Arawak, comme la (recon)quête d’un féminin sacré. Un point de départ, à la limite d’un prétexte : la traversée d’une passion déchue, vécue en français, langue d’adoption de l'artiste vénézuélienne Paloma Kuns, qui à la manière d’un détournement, permet d’aborder la sensualité - l’érotisme, auquel nous n’osons pas faire face. Puis, une transposition : un retour vers la langue maternelle, l’espagnol, prenant appui sur ce que le français a tracé. Un jeu de miroirs. Et ... >Voir plus