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3,68

sur 238 notes
Je découvre cette auteure avec son sixième tome. N'ayant pas lu les précédents, je ne me suis absolument pas sentie perdu dans ma lecture.

Captivant, effrayant et passionnant !

Sur une île du nord de la Suède, on découvre deux cadavres, Henry, un vieil alcoolique et l'autre, un boxeur disparu en 1962, il y a plus de cinquante ans.
Quel est le lien entre ces deux cadavres et pourquoi avoir conservé ce corps ?
L'enquête va très vite prendre une tournure particulière, car la procureure Rebecka Martinsson va en faire une affaire personnelle. Selon elle, le décès d'Henri n'est pas une mort naturelle. À la suite d'une rencontre, Rebecka va découvrir que la victime fait partie de sa famille adoptive et cette affaire lui tient particulièrement à coeur.
Confrontée à ses soucis personnels et professionnels tout son passé ressurgit. Sera-t-elle faire la part des choses ? La pression monte au fil de la lecture.
Asa Larson nous livre un suspens haletant dans une ambiance sombre et glaciale.
Des magnifiques descriptions des paysages nordiques. Une intrigue parfaitement maîtrisée avec de nombreux rebondissements et des protagonistes abîmés et torturés.
Quant à sa plume, elle est sobre, fine et puissante. C'est un excellent polar que je vous recommande.
J'ai adoré cette lecture et je ne compte pas m'arrêter là. Il est temps pour moi de me procurer les tomes précédents.
Et vous, connaissez-vous cette auteure incontournable du polar scandinave ?
Lien : https://juliechronique.fr/20..
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6 et dernière enquêteur de Rebecka Martinsson, procureure dans le nord de la Suède à Kirina, cité en phase d'être déplacée car tombant dans les trous formés par l'extraction minière. Caractère emporté, elle a commencé sa carrière dans un puissant et riche cabinet fiscal de Stockolm et a décidé de venir s'installer dans la maison de sa grand mère et de reprendre les activités de procureure en liaison avec la police. Mais elle ne s'entend pas avec ses collègues qui profitent d'une absence de leur hiérarchie pour lui imposer de s'occuper de nombreuses petites affaires en retard. Mais quand deux cadavres sont découverts dans la maison de celui qui a été le frère adoptif de sa mère, elle est un peu obligé de s'intéresser à cette affaire criminelle même si l'un des deux corps est coincé dans un congélateur et date d'une trentaine d'année. N'ayant aucune relation avec la famille adoptive de sa mère, elle tait cette relation et décide d'enquêter quand même. Elle va découvrir que le cold case était un boxeur mystérieusement disparu alors qu'il passait sa journée avec son fils. Celui ci fait la carrière que n'a pas eu son père, est devenu un champion olympique et en retraite, bien décidé de revenir vers la ville de ses origines pour savoir qui a tué son père; Il embauche pour cela Sven Erik; policier en retraite. Rebecka persuadée que les deux meurtres sont liés, ne va pas tarder à s'attaquer à la mafia russe et va s'attirer la colère de ses propres collègues policiers par ses réactions impulsives. Dans le même temps, elle va devoir régler un certain nombre de problématiques personnelles avec son ex petit ami et familiales avec le fantôme de sa mère.
Un bon roman psychologique qui dépeint très finement une personnalité complexe, emportée mais attachante, qui cherche à aller mieux mais qui a un peu de mal à ne pas succomber à ses impulsions. Les autres personnages ne sont pas laissés de coté, entre Anna Maria, mère de famille et flic, qui apprécie Rebecka mais a du mal à supporter ses coups de "trafalgar", Sven Erik ravi d'être en retraite mais qui s'ennuie, son ex qui a refait sa vie avec une jeune blogeuse sympathique mais qui l'ennuie...
Un roman puissant qui éclaire enfin le passé familial de la jeune femme ce qui devrait lui apporter une certaine paix. En parallèle, on suit l'histoire de Bjorne, le fils de l'homme congelé, ainsi que celle de Ragnald, soeur misanthrope du propriétaire suicidé et tante adoptive de Rebecka.
A lire§
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C'est ma 6ème lecture d'un ouvrage d'Asa Larsson et c'est ma 6ème rencontre avec Rebecka Martinsson.

Toujours dans la région de Kiruna, sur une petite île du Nord de la Suède, un homme est mort. On découvrira qu'il a été assassiné et en prime, un autre corps dans son congélateur. le second corps s'avérera être celui d'un homme disparu depuis 50 ans, père d'un champion de boxe suédois.

L'enquête va arriver jusqu'à Mme la procureur, Rebecka Martinsson et sur celui de l'enquêtrice Anna-Maria Mella. le premier mort appartient à la famille adoptive de Rebecka, famille avec qui elle n'a plus de relation depuis longtemps.

Rebecka doit subir les attaques de son collègue van Post qui la jalouse et ne cesse de chercher à lui mettre des bâtons dans les roues, ne supportant pas ses réussites dans les enquêtes précédentes.

Le rythme de l'enquête suit celui du climat nordique à la sortie de l'hiver, il en est de même pour la manière de résonner des personnages.

Une nouvelle fois, Asa Larsson choisit de donner les points de vues des différents protagonistes et utilise la méthode du flash back. Ainsi on va remonter dans l'histoire d'un boxeur, de la 1/2 soeur adoptive de la mère de Rebecca...

Pour ceux qui ont lu les 6 aventures de Rebecka Martinsson dans l'ordre, on retrouve tous les personnages principaux des autres romans :
- le vieil homme qui vit près de la maison de Madame la procureur,
- Anna-Maria Vella enquêtrice,
- Sven-Erik Stalnacke, en quêteur à la retraite qui reprend du service,
- Maria ancienne collègue de Rebecka dans un cabinet d'avocats,
- Mans l'ancien patron de Rebecka et ancien amant
- le vieux médecin légiste
- Krister, ancien amant qui pourrait le redevenir
- les chiens
- ...
Asa Larsson fait le tour de ses personnages avant de les ranger puisqu'elle a annoncé la fin de la saga Martinsson. Elle les montre avec leurs fragilités, leurs fractures, avec leurs qualités et leurs défauts. Elle semble vouloir mettre de l'ordre dans les relations entre ses personnages :
- Rebecka et sa 1/2 tante
- Rebecka et Anna-Maria Vella
- Anne- Maria Vella et Sven Erik
- Rebecka et son collège van Post
- Rebecka et Krister
- ...
Dans la séries des 6 romans, c'est celui auquel j'ai le mieux adhéré et plus rapidement. C'est celui où le scénario est le plus abouti. Asa Larsson met aussi plus de poésie dans son texte : description des paysages, des saisons qui passent, description des sentiments et des états d'âmes des personnages, même un combat de boxe peut être décrit avec une dose de poésie. Rebecka est beaucoup pus humaine que dans certains des romans précédents.

Finalement, Rebecka Martinsson va sûrement me manquer ainsi que ses acolytes mais je vais continuer à lire ce qu'Asa Larsson écrit, surtout si le décor du roman est le Nord de la Suède.




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Sixième volet, et dernier à paraître, des aventures de Rebecca Martinsson, Procureure à la chambre, que Asa Larson a choisi avec Les crimes de nos pères de placer au coeur de l'histoire familiale de son flic de polar.

Ragnhild, à la retraite depuis quelques mois, n'a rien qui la retient à la vie et décide d'en finir en maquillant son suicide en accident. Pourtant, un coup de téléphone va bouleverser complétement ses plans.

On l'informe que son frère, qu'elle n'a pas revu depuis des lustres, n'a plus donné signe de vie depuis plusieurs jours. Elle décide de surseoir à son projet pour se rendre à son domicile au coeur d'une île perdue. Dans cette maison, elle découvre son frère Henry Pekkari mort. Mais, par un concours de hasard, elle trouve aussi un cadavre dans le congélateur placé là depuis de très nombreuses années.

Rebbeca s'empare de cette enquête. Seulement, les liens de parenté sont forts entre cette maison, les souvenirs et elle. L'enquête commence en interrogeant sur les liens qui relient ces deux morts violentes.

Moins roman policier que roman d'ambiance, Asa Larsson plonge son lecteur dans la rudesse des paysages du Grand froid et la froideur des rapports qu'entretient Rebecca avec son entourage.

Son personnage, sorte d'anti-héros au caractère rugueux et peu conciliant, fait corps avec cette enquête qui va déséquilibrer l'ensemble qu'elle s'était attachée à construire.

L'investigation s'y déroule à partir de rebondissements au sein d'une mine locale, source de travail pour l'ensemble de la population dans le petit bourg, dont il faudra envisager l'éloignement, bientôt. le passé va éclater montrant des relations sociales entachées d'interdits et de liens malfaisants.

L'aspect psychologique des personnages y est prépondérant, tant au niveau de l'enquêtrice que de ses acolytes.

Si la froideur ne fait pas peur, sûr que les paysages et les personnalités tourmentées vont plaire ! Asa Larsson signe une fin réussie de sa série de la Procureure à la chambre.
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Encore une autrice dont je vais noter les romans dans mes intentions de lecture : Åsa Larsson.
Je viens de découvrir Les Crimes de nos pères grâce à Audiolib via NetGalley.

Un dépaysement total à Kiruna, au-dessus du cercle polaire arctique, où se déroulent tous les romans d'Åsa Larsson, un pays minier. Cette fois, on y découvre coup sur coup deux cadavres ; si le premier décès est récent, l'autre remonte à plus de cinquante ans.
Une héroïne récurrente dans l'oeuvre d'Åsa Larsson : la brillante avocate fiscaliste Rebecka Martinsson… Elle va devoir remonter une piste aux ramifications inattendues et multiples, loin d'imaginer qu'elle va lui révéler de terribles secrets sur l'histoire de sa propre famille.
Une double temporalité, des liens complexes entre passé et présent… Des histoires de famille, d'adoption, des conflits professionnels, des passages à vide…
Un milieu sportif, celui de la boxe et une atmosphère corrompue autour de la criminalité organisée, des escroqueries immobilières, de la prostitution…
Des personnages cabossées auxquels on s'attache, d'autres que l'on déteste et, pourtant, ce serait trop facile si c'était aussi manichéen…

Un véritable pavé ! 600 pages en version brochée, plus de 20 heures d'écoute en livre-audio. Je craignais des longueurs, des détails inutiles… Quelle agréable surprise d'avancer dans ce récit admirablement construit, de me familiariser avec de nombreux personnages particulièrement travaillés, à la psychologie fouillée, aux portraits ciselés… L'ensemble est très visuel avec des descriptions vivantes, précises. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, n'ai jamais perdu le fil même si je reconnais que l'autrice nous balade jusqu'à l'ultime dénouement. Je n'ai pas trouvé de péripéties faciles, de liens capillotractés ; toute l'intrigue, aussi compliquée soit-elle, fonctionne plutôt bien.

Odile Cohen, la narratrice de la version audio, donne une vraie dimension à ce thriller. J'ai adoré sa voix, ses intonations.

J'en redemande !

#LesCrimesdenospères #NetGalleyFrance

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Un cadavre dans un congélateur, des prostituées écrasées par une motoneige... Réglements de compte mafieux ?

Au-delà de l'enquête policière et de sa résolution -somme toute banales-, ce qui retient l'attention dans ce que Larsson annonce comme l'ultime apparition de Rebecka Martinsson, c'est l'ambiance doucereusement morose qui s'en dégage. Nul n'est épargné par le destin dans ce polar tout en brumaille et givre : dans Kiruna, ville meurtrie de Laponie, se croisent entre autres un vieux légiste incurable, un boxeur abimé, une suicidaire en sursis et une Rebecka minée par la dépression. du fond de son impasse, chacun cherchant un sens à son parcours de vie, paie son tribut de chair.

Grâce à l'écriture d'Åsa Larsson, sensible et généreuse, on s'attache à la passion juvénile de deux vieux amants, on redoute les conséquences d'une brusque agression ou on s'effraie d'une randonnée que l'on pressent funeste...

Comme à son habitude, l'auteur scandinave n'omet pas de rendre un hommage appuyé aux chiens, aux élans et autres quadrupèdes ce qui amoindrit le spleen qui se dégage de l'ensemble.

Farväl, Rebecka !
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On ne peut pas dire que ce dernier volet de la célèbre saga suédoise centré sur le personnage de Rebecka Martinsson, procureure à Kiruna en Suède, offre des adieux palpitants. Au contraire, ce récit parfaitement dispensable, souffre de longueurs et d'une intrigue peu passionnante qui s'étire dans de trop nombreuses analepses. de surcroît, la protagoniste, malheureuse autant dans sa vie professionnelle que sentimentale n'attire pas spécialement la sympathie du lecteur et se présente davantage comme un personnage agaçant que complexe. C'est long, c'est mou, c'est ennuyeux. Bref, je ne vais pas m'étendre outre mesure sur ce roman qui n' a rien d'une grande enquête policière.
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Ragnhild Pekkari n'attend plus grand chose de la vie, alors autant en finir, même si c'est lestée d'un sac à dos et au fond de la rivière... enfin, ça c'était son intention avant le coup de fil qui la ramène à de plus sordides réalités. Son frère Henry, qui vit sur une île déserte, n'a plus fait d'apparition dans la ville minière Lapone de Kiruna depuis plusieurs jours. Elle doit aller voir s'il ne lui est pas arrivé quelque chose de grave.
Elle va faire une macabre découverte, le corps sans vie de son frère, mais aussi un cadavre dans un congélateur, qui s'avère être celui d'un ancien champion de boxe disparu depuis 50 ans.

C'est Rebecka Martinsson, la procureure adjointe de Kiruna qui est priée de mener discrètement l'enquête. Kiruna, cette ville à l'atmosphère polluée par la mine. Si cette dernière permet de sauver l'économie en procurant des emplois au plus grand nombre, elle menace aussi la sécurité physique des habitants. Kiruna qui peu à peu se transforme en gruyère et qu'il faudra déplacer.

De fil en aiguille, le lecteur comprend que Rebecca et Ragnhild ont un passé en commun, mais une sombre animosité semble les avoir éloignées l'une de l'autre depuis longtemps.

S'il y a bien une enquête et quelques cadavres, car les premiers découverts ne seront pas les derniers, celle-ci est quasi anecdotique. L'autrice est moins intéressée par le rythme généralement inhérent au thriller que par le passé des personnages. Elle décortique leur caractère et leur psychologie avec minutie. J'aime la façon qu'elle a de les faire se rencontrer et évoluer, mais aussi le fait qu'elle nous parle de la vie et des habitudes des suédois en général.
De fait, il y a peu d'action et beaucoup de personnages. Börje, le fils d'un boxeur disparu depuis l'été 1962, un médecin légiste qui se bat avec le cancer mais veut comprendre ce qu'il s'est passé, Sven Erik un ancien policier à la retraite, l'inspectrice Anna-Maria, beaucoup de chiens, et quelques mafieux font tour à tour des apparitions.
Les personnages évoluent entre présent et passé. Les nombreux flash-back (qui auraient sans doute étés plus faciles à suivre en version papier même si l'ensemble est aisément compréhensible) sont là pour éclairer l'enchaînement des événements. Les multiples descriptions des paysages, la nature omniprésente, le fait que l'action se passe dans le grand nord de la Suède aux étendues blanches et au froid mortel, tout cela donne une dimension très visuelle à l'ensemble.
De nombreux thèmes sont abordés par Asa Larsson. Par exemple, la différence de niveau de vie entre Stockholm et la province, Kiruna en particulier, car même si la mine rapporte à l'état, les habitants de la région profitent trop peu des bénéfices, la vieillesse et la solitude, la maladie, la corruption et les malversations financières et immobilières, la boxe et ses irrégularités, la prostitution, etc.
La voix d'Odile Cohen s'adapte parfaitement au rythme de ce polar scandinave. Elle dégage tout au long de sa lecture une certaine lenteur, mélange de douceur et de fermeté, et une force de caractère indispensable pour résister au climat et aux catastrophes.

https://domiclire.wordpress.com/2023/12/14/les-crimes-de-nos-peres-asa-larsson/
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Génial
J'ai adoré, il est extra, comme tous les autres tomes.
J'ai oublié de vous préciser que je suis fan d'Asa Larsson, c'est mon auteure préférée.
J'ai eu un coup de foudre pour son premier livre et j'ai enchaîné les tomes suivants à la suite.
J'adore le style, l'ambiance, les décors, les personnages et surtout Rebecka Martinsson, l'héroine.
Procureure, elle a un caractère bien trempé mais également quelques soucis psychologiquess, un héritage familial complexe
Ce 6e tome est le dernier de la série, je suis très triste de me séparer de ce personnage.
J'ai adoré ce livre, autant que les précédents.
Cela faisait presque deux ans que je n'avais pas lu un livre de l'auteure, j'appréhendais, peut être que j'aimerais moins… non, le coup de coeur est encore au rendez-vous.
Si vous aimez les polars nordiques, les cold case et les héroïnes un peu torturées… foncez !
Et si vous ne connaissez pas cette série, qu'attendez-vous ?


Lien : https://www.instagram.com/al..
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Voilà le fameux tome 6, qui clôture les aventures de Rebecka Martisson. Je pense qu'il est préférable, de les lire dans l'ordre chronologique, même, si les enquêtes sont différentes, nous sommes mieux imprégnés dans le vécu , dans la personnalité, la psychologie des personnages, les descriptions profondes que l'auteure fait de la Suède. Comme dans les précédents tomes, celui ci ne fait pas exception, tous les éléments , tous les personnages ont des rôles importants ,existentiels à jouer, rien n'est laissé au hasard, donnant du piment, dans le récit .

L'auteure nous plonge directement au coeur de l'histoire, la découverte de deux corps, un allongé au sol, l'autre dans un congélateur.

Une affaire énigmatique qui va plonger Rebecka dans une périlleuse situation; Elle est en contact direct, par des liens de parentés, au sein d'une famille adoptive, arrivera t-elle à rester objective, malgré ses souvenirs qui refont surface.

Nous évoluons dans un univers glauque, suffocant, oppressant, glaçant (autant que les conditions climatiques des pays nordiques). L'auteure, capte d'une facilité surprenante, ses lecteurs du début jusqu'au dénouement final; J'ai eu un ressenti d'être actrice et nos lectrice de ce roman, j'étais vraiment en Suède baignées dans les traditions du pays.

L'histoire est d'une extrême noirceur, intensifiée par un rythme lent, qui donne un côté très angoissant.

J'ai retrouvé la plume percutante, incisive , subtile de l'auteure.

La lecture est addictive, elle nous envoute, nous hypnose.

Asa Larsson signe une énième fois ,un roman époustouflant, mais mon coeur reste triste, en me disant que je ne retrouverais plus Rebecka .Mon côté optimise, prend le relais , en sachant qu'Asa Larsonn ne manquera d'imagination pour nous embarquer dans de nouvelles aventures.

Un romans de 599 pages , peut faire peur, mais les pages se tournent , se retournent, d'une rapidité extrême, que je n'ai pas vu le mot fin arrivé. Un roman que j'ai dévoré; Un véritable coup de coeur, que je vous recommande vivement
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