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sur 688 notes
Réjouissant ce petit roman pioché fortuitement dans les rayonnages de la bibliothèque. Un livre dont j'ignorais l'existence écrit par un parfait inconnu (pour moi) et finalement, une jubilation.

Dans ce roman rondement mené, François Mitterrand oublie, un jour, son célèbre chapeau, un feutre noir, dans une brasserie où il déjeune d'huîtres. Daniel Mercier, petit comptable qui n'en revient toujours pas de manger à la table voisine du président de la République, après bien des hésitations, s'en empare, s'en coiffe et le fait sien… jusqu'à ce qu'il l'oublie, à son tour dans un train. Il est récupéré par une jeune femme, Fanny Marquant, qui rejoint son amant, et qui après quelques jours, laissera le chapeau "suivre son destin". Deux autres têtes, celles de Pierre Aslan et Bernard Lavallière s'en couvriront avant qu'il ne termine sa route…

Je ne vous en dis pas plus, sauf peut-être que ce chapeau n'est pas si anodin, il agit comme une amulette et infléchit, durablement, la vie de ceux qui le portent.

Du bonheur !! C'est drôle, subtil, original, bien écrit, les personnages sont riches et attachants, l'intrigue est facétieuse. On se replonge avec délectation dans les années 80, personnalités, musiques, films, références qui trouvent leur place spontanément dans l'histoire.

J'ai beaucoup aimé, je vous le conseille vivement si vous voulez passer un agréable moment avec des gens intéressants qui ont des trucs sympa à raconter :)

http://levoyagedelola.wordpress.com/
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Croyez-vous que les objets puissent avoir une influence sur notre vie ? Qu'ils soient dotés d'un pouvoir secret ? Ou bien que nous imaginions ce pouvoir et de ce fait, nous nous donnions inconsciemment les forces pour réussir dans nos entreprises ?

Vous n'aurez pas vraiment la réponse en lisant ce roman, mais cependant je ne peux que vous encourager à vous y plonger, car je me suis régalée du début à la fin. Daniel Mercier est un homme normal, dans la quarantaine. Un soir qu'il dîne seul dans une brasserie parisienne, il se retrouve par hasard à coté de François Mitterrand. Subjugué, il écoute la conversation des hommes et se réjouit de pouvoir côtoyer de si près le pouvoir, et surtout de pouvoir ensuite raconter l'anecdote à ses proches. Quand après leur départ, il s'aperçoit que le président a oublié son chapeau, sur un coup de tête, il s'en empare, s'en coiffe comme s'il lui appartenait et file sans demander son reste.

Il est tout heureux de ce hasard de la vie et du récit qu'il fera à son épouse à son retour. Ce qu'il ne sait pas encore, c'est que le chapeau, sitôt qu'il se pose sur une tête, semble influer sur la vie de son porteur, lui insuffler de l'énergie, de la personnalité, la force d'oser exprimer son opinion, ou de se positionner contre l'avis des autres. Bref, le couvre-chef donne à son possesseur non seulement un air chic et digne, mais une aura qui va changer sa vie. Il agit comme un talisman, un porte-bonheur, un gri-gri, une sorte de force immatérielle et donc insaisissable faisant ressortir le meilleur de la personne qui s'en ceint...

Sauf que le chapeau semble ne pas vouloir rester dans les mêmes mains. Mercier le perdra bien vite au profit d'une jeune femme, qui l'abandonnera sur un banc, après avoir pris une grande décision qui fera que sa vie changera du tout au tout. Il sera récupéré par un parfumeur dépressif en mal de création, puis par un bourgeois parisien… avant de revenir sur la tête de Daniel, après maintes et maintes péripéties. Pour savoir sur quelle crâne finira le galurin, vous devrez lire le roman…

Outre l'histoire qui est vraiment très drôle et originale, et qui pose des questions intéressantes sur notre confiance en nous-mêmes, je me suis délectée de ce retour dans les années 80. Antoine Laurain ressuscite cette époque (ma jeunesse) avec sa verve habituelle (souvenez-vous du délectable Fume et tue !), et un humour mordant, souvent ironique, mais cependant également empreint de nostalgie. Nous revivons les début du minitel, écoutons les chansons à la mode qui deviendront des tubes malgré le coté sulfureux de la chanteuse (C'est la ouate), assistons aux scandales de Gainsbourg à la télé, les débuts de Canal+, la petite chaine qui monte, regardons le JT de Mourousi… Basquiat est un illustre inconnu ; Jacques Séguéla fait sa pub ; en politique, il faut cohabiter ; on écoute ses messages sur des répondeurs à cassette et on filme en VHS ! Nous nous insurgeons contre la construction des colonnes de Buren ou de la pyramide du Louvre, Jacques Lang crée la fête de la musique, bref, c'est toute une époque qui défile sous nos yeux, et c'est un régal !

L'écriture de Laurain est fluide, vive, bourrée d'humour (souvent grinçant, très ironique), de clins d'oeil, et ses descriptions des personnages sont un véritable régal, tout particulièrement les bourgeois ancrés dans leurs principes et outrés qu'un des leurs ose virer sa cuti, changer d'idées politique et même appeler Mitterrand en prononçant son patronyme correctement au lieu de cracher un Mittrand péjoratif (j'ai eu l'impression d'entendre mes parents et leurs amis, la famille, prononçant le nom honni du bout des lèvres, comme si en parler les salissait déjà, les contaminait !). Jubilation également à lire les soirées mondaines du show biz de l'époque, les m'as-tu-vu qu'on croise dans les galeries. L'énergie de cette période m'est revenue, avec un brin de nostalgie… Je rassure ceux qui craignent de lire un panégérique de l'homme politique, il n'en n'est pas question ici.

Le jeu de mot est facile, mais je vous tire mon chapeau pour ce beau roman, Monsieur Laurain !

Lien : http://liliba.canalblog.com/..
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un chapeau feutre noir, des initiales FM en or et voilà le début de ce voyage extraordinaire...
n'avez vous pas eu un jour un ojbet fétiche, un objet qui donne cette impression que l'on gagne tout, que le monde nous appartient, un porte bonheur que vous avez perdu, égaré ? ...quelle a été votre sentiment premier...??? Moi ce livre m'a fortement fait penser à une de mes bagues, que je porte depuis l'âge de 15 ans...je serai bien ennuyée si je l'a perdé
Ce chapeau passe de tête en tête et pour chacune de ces têtes une histoire...
un roman bien écrit, avec humour mais surtout un come-back des années 80...le noms des personnalités de l'époque aussi bien du show biz, que politique et culturelle ont fait de ce livre un petit bijoux à recommander...un épilogue contre tout attente.
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Après avoir lu (et beaucoup apprécié !) "la femme au carnet rouge", j'avais envie de découvrir cet autre roman d'Antoine Laurain au sujet duquel j'avais lu de nombreuses critiques positives.
Ne vous fiez pas au titre, ce n'est pas un livre "politique" (même si la droite conservatrice et la gauche caviar sont toutes les deux écorchées au passage !!). le "personnage" principal, c'est le fameux chapeau, qui va passer de tête en tête par le fruit du hasard et modifier le destin de ses propriétaires provisoires (ou plutôt les inciter à prendre des décisions qui changeront leur vie).
Le roman se situe dans les années 80 et l'auteur en dresse un portrait grinçant. le minitel, Polac, Pivot, Canal +, le Top 50, les colonnes de Buren, la pyramide du Louvre… (en vrac... et j'en passe !), toutes les descriptions sont si réelles que j'ai eu l'impression de revivre ma jeunesse !!!
J'ai beaucoup aimé ce conte moderne, très agréable à lire et avec une bonne dose d'humour, qui est à la fois une caricature de la société des années 80 et une leçon de vie.
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N°599– Novembre 2012.
Le chapeau de Mitterrand – Antoine Laurain- Flammarion.

Le hasard fait bien plus souvent partie de notre vie que nous voulons bien l'admettre. Prenez par exemple une soirée de novembre 1986, un lieu, une brasserie parisienne et un homme, Daniel, un parfait quidam qui s'offre un délice gustatif en solitaire. Quoi de plus banal ? Ce qui l'est peut-être moins est qu'il voit s'installer à la table voisine François Mitterrand, le Président de la République soi-même qui vient, lui aussi, avec deux collaborateurs, faire une petite pause dîner. Au début, Daniel n'en croit pas ses yeux, regarde, écoute et surtout fantasme, le Président n'est pas un homme du commun, surtout celui-là, même si ce dernier ne fait pas de cas des autres commensaux. Las, le charme prend fin et Mitterrand finit par quitter les lieux, mais en oubliant son célèbre chapeau. Après avoir hésité, Daniel s'en empare. Cela tombe bien, il est à sa taille ! Et ce larcin va changer sa vie comme si ce couvre-chef présidentiel avait des pouvoirs surnaturels bénéfiques pour qui le porte. Sauf qu'il le perd à son tour et que, passant de mains en mains et de tête en tête, cet accessoire des hommes d'âge, devenu entre-temps anonyme, va donner à tous ceux qui vont le coiffer l'audace de sortir de la routine quotidienne où ils étaient quelque peu engoncés et qu'ils avaient peur de rompre, une « force tranquille » en quelque sorte ! A travers tous ceux qui en ont été les possesseurs successifs, de la secrétaire en mal de rupture amoureuse et d'inspiration artistique, au « nez » dépressif pour cause et sécheresse créative, en passant par un aristocrate classique et légèrement guindé qui va soudain avoir le courage de rompre avec son milieu, ce feutre noir va voyager, au moins dans l'imagination de l'auteur, de Paris à Venise pour le plus grand plaisir du lecteur.

Tout au long de cette fiction bien écrite, agréable à lire et pleine d'humour, l'auteur promène son lecteur dans la société française des années 1980 autant qu'il l'invite à visiter une galerie de célèbres portraits. Ce qu'on a du mal à nommer « un simple galure » va donc faire partie de la vie d'humains que le destin ou le hasard vont choisir, à moins bien sûr qu'il ne soit lui-même animé de sa propre liberté et choisisse ses temporaires inventeurs. Cela se termine par une évocation un peu énigmatique et émouvante de François Mitterrand, présent en filigranes dans tout ce récit.

J'ai bien aimé cette fable peut-être parce qu'elle met en évidence un des fantasmes secrets de tout être humain, celui de vouloir que les choses se réalisent parce simplement il le souhaite. Il laisse aller son imagination et se laisse porter par elle. Elle le transforme et le fait sortir de sa médiocrité. Bien sûr cela ne marche jamais et chacun se retrouve face à sa petitesse ordinaire et son morne quotidien qu'il a, l'espace d'un instant, tenté d'enjoliver. C'est une illustration de cette facette de la condition humaine qui m'a bien plu.

©Hervé GAUTIER – Novembre 2012.http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Le chapeau de Mitterrand est l'histoire d'un chapeau oublié sur la banquette d'une brasserie, par son célèbre propriétaire et qui passe de main en main (de tête en tête plus précisément), distillant à chaque fois les ondes positives qui vont changer le cours de la vie des nouveaux coiffés.

Daniel, le premier emprunteur, va trouver confiance en lui, défendre ses convictions et gravir rapidement les échelons dans sa société. Fanny trouvera le courage de dire non à son amant falot qui lui promet une rupture conjugale qui ne vient pas. Pierre retrouve le chemin olfactif nécessaire à son métier de créateur de parfums. Et Bernard secoue la poussière bourgeoise pour s'éclater dans la découverte artistique. Le chapeau continue de voyager et Daniel de le rechercher; il y aura des petites annonces et des courriers échangés pour tenter de retrouver ce beau feutre aux lettres d'or.



Le chapeau de Mitterrand a des allures de conte randonnée. Le couvre-chef fait étape chez ces personnages, devient le témoin actif d'un tournant décisif et heureux puis repart, guidé par le hasard, aimanté par l'optique d'une nouvelle rencontre. La fin de l'histoire, en rupture avec cette répétition, est toute aussi réussie.

La symbolique du chapeau, l'attribut du chef, est joliment détournée dans cette fable et le citoyen lambda en empruntant ce chapeau merveilleux devient chef de son propre destin.

Ce chapeau envoûtant et fétichiste nous fait plonger dans les années Mitterrand. Les nostalgiques des eighties seront rassasiés: le droit de réponse de Michel Polac, les rencontres sur Minitel, les montres Kelton à quartz ou les esclandres à la Gainsbourg constituent le décor de ce roman très incisif!

Un chapeau sensuel et consensuel, un roman séduisant qui a du punch.



Lien : http://bevanhalennebzh.over-..
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Une bonne idée ,un chapeau perdu marqué aux initiales de François Mitterand ,qui passe de tête en tête et transforme les vies .J'ai particulièrement apprécié les changements survenus chez Bernard Lavallière qui échappe brutalement aux usages et aux options politiques de son milieu (fort conservateur ) et qui va jusqu' à troquer à la :stupéfaction du teneur du kiosque son habituel Figaro pour le"torchon à July" Mais d'autres passages m'ont paru moins réussi .Au total ,un livre plaisant à lire mais de qualité inégale ,avec le plaisir de se remémorer une époque révolue .
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Tout commence un soir de novembre1986, quand François Mitterrand oublie son chapeau dans une brasserie parisienne. Chapeau qui va passer de main en main et qui a le pouvoir, comme un chapeau magique - à l'image d'Aladin et de sa lampe merveilleuse - de bouleverser, successivement la vie de ses multiples propriétaires. Ce chapeau serait-il la clef qui permettrait à ses éphémères propriétaires d'acquérir une nouvelle confiance en soi et, du coup, de se libérer de situations quelque peu inextricables, le tout dans une société française des années 1980.

Bien que l'idée de ce fameux chapeau au charme mystérieux soit originale, je n'ai pas accroché à la lecture de cet ouvrage. Pourtant qui n'a jamais rêvé de voir s'accomplir un jour ses désirs les plus secrets….

Un livre magique et léger au départ auquel je n'ai pas malheureusement adhéré.
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Par le grand des hasards danier Mercier dine aux côté du Président Mitterrrand. Ce dernier oublie son chapeau. Daniel le prend et c'est alors que sa vie change. Mais il le perd, la jeune fille qui le trouve, suite au port du chapeau, prend la décision de rompre,elle le laisse sur un banc. Un homme le prend, ancien grand parfumeur, en pleine dépression le chapeau lui redonne une nouvelle ouverture sur sa vie. Malheureusement, au restaurant une erreur se produig et il repart avec un autre chapeau. Celui-ci retrouve un nouveau locataire, benard Lavallière, qui lui aussi change. Mais daniel Mercier recherche toujours le chapeau. Un livre où se mélange tous les genres de l'être humain et où un chapeau change leur vie. Très bon roman.
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Résumé

Un soir où Daniel Mercier se sent seul, il va dîner dans une brasserie parisienne. Par hasard, un prestigieux personnage vient s'installer auprès de lui : François Mitterrand, accompagné de deux ministres. A la fin du dîner, le Président s'en va, en oubliant son chapeau... Daniel s'empresse de le garder, comme une relique, comme un talisman. il ne se doute pas que ce chapeau sera responsable du bouleversement de sa vie, et de trois autres vies après lui.

Mon avis

Un roman à sketches, très plaisant à lire, malheureusement trop court à mon goût. J'ai beaucoup aimé l'idée de départ, un chapeau un peu magique, qui s'accorde très bien à la personnalité un peu mystique du président français des années 80.

Le propos principal qu'il faut en retenir, c'est la possibilité de changer de vie si l'on sait en saisir l'occasion. Faire le point sur ce qui nous encombre, et savoir s'en débarrasser pour se sentir plus léger : telle est bien la philosophie que nous livre l'auteur. Et le chapeau n'est que le vecteur de ce changement parfois radical. L'auteur a su prendre plusieurs personnages très différents, et tous illustrent cette vision des choses, en connaissant des bouleversements inattendus dans leur vie.

Il y a la jeune femme qui trouve le courage de plaquer son amant marié, le génie du parfum dépressif qui retrouve goût à la vie, le timide employé qui dame enfin le pion à son supérieur et se trouve promu. Et on échappe pas à l'inévitable couplet politique, avec l'homme bien "de droite", qui du jour au lendemain ouvre les yeux sur la politique socialiste, et y prend goût.

Mais ce couplet politique, s'il ne convient pas à tout le monde, est tellement caricatural que finalement, il est fort bien venu. Passer, du jour au lendemain, du Figaro à Libé, des soirées coincées entre gens de bonne famille aux soirées chez Séguéla, avec Tapie et Lang, d'un rejet des "nouveautés socialistes" au goût presque immodéré pour les nouveaux artistes, Ming Pei et Buren en tête... On passe d'un cliché à l'autre, et je me suis dit que c'était très bien vu. Evidemment, je suis trop jeune pour avoir réellement connu tout cela, je n'ai que le regard un peu décalé de ce qu'on en lit ou voit par les rétrospectives et archives diverses, mais bon, j'ai beaucoup apprécié, p-être parce que j'ai ce recul dû à l'âge.

L'ensemble du roman se situe dans les années 80, et a le mérite de les faire revivre. On y parle de certaines technologies aujourd'hui désuètes (le Minitel et les répondeurs à cassettes), de la musique à la mode, ou bien déjà dépassées, de la vie politique (ah ! la cohabitation...), des parfums-star de ces années (Shalimar en tête)... L'auteur sait bien les faire revivre, et l'on se croirait presque, à certains moments, dans un documentaire sur cette décennie. Ce n'est cependant qu'une toile de fond aux aventures un peu décalées de ce simple chapeau de feutre noir qui passe de tête en tête, au fil du hasard.

L'auteur utilise une écriture protéiforme, où quelques échanges épistolaires se mêlent au roman, ce qui change un peu le style général. le roman est déjà très court, et l'irruption de ces lettres permet de changer le ton, de surprendre, mais finalement elles se glissent très bien dans l'ensemble.

La forme change, mais aussi le fond : on y trouve un exposé sur les années 80, une petite enquête de Daniel qui cherche à retrouver son chapeau, un peu d'ésotérisme à la fin (Mitterrand ne croyait-il pas à la force des esprits ?), un peu d'espionnage... Je reprocherais toutefois à l'auteur d'avoir mélangé tout cela à la fin du roman seulement, et pas un peu plus tôt ou dans l'ensemble, par petites touches. On a un peu l'impression qu'il manquait d'inspiration et cherchait à conclure.

Cependant, ce reproche est pour moi passager, car j'ai beaucoup aimé l'ensemble de cet ouvrage, où l'humour domine. Je ne peux que le conseiller à la lecture : vous y passerez un bon moment, quoiqu'un peu court !
Lien : http://lesloisirsdebernie.ov..
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