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2,9

sur 120 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Lors de la dernière opération masse critique, j'ai cherché, comme je le fais toujours, à en savoir plus sur les titres que j'avais mis sur ma liste avant de faire mon choix définitif... et de croiser les doigts en espérant être choisie.
Je profite de ces mots pour remercier Babelio qui à travers ces opérations formidables nous gâte, nous lecteurs-dévoreurs-avides de découvertes, et les éditions Sonatine qui m'ont fait parvenir ce livre.
Je disais donc que j'avais mené quelques petites recherches, et là je tombe sur Joyce Carol Oates. La grande, la fantastique, l'admirable Joyce Carol Oates, pour laquelle je peste chaque année lorsque tombe l'attribution du Nobel de littérature... à un autre qu'elle. Grrr !
Joyce Carol Oates, donc, a paraît-il dit à propos de ce roman : "Encore un de ces livres dont « on ne peut s'empêcher de tourner les pages, jusqu'à une incroyable conclusion » ? Eh bien, pour une fois, figurez-vous que c'est vrai !"
Il n'en faut pas plus pour me décider : si Joyce Carol Oates le dit, je dois lire ce livre.
À la loterie Babelio, j'ai eu de la chance : je reçois La chambre d'ami.
Cette chambre d'ami, je m'en régalais à m'avance. Je pensais m'y installer pour vivre des aventures trépidantes, passer des heures en compagnie de personnages passionnants, découvrir un suspense insoutenable, et bien d'autres choses encore.
Et hop, je me lance.
Le début n'est pas désagréable du tout. Rien d'exceptionnel, mais plaisant à lire. Une bonne introduction.
Qui dure un peu.
Qui dure longtemps.
Qui dure très longtemps.
Et là, je commence à me demander s'il va se passer quelque chose, si l'histoire va débuter. Je commence à m'ennuyer dans cette chambre d'ami dont j'ai fait le tour depuis un moment.
Et puis, finalement, ça y est, ça démarre !
Le hic, c'est que je n'accroche pas. Trop d'invraisemblances font que je ne rentre pas dans l'histoire, qu'elle se déroule en quelque sorte sans moi, que je reste à côté et la regarde passivement. Sans réactions, sans émotions.
Et ce, jusqu'à la fin.
Que me reste-t-il alors ? Pas grand-chose.
Un livre qui se lit vite mais qui s'oublie tout aussi rapidement.
Et une question à laquelle je ne trouve pas de réponse, ou plutôt, deux questions : Joyce Carol Oates a-t-elle vraiment aimé ce roman ? Et si oui, que lui a-t-elle trouvé que je n'ai pas su dénicher ?
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Je remercie Babelio et les Editions 10-18 pour « La chambre d'ami » de James Lasdun.
Matthew, la trentaine new-yorkais, est invité par son cousin Charlie, banquier, et sa femme Chloe à passer l'été dans leur maison de vacances plutôt chic.
Ecrit à la 3ème personne, c'est par le regard et les pensées de Matthew, pas forcément bien dans sa peau, qu'on entre dans la vie de ce trio. Les quelques clichés sont posés pour ce roman policier : Matthew le galérien, mec un peu pathétique qui travaille dans la restauration, qui n'a pas réussi à faire prospérer sa start-up, versus le beau couple sur photo glacée avec la femme Chloe belle, sexy et gentille, bien sous tous rapports et son mari Charlie qui a réussi, le plus froid et austère de l'histoire. On comprend rapidement que Matthew est épris de la femme de son cousin et que sa relation avec ce dernier est assez ambivalente et plus complexe qu'il n'y parait. Il y a un passif entre les deux hommes, des non-dits, des rancoeurs qui se révèlent au fur et à mesure que l'été près de la piscine avance. Bien évidemment, on ne voit les interactions entre les personnages que par la lorgnette de Matthew et le lecteur doit y démêler le vrai du faux.
Comparée à mon adolescence, je ne lis plus aussi fréquemment de romans policiers. J'en ai été une adepte : de Christie à Ellroy, de Connelly à Lehane, de Jonquet à Mankell, de Harvey à Lee Burke... Et je ne cite que les bons « classiques » car j'en ai lu des mauvais et des beurk. J'ai même lu des romancières américaines commerciales, moi, avec ma candeur de mes vingt ans, qui n'avais pas encore reçu toutes ses bonnes claques littéraires.
Alors j'apprécie de temps en temps de revenir à mes premiers amours qui ont fait de moi une lectrice plus éclectique. Mais, avec l'âge et les expériences, on devient un brin plus exigeant. Pour m'emballer pour de nouveaux écrivains de polars, il me faut à présent de la profondeur dans les personnages, de l'inédit, un regard social d'un milieu ou d'un pays, sous une plume fine et acérée.
Je me suis laissé tenter par la 4ème de couverture : « de sa plume manipulatrice, James Lasdun signe un roman au suspense étouffant et à l'élégance glacée ». Ajouté à « Entre Françoise Sagan et Patricia Highsmith un huis clos délicieusement pervers ! » j'avais hâte de découvrir ce roman policier.
Et j'ai attendu et attendu et elle n'est jamais venue, cette élégance glacée sous le soleil... J'ai trouvé que le soufflé avait beaucoup de mal à monter. Lasdun prenait trop de temps à mon goût pour camper ses personnages. Il saupoudrait lentement un peu de suspense et de rancoeur entre chacun, sans pour autant satisfaire mon palais. Il ajoutait quelques ingrédients à sa recette, pour donner un peu plus de consistance (le groupe hippy les Rainbows ; les « Pensées » de Pascal, etc.). Mais, décidément, ça ne fonctionnait pas pour moi. Je n'arrivais pas à me plonger dans l'histoire ni à apprécier les personnages.
Il cherchait à créer de la tension psychologique dans les relations et cela me laissait froide. Même l'adultère de Chloé ne suffisait pas à donner au roman plus de relief et d'envergure. Comme une voiture en rodage, dont il aurait fallu pouvoir passer la vitesse supérieure pour ressentir enfin quelques frissons…
Ce n'est peut-être qu'au bout de la moitié du livre (qui compte 286 pages en poche) que je me suis dit « Ahh, quelque chose qui réveille enfin mon intérêt ». le roman semblait enfin sortir des polars à la trame éculée… J'entrevoyais pourquoi il avait été question de « manipulation » et tournant les pages, l'oeil plus alerte et curieux, je me suis mise à échafauder quelques scénarios, en me disant que, si l'hypothèse que je trouvais la plus manipulatrice à la Hitchcockienne était confirmée, alors je tirais mon chapeau à l'auteur car je m'étais laissé piéger…
Mais, patatras, le soufflé, à peine un peu monté, retombait encore quelques pages plus loin dans ce qu'il m'a semblé une étape « déjà vue » (ou lue), telle l'épaisseur d'une omelette baveuse. Et il m'a fallu attendre les deux ou trois dernières pages pour retrouver ce petit goût plus salé de mes polars fétiches.
Bref une lecture malheureusement un peu longuette au parfum d'ennui, bien loin de la saveur des bons petits plats que préparent Matthew pendant l'été et bien loin de la comparaison d'un duo Highsmith et Sagan.
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Avant tout je remercie Babelio et les Editions Sonatine pour l'envoi de ce livre qui fut une découverte qui m'a laissé sur ma faim.

Je n'ai en effet pas trouvé grand intérêt à ce roman qui se présente comme : « Un huis clos délicieusement pervers entre Françoise Sagan et Patricia Highsmith », si j'en crois la quatrième de couverture.

Un huis clos, certes ! L'auteur nous invite dans une luxueuse maison au bord d'une piscine.
Un couple fortuné, Charlie banquier New Yorkais, sa ravissante épouse Chloë et pour compléter le trio, Matthew qui ne sait pas bien que faire de sa vie.

Matthew, bien décidé à « se taper l'incruste » tente de se rendre indispensable en cuisinant de bons petits plats, en faisant les courses et rendant autres menus services supposés indispensables à une vie oisive et harmonieuse.

Au bout d'une cinquantaine de pages, j'ai commencé à m'ennuyer et j'ai repris espoir lorsque Matthew découvre que la belle Chloë pourrait ne pas être l'épouse exemplaire qu'elle s'applique à paraître.

Espoir bien vite déçu. On s'enlise dans une triste histoire d'adultère.

Le style est banal, linéaire, sans surprise, mais se lit cependant aisément.

Aurais-je été aussi dure dans ma critique si l'on avait évoqué Françoise Sagan, que j'adore et qui a fait de moi une lectrice exigeante ?
Pour souffrir la comparaison, j'aurais aimé trouver une écriture plus élégante, des personnages ayant plus d'envergure avec des caractères mieux étudiés.

Bref, n'est pas Sagan qui veut !

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C'est avec beaucoup d'impatience que j'attendais le roman de James Lasdun La chambre d'ami, roman que j'ai pu découvrir grâce aux éditions Sonatine et à Babelio , je tiens à les en remercier.
4ème de couverture :" Entre Françoise Sagan et Patricia Highsmith un huis clos délicieusement pervers!' Voilà vous ne trouverez ni l'une ni l'autre dans ce roman c'est du moins mon modeste avis . Dire que j'ai été déçue relève de l'euphémisme.Matthew rejoint son cousin Charlie , les voilà quittant New-York direction la maison d'été de Charlie. Charlie c'est le cousin qui a réussi , riche , marié à Chloé une ravissante jeune femme, père d'une charmante petite fille , Matthew c'est le paumé , souvent à court d'argent , insatisfait de tout , sa seule passion la cuisine. Alors quand Charlie lui a proposé de passer l'été avec eux vous pensez l'aubaine....S'ensuivent des pages d'un ennui ! Il aura fallu attendre la page 50 pour qu'enfin il se produise un petit quelque chose : un adultère. Oh quel scandale ! et enfin à la page 150 la roue se met à tourner . Roman noir si vous le dîtes, suspense pour qui ? Des personnages sortis d'un monde à part , vivant dans une sorte de bulle, certains aux profil limite psychiatrique. Bref une lecture qui m'a laissée pantelante d'ennui . Allez je m'en vais sortir un roman de Françoise Sagan qui elle au moins savait écrire .....
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« Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus… »
Oui, je sais… On dit toujours ça…
Oui, mais là, c'est décidé ; on me m'y prendra plus, vraiment : Charlie et Matthew, deux cousins… l'un, riche banquier, Charlie, l'autre cuisinier ; Chloe, la femme de Charlie…Tout ce beau monde se retrouve à Aurélia une destination prisée par les bobos new-Yorkais et le milieu artistique plus ou moins branché…
Suivent, d'abord, une cinquantaine de pages de mise en place qui débouche sur un soupçon d'adultère… Il faut dire qu'on s'ennuie ferme, à Aurélia ! Dans le bouquin également…
On ne m'y prendra plus ; non : une quatrième de couverture évoquant l'atmosphère de Françoise Sagan (J'aime bien Sagan) ; convoquant Claude Chabrol (j'aime beaucoup Chabrol). Je suis appâté, bien sûr ; mais tellement déçu…
J'en profite pour remercier Babélio et les éditions Sonatine de m'avoir proposé cette lecture dans le cadre d'une masse critique particulière. Je m'en veux de m'être laissé piéger comme un débutant par une quatrième de couverture accrocheuse. Je m'en veux d'autant plus que je ne pratique pas le dénigrement, préférant souvent ne pas publier plutôt que d'éreinter un livre dans lequel je ne suis pas entré… Mais là, le style est d'une banalité confondante, plat, linéaire, encombré de détails quotidiens. On s'ennuie… jusque dans l'intrigue, convenue, prévisible…
Je regrette vraiment d'avoir privé un autre lecteur babéliote de cette lecture, qui, si elle ne me convient pas, aurait pu faire un heureux… On ne m'y prendra plus ; il y a tant de choses à lire…
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Avec cette couverture j'ai tout de suite pensé aux paroles de la chanson « pull marine » d'Isabelle Adjani :

« Avant de toucher le fond
Je descend à reculons
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond

C'est plein de chlore au fond de la piscine
J'ai bu la tasse tchin tchin »

J'ai eu peur de boire la tasse, malheureusement je n'ai pu l'éviter !

Tout est quasiment dit sur la 4ème de couverture, même si je me demande si celui qui l'a écrite a lu le même livre que moi ! Mais la 4ème de couverture m'a vendu du rêve, m'a vendu une extase livresque qui malheureusement n'a pas été au rendez-vous.

Un cadre agréable pour ce huis-clos : une résidence d'été au milieu des montagnes.

Un trio : Charlie, un riche banquier new-yorkais, sa femme Chloé et Matthew, le cousin de Charlie, un cuisinier qui se cherche, qui a une envie de mieux vivre. Charlie invite son cousin Matthew à passer l'été dans le bungalow de sa résidence secondaire, qui en échange de son hébergement, cuisine pour la famille. La chaleur estivale aidant, chacun vaque à ses occupations

Une cinquantaine de page pour mettre le décor et les personnages en place. Je me suis ennuyée !!! Les descriptions sont longues ! Ennuyeuses ! Je n'ai pas du tout accroché avec l'écriture de l'auteur, j'ai pourtant été appâtée par une comparaison avec Françoise Sagan, Claude Chabrol et Patricia Highsmith, pourtant je n'ai retrouvé aucun des talents cités !

Je ne me suis attachée à aucun des personnages que j'ai trouvé détestables et sans aucun charisme.

Je pensais avoir de la Passion, du drame, de la trahison, l'adultère, un meurtre : rien ne devait manquer à mon plaisir ! Les éléments sont effectivement présents, mais bien trop plats et larvés pour prendre tout leur essor et donner du plaisir au lecteur !
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Merci à Babelio et aux éditions Sonatine pour m'avoir fait parvenir en avant-première La Chambre d'ami de James Lasdun.
Malheureusement mon retour de lecture ne sera pas aussi enthousiaste que je l'avais espéré en lisant la quatrième de couverture.

En effet, la quatrième indique que « James Lasdun évoque à la fois les univers de Françoise Sagan, de Claude Chabrol et de Patricia Highsmith. » du name-dropping qui m'a fait venir la bave aux lèvres. Mais le roman ne tient pas la comparaison avec ces illustres artistes.

L'auteur installe son intrigue très très trèèèèès lentement. Tellement lentement que j'ai fini par me demander si je n'allais lire que les comptes-rendus des repas des protagonistes et de leurs activités estivales (tennis ou yoga ? bronzette ou scrabble ?).
Et puis un petit événement se produit enfin, et j'espérais que ça allait bouger un peu plus, mais c'était un doux rêve. Même l'événement majeur du livre qui se produit au deux-tiers du roman est avorté pour être raconté sous forme de flashback.

Donc, au niveau suspense, on est loin d'un Chabrol. Et ne cherchez pas non plus les multiples rebondissements promis par la quatrième, il n'y en n'a pas. Même la fin est décevante car prévisible et morale.

J'aurais pu faire l'impasse sur l'intrigue si les personnages avaient eu de la consistance mais c'est loin d'être le cas. Il reste tous à l'état de silhouette. Et le peu que l'on sait d'eux les rend antipathiques. Menteurs, hypocrites, adeptes des non-dits, égoïstes... il n'y en n'a pas un pour rattraper l'autre (et j'ajoute frappadingue pour Matthew).
En bref, impossible pour moi de ressentir de la sympathie ou de l'intérêt pour ces trois imbéciles.

Enfin, le style de l'auteur est somme toute banal. Ça se lit, vite et bien, mais il n'y a là rien de remarquable. Sans blague, il ne suffit pas de coller trois personnes dans une villa bourgeoise l'été pour être le successeur de Françoise Sagan. Il faut du style, du vocabulaire, une musique.

L'avantage avec ce roman c'est qu'il est court donc il se lit vite et s'oubliera tout aussi vite.
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James Lasdun, écrivain d'origine britannique  et vivant aux Etats Unis a un certain talent pour les descriptions minutieuses , son écriture est élégante et précise. Dommage qu'avec cette perception si fine de l'auteur , le cadre du roman: une villa luxueuse dans la région montagneuse des Catskills , les personnages principaux: Charlie et Chloé le couple qui reçoit Matthew, le cousin de Charlie et l'histoire elle-même , n'arrivent pas à susciter l'enthousiasme du lecteur .

Il m'a fallu attendre la bonne deuxième moitié du roman  pour trouver une action plus palpitante  que de savoir ce que Matthew allait acheter pour le prochain repas, ou si Charlie allait jouer plutôt au tennis qu'aller à New-York et si Chloé choisissait piscine ou yoga ...

Le personnage de Matthew sort à ce moment là de son insignifiance et le lecteur de la léthargie ou de l'indifférence dans lesquels l'avait plongé jusqu'à présent sa lecture mais l'espèce d'engourdissement de Matthew reprend rapidement le dessus, je n'ai pas réussi à cerner l'individu, comme s'il était détaché de sa vie réelle   !  On sentait pourtant les frémissements de quelque chose de plus profond dans ce personnage alors que  Charlie , adolescent ,  avait passé quelques années hébergé dans la famille de Matthew jusqu'à la faillite du père de Matthew, une situation qui a généré des conflits qui restent latents .

Donc , je ne suis pas arrivée à des sommets d'enthousiasme .

Très surprise du décalage entre la quatrième de couverture , dithyrambique en particulier dans les comparaisons avec des écrivains qui savent faire vibrer leur public, chacun jugera de la pertinence de ces allégations ... 

Je remercie Masse Critique et les Editions Sonatine .

Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager un petit moment représentatif du roman : 

"Il y a quarante cinq millions de personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté dans ce pays , dit Charlie en se resservant de l'esturgeon fumé qu'il avait rapporté de New-York  ..."
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Ni thriller, ni roman noir, ni policier… probablement juste roman de gare.
Une très longue introduction, puis c'est le dénouement final.
Ai-je raté quelque chose ? Je crains que non…
En deux mots : lent et invraisembable.
Un mauvais point pour l'éditeur.
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Un roman noir psychologique, un trio Charlie, sa femme Chloé et son cousin Matthew.
L'intrigue se passe dans la résidence d'été de Charlie et Chloé, une grande maison secondaire pour ce couple fortuné, où l'on propose un bungalow à Matthew afin d'y résider le temps d'un été tout en étant proclamé cuisinier. le décor est planté.
L'auteur au fil des pages nous dessine ses personnages, l'ambiance de ce huit clos afin de que le lecteur s'imprègne de l'atmosphère qui se ressert, on n'a envie page après page de connaître aux travers des rebondissements l'issue finale.

J'ai trouvé ce roman bien construit, l'atmosphère monte crescendo, la psychologie des personnages principaux est bien rendue, un bon roman noir.

Merci à Babelio et aux Editions Sonatine pour ce roman un bon moment de lecture.
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