L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes

On remplace les illusions, l'attente, les turbulences, la dépendance, les déceptions, les thérapies de couple, le rien, par des choses agréables, à portée de main, qui ne disparaîtront pas au premier coup de vent, à la montée de sève au printemps.

Désormais le sens de sa vie, ce serait un jour à la fois, un pas après l'autre, comme quand, enfant, elle grimpait sa montagne.

Il n'y a que sur scène qu'on peut danser tous les jours la même chorégraphie avec son partenaire sans tomber. Dans la vie c'est plus périlleux.

L'amitié, tu sais, c'est comme une écharpe très douce dans laquelle on s'enroule.

La vie est un fil.
Nous sommes tous des équilibristes.

Attention ! C'est une recette pour un soir que je te donne , pas un pot-au feu pour la vie

Je n'ai pas renoncé aux hommes. J'ai renoncé à en prendre plein la gueule.

C’est rare le bonheur. Parfois il passe, il ne s’arrête pas toujours.

Et avec le temps, elle avait choisi de ne plus faire semblant. De ne plus s'adapter à ceux qui ne lui convenaient pas. D'être heureuse autrement.

... ils l'avaient giflée . Trois fois . Une gifle par frère . Ils étaient déracinés et elle était la dernière radicelle , fallait pas qu'elle se transforme en mauvaise herbe .