce moment où sa vengeance sera abreuvée. Alors que la fin de leur formation approche, la situation dérape. Serait-ce la fin de l'Eglise Rouge ?


Il y a très longtemps que je n'avais pas lu une telle dark fantasy. Alors au départ elle se dénote pas particulièrement. le Bien et le Mal qui s'affrontent dans les coulisses, une héroïne paumée qui traîne sa particularité non pas comme un boulet mais comme quelque chose qui fait parti d'elle entièrement. Des décors spectaculaires mais pas atypiques. Ce sentiment de banalité c'est juste avant l'entrée de Mia au sein de l'Eglise Rouge. Après c'est l'apothéose ! Ce lieu est une entité à part entière avec ces mystères, ces allées sombres et des habitants du même acabit. Les rebondissements se succèdent ne laissant aucun répit. Et puis le moment particulier telle une évidence que ce roman aspirera tout votre être. Une frénésie hallucinante, les pages filent tels une tornade mettant votre souffle au placard. Oui, cette lecture est une véritable claque. Une dark fantasy dans un style qui vous scotche. Jay Kristoff ne vous lâche pas une seule seconde. Outre l'histoire qui se déroule, l'auteur à la gentillesse et la bienveillance de nous abreuver de flash back retraçant la jeunesse de Mia et la cerise sur le gâteau, des annotations qui s'épanchent sur l'Histoire du Royaume et de l'île de Sépulcra ou des petits commentaires sarcastiques. du punch dans un histoire qui déchire quoi de plus pour me régaler. Un suspense haletant, un final tonitruant, des personnages à se damner, un décor époustouflant. C'est sans aucun doute un sacré page turner qui vous laissera sur les rotules au point final ! Une dark fantasy ne serait rien de tel sans de jolies cartes !
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Un début de trilogie sympathique avec notre héroïne Mia, qui allie dans ce premier tome jeunesse candide et noirceur absolue (au propre comme au figuré pour le coup).
J'ai apprécié l'originalité du récit et ces nombreux retournements, le tout dans un style assez épuré. de la noirceur, de l'action, de l'inattendu... fait de ce livre une histoire plutôt captivante qui se laisse lire facilement.
Je trouverais juste un peu léger la simplicité avec laquelle notre héroïne excelle dans tous ces talents en quelques mois de formation seulement... Mais certaines choses peuvent s'expliquer au fur et à mesure de la lecture des tomes suivants (j'en suis au milieu du troisième).
La fin de cet épisode est prenante, autant que surprenante, et vous laissera inévitablement sur votre faim pour enchaîner sur le deuxième... Sachez le!
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Avant même d'avoir commencé cette saga j'avais déjà acheté les trois tomes et j'étais plus que contente de pouvoir enfin entamer ce roman. Malheureusement mon enthousiasme a été légèrement douché car j'avoue avoir eu du mal à rentrer dans l'histoire pendant la première moitié du roman (sur 775 pages c'est non négligeable). J'ai trouvé ce début assez long même si je comprend parfaitement que c'est nécessaire à la mise en place de l'univers et des personnages. Heureusement passé ce cap j'ai adoré ma lecture que j'ai trouvé très prenante et passionnante. J'ai beaucoup aimé l'ambiance "école" avec ces épreuves et ses particularités. Cela amène également un beau lot de rebondissements et d'hypothèses car l'intrigue est très bien maîtrisée par l'auteur. Au final j'ai très hâte de continuer cette saga malgré les petites longueurs que j'ai pu trouver au début du roman.
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On a une histoire originale, un worldbuilding incroyable. On évolue aux côtés de Mia (et de Gentilhomme 🖤) dans un monde où la nuit est rare : trois soleils s'alternent sans cesse ; dans une ville fondée sur les ossements d'un dieu mort, et dans une école d'assassins appelée « L'église rouge ». Les personnages sont hauts en couleurs. La protagoniste est géniale, c'est une « enténébrée » : elle peut manipuler les ombres à sa guise ce qui fait d'elle une assassin dangereuse. Elle est forte et entêtée, sensible et très humaine à la fois. C'est un personnage qui met en jeu un panel d'émotions dont la psychologie n'a rien de simple. En effet elle fait face à énormément de dilemmes moraux dans sa quête de vengeance. Les personnages secondaires sont assez bien développés eux aussi, on s'y attache indéniablement, on partage leurs émotions : on est affligé face à une perte, on est choqué face à une trahison, on est soulagé quand on les retrouve. Je n'avais vraiment pas l'impression d'être dans une fiction tellement le monde et les personnages de Jay Kristoff me semblaient réels. L'histoire est vraiment incroyable et étoffée richement : l'équilibre entre description, dialogue et pensée est parfait.

Si l'univers de « Nevernight » est époustouflant, c'est que la plume de Kristoff est incroyable. Il la manie avec brio, elle est teintée de sérieux, d'humour, d'originalité et surtout elle est affûtée. Bref, j'aime vraiment beaucoup son écriture. J'aime le fait qu'il brise le quatrième mur avec notamment ses « petites » notes de bas de page qui étoffent le texte. Elles donnent vraiment une personnalité à sa plume où il y donne parfois son avis sur ce qui se passe (j'ai beaucoup ri d'ailleurs quand il finissait ses notes par des onomatopées). Il y rajoute parfois des détails, c'est une manière de ne pas couper le rythme du récit tout en installant petit à petit l'univers.

Ses notes nous livrent aussi des petites anecdotes sur les personnages rendant vraiment le narrateur omniscient alors qu'à première vue il est interne à Mia. Ainsi narrateur et auteur se fondent en une seule voix, c'est très intéressant. J'aime énormément sa plume très affûtée, franche et parfois crue. Il est très malin dans son écriture et personnifie beaucoup les émotions mais aussi ce qui n'a pas lieu d'être personnifié. J'aime ses nombreuses métaphores qui n'ont ni queue ni tête et qui sont pourtant terriblement vraies.
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Après avoir lu quelques romans fantasy que j'avais trouvé fort mièvres notamment du fait des romances cucul la praline qui finalement prenaient parfois un peu trop le pas sur l'intrigue principale, je ne m'attendais à rien en commençant nevernight.
Et pourtant.
Le roman m'a accroché directement. le premier chapitre annonce la couleur : la plume est directe, fluide et un brin cynique. Ici, pas de place à une histoire à l'eau de rose, on nous prévient directement, le ton est donné.
J'ai adoré les personnages et notamment le personnage principal. Les flash backs qui alimentent le roman sont toujours intéressants et viennent étoffer l'héroïne principale. On comprends sa psychologie, ses réactions et cela ne la rend que plus attachante.
Jay Kristof ne fait pas dans la dentelle. Amateurs / rices de high fantasy ou de romantasy, ce Roman n'est pas forcément fait pour vous. L'univers est impitoyable, les personnages sont souvent mal traités et l'auteur n'hésite pas à utiliser un langage fleuri et à décrire des scènes de manière explicite. Cependant c'est bien dosé et on ne tombe jamais dans de la dark romance.
J'ai particulièrement apprécié les notes de bas de page. Cela m'a un peu déboussolé notamment en terme de la quantité mais finalement on s'y prend vite. Elles permettent d'une part d'étayer l'univers qui est nous présenté mais elles regorgent surtout de ressorts comiques ce qui est fort agréable au vue de la noirceur du roman.
C'est un énorme coup de coeur pour moi et je me vais de ce pas, commencer le deuxième tome.
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Le premier tome de cette série m'a assez accrochée, en dépit d'un certain nombre de points qui m'ont vite un peu agacée. le second m'a moins transportée. Et arrivée au troisième, je commence à en avoir soupé, merci bien.
Le problème, pour moi, c'est qu'on a de bonnes bases, de l'action bien maitrisée, des dialogues franchement sympa, un scenario pas mal équilibré, mais l'auteur en fait TROP. Trop de badassittude pour l'héroïne qui en devient caricaturale et inhumaine. le style d'écriture n'est pas désagréable, mais on croule sous le sarcasme, avec une sorte de connivence forcée et artificielle dans le ton du narrateur.
L'auteur se fait plaisir avec des figure de style, répétées, inlassablement, en boucle, avec synonymes, métaphores, allégories, périphrases, antiphrases, symboles martelés encore et encore, litotes exaltés on ne sait pas pourquoi, qui finissent par créer un marasme littéraire ou on s'embourbe sans trouver le rivage … Un peu comme la phrase que je viens de conclure. Et c'est répété pendant les 3 tomes, a chaque page.
Plein clichés, aussi (attention légers spoilers) Mais Mia devient « bonne », et le sexe et le désir ont une place importante, voir un peu trop.
Et c'est là qu'arrive le vrai problème pour moi : trop de contradictions. Mia devient un monstre pour tuer un monstre, sauf quand ça arrange l'auteur. Alors là d'un coup, c'est une sainte, Mia. Elle se fait recruter par une école d'assassins, mais ne peut tuer un innocent. Dans les tomes suivants, (encore légers spoilers) Parce que faudrait pas qu'on la déteste réellement quand même. du coup le personnage est un peu bancal, je n'ai absolument pas réussi à m'attacher à elle, elle n'a pas de réelle profondeur.
Et c'est pareil pour le world building, et la mythologie de la série : y'a de l'idée, mais c'est bancal, pas cohérent, et un peu facile en fait. En toute justice, l'auteur en est conscient, il l'écrit lui-même, il en fait une sortie de « morale » a la fin : y'a pas de « gentil » dans l'histoire, pas de « méchant » non plus, juste des gens ou des Dieux plus ou moins monstrueux. Mais cela manque de naturel, je trouve, il m'est difficile d'expliquer pourquoi.
Je crois que la fin du troisième tome est la partie qui m'a le plus fatiguée, je l'ai survolée, pas convaincue, mais curieuse quand même. Et la fin ne m'a pas ravie, mais elle a le mérite de bien clôturer la série.
En fait je trouve que ça fait un peu jeu vidéo : c'est distrayant, sanglant, violent, sexy, très graphique, mais un peu superficiel et pas toujours très cohérent.
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Ce roman est resté beaucoup trop longtemps dans ma PAL, je crois qu'il me faisait un peu peur car tout le monde m'en parlait en bien et qu'il est quand même assez long !

Il ne m'a pas fallu longtemps pour plonger dans le livre, particularité de la plume de Jay Kristoff à laquelle j'adhère directement (en tout cas c'est le troisième livre que je lis de lui et ça me fait cet effet à chaque fois), même si c'est parfois un peu cru (mais j'adore).
Par contre j'ai été assez déroutée au début par les notes de bas de page, qui prennent parfois plus de la moitié de la page au final, mais elles s'intègrent parfaitement à la lecture au final et rajoutent vraiment un plus à la narration.

On rencontre le personnage assez sombre de Mia, qu'on apprend à connaître tout au long du livre. On se glisse d'ailleurs très facilement dans sa peau, on s'y attache. C'est un personnage qui est très bien travaillé, avec sa complexité, cohérent avec son parcours.
Les autres personnages sont aussi bien écrits, ils ont tous leur importance dans le déroulement de l'histoire, ont tous leurs particularités. Bref Mia et les personnages secondaires m'ont porté durant tout le récit, et leurs relations sont bien ficelées et développées.

L'univers est aussi particulièrement travaillé, bien décrit, sans en faire trop. J'ai trouvé qu'il y avait un très bon équilibre entre action et description. J'avoue que je me suis vraiment plongée sans souci dans cet univers, je suis revenue plusieurs fois à la carte présente en début de lecture pour me repérer c'était appréciable de l'avoir sous la main.

Bref, on sent vraiment que c'est un roman travaillé, et je suis plus que ravie d'avoir retrouvé la plume de @jaykristoff encore une fois, que je peux compter parmi mes auteurs préférés avec certitude maintenant (3 livres, 3 coups de coeur eheh).

Je mets donc dès maintenant le tome 2 dans ma wishlist, en espérant qu'il rejoigne ma PAL très rapidement, et je vous recommande fortement de le lire ! Mais soyez accrochés :D !

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