J'ai énormément aimé ce livre à la fois dur et poétique, transcrivant le côté irréel et presque extra-terrestre de la culture kanaque des origines, confrontée au début de la colonisation de la Nouvelle Calédonie.
En cette période où ce pays s'interroge sur son devenir, les histoires croisées de ce roman nous renvoient à l'incommunicabilité de deux peuples condamnés désormais à partager un destin commun.
L'écriture de Bernard de la Vega est puissante, lyrique, fluide et accessible.
Seule critique : il est désormais introuvable.
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