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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La police est sur les talons de Clara la Blonde, maîtresse du grand Paul, recherché activement.
A près une visite manquée chez le marquis Jean D'Herlemont elle échappe au piège tendu par la maréchaussée.
Lupin, lui, est sur la piste de l'héritage du grand-père du marquis, et sa route de cambrioleur va croiser celle de la jeune femme dans des circonstances pour le moins saugrenues.
Il va s'employer alors avec panache à dénouer le fil de cette énigme.
Ce volume est un excellent chapitre des aventures de Lupin.
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J'ai profité d'être dans une phase « Arsène Lupin » pour en lire trois à la suite en une dizaine de jours. Après Victor de la brigade mondaine (le tome 20), je me suis plongée dans celui-ci, La femme aux deux sourires. Une autre ambiance, moins chargée en termes d'enquête policière, je me suis davantage plongée dans un récit d'action avec de vieilles histoires de famille et de trésor à retrouver. J'ai bien aimé découvrir cette aventure d'Arsène Lupin.

En vérité, dès les 50 premières pages, nous savons que le bon Raoul est Arsène Lupin, donc pas de surprise sur l'identité du cambrioleur. Cela n'empêche pas d'apprécier le personnage de Raoul, un esprit vif avec de l'humour et de la compassion. Un homme d'action avec une intelligence pointue, j'adore sa manière de faire tourner en bourrique la police ou encore l'antagoniste (le Grand Paul). C'est un Arsène Lupin pétillant et plein d'entrain qui vient en aide à une jeune femme énigmatique.

Une fois de plus, j'avais vu l'épisode adapté de cet ouvrage avec la série des années 70. Seulement, le roman est différent sur bien des aspects et surtout, le livre exploite davantage la petite enquête menée par Lupin pour comprendre cette femme et son parrain, le marquis d'Erlemont. du coup, même en sachant certaines choses, je me suis régalée devant l'intrigue qui est chargée en actions et en péripéties.

J'ai adoré suivre Clara comme Antonine à travers les yeux de Lupin qui cherchait à comprendre qui était la femme devant lui. Ce qui nous permet de remonter le temps, de découvrir de sombres affaires de famille, de secrets à percer, des vérités à établir et un trésor à la clé si l'on parvenait à élucider un vieux meurtre resté inexpliqué. Alors, j'ai adoré l'histoire pour ces thèmes ainsi que pour les milieux présentés. J'ai adoré l'histoire pour comprendre le Grand Paul et son lien avec cette femme mystérieuse. Par contre, si tout m'a passionnée, je suis un poil plus chafouin sur le meurtre et les révélations faites dessus, ça me paraissait capillotracté et pourtant pas si idiot.

Du coup, l'histoire est bien menée, le rythme ne s'essouffle jamais et le roman se lit facilement tant j'avais envie de connaître, de voir surtout le grand final. Il est un peu retombé comme un soufflet, mais je reste tout de même sensible à la plume de l'auteur. Cette dernière est comme toujours, précise et soignée, avec de belles descriptions et de belles scènes d'action, sans oublier les dialogues qui se boivent comme du petit lait. Ce tome, maintenant que j'y repense, il a une ambiance bon enfant, un aspect très théâtre et vaudeville, un côté romanesque et rocambolesque et ça ne m'a pas déplu.
Lien : https://la-citadelle-d-ewyly..
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Après une pause d'écriture de chroniques, je reprends la cadence et sa commence avec La Femme aux deux sourires de Maurice Leblanc. Là, c'est le 18e tome de la série des Arsène Lupin et en disant ça, je réalise que je suis bientôt à la fin de la célèbre série.

Et en étant honnête, je suis obligé de dire que les tomes de la fin me font moins d'effet. Soit je me lasse, soit l'auteur (et c'est tout à fait compréhensible) a manqué d'imagination. Peut-être les deux causes sont bonnes. La Femme aux deux sourires, c'est un mystère un peu prévisible, assez basique quand on compare à d'autres tomes où plusieurs niveaux d'intrigues se mêlent. de plus, à force, Arsène Lupin perd en crédibilité de tomber toujours amoureux. J'ai beau laissé pas mal de temps entre chaque tome, je vois quand même les même éléments revenir sans être novateur.

Alors pour, c'est quand même un bon roman, toujours intéressant à lire et si on est pas comme moi, à suivre toute la série dans l'ordre, il est fort possible que La Femme aux deux sourires vous plaise. Maurice Leblanc sait nous entrainer auprès de son héros mythique et son style ne vieilli pas du tout. Rendez-vous compte, cela a presque 90 ans.
La suite sur le blog…
Lien : http://livrepoche.fr/la-femm..
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Franchement pas le meilleur Arsène Lupin, il s'inscrit plutôt dans la période la plus tardive, peu après les douze coups de l'horloge, où l'on sent que Maurice Leblanc a déjà "épuisé le filon". La résolution du mystère fait trop appel au hasard à mon goût et le coeur de l'intrigue également. le personnage de Lupin (qui exerce sous le nom de Raoul) est trop puissant, trop invincible, de sorte qu'on a du mal à craindre pour lui et pour ses proches. Néanmoins, sa faconde et sa verve légendaires, notamment face au pauvre Gorgeret et à l'affreux "Grand Paul", ainsi que les mystérieux personnages féminins m'auront conquis.
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Pour me reposer, j'adore lire un petit Arsène Lupin. Court polar, un style léger, on rit et on ne s'ennuie jamais avec son arrogance et sa clairvoyance. Pas de stress, on sait à l'avance qui sera vainqueur.
Le meurtre d'une chanteuse, la disparition de ses colliers, et l'intrigue démarre sur les chapeaux de roue. Dans cet épisode, la femme aux deux sourires dont monsieur Raoul, qui n'est autre que notre gentleman cambrioleur préféré, tombe amoureux, lui joue des tours de passe-passe qui mettent sa raison à dure épreuve. Qu'elle se présente en Antonine, jeune provinciale, ou en Clara la Blonde, la maîtresse du Grand Paul, elle fascine Arsène Lupin qui la sauvera plusieurs fois des mains de Gorgeret, le caricatural policier maladroit et malchanceux qui tente tout pour les attraper tous les trois.
Le dénouement est assez prévisible, convenu, mais peu importe, il s'agit bien d'un authentique Arsène Lupin, dans la plus pure de sa veine. Et il m'a diverti. C'est tout ce que j'en attendais.
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J'ai lu et relu ce livre tellement de fois à l'adolescence. Je ne sais plus ce qui me fascinait, sans doute cette dualité, cette femme tantôt ensorcelante et manipulatrice, tantôt douce et aimante... La solution est toute simple, mais le roman est si bien fait qu'on s'y laisse prendre totalement.

Et Arsène Lupin y est touchant, presque fragile, se battant contre les ombres.

Voilà bien une vingtaine d'année que je ne m'y suis pas replongé. Il faudrait que je le relise.
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Je ne sais plus
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