Une même impossibilité de vivre ce qui, pourtant, paraît à portée de la main, unit les personnages de ces deux récits, qu'ils se tiennent sur le versant, menacé, de la normalité, ou sur celui où l'on cède au délire.
Dans Une fatigue, une femme qui a perdu son mari lui confère, dans la maison où elle vit avec son père, une présence réelle.
Dans La promenade sur la grève, un libraire, sujet à des accès d'exaltation et d'hallucination, essaie d'aller au b...
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