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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
🌳 Ce que j'ai ressenti:

« Tu n'es pas seule, tu vois. Je t'entoure comme je peux, sans les bras. »

Regarde alors, ce lien solide et généreux que je lance vers toi. Toi, la soeur. Toi, qui a fait le choix courageux de défendre la forêt, de te battre sans contrepartie contre le mort-terrain. Tu es la soeur idéalisée, l'éventualité que je peux envisager, la possibilité d'une autre vie. La sororité-boussole. La réorientation urgente et bienveillante. Laisse-moi t'aider, Felis Silvestris à aller explorer ce nouveau chemin de liberté, à rendre ton pied plus léger, à épancher tes trop-pleins de solitudes, à trouver ta pleine mesure…

« Tu n'es pas là, il faut que je me fasse à l'idée. »

Heureusement, qu'il y a l'autre soeur. La narratrice qui t'aime démesurément, qui t'admire, qui te soutient, qui te protège comme elle le peut, des pressions diverses. Et elle nous donne à lire, tes sensations, tes convictions, tes réussites et puis ses craintes. Alors, que l'hiver est bien là, elle crève de peur et d'angoisse pour toi, elle se confronte au froid, aux parents que tu as laissé derrière, aux exigences dévorantes de cette société. Elle est seule pour affronter ça. Elle est désorientée sans toi, mais elle lutte, parce que tu luttes. On ne devrait pas souffrir quand on agit pour une bonne cause, il me semble. Et pourtant, c'est ce que vous faites toutes les deux, vaillantes et déterminées.

« Nous avons cru que tout irait, que nous allions trouver notre voie, sans savoir ce que cela signifiait. »

La tendresse et la force de ce roman m'a foudroyée. En ce moment, c'est vrai que les thèmes de sororité, de nature writing, de liberté me passionnent, mais celui-ci a quelque chose de singulier et d'immédiat qui m'a accrochée. Il m'a permise une évasion sensorielle, puissante, et intime au coeur de la forêt et d'une relation privilégiée entre soeurs, et j'ai adoré cette connexion. J'étais tantôt l'une et l'autre, j'aurai voulu les entourer chacune d'elles pour combler leur manque, j'ai été au centre de la nature. Bien. Alignée. Et vous, vous ne seriez pas intéressé par une sylvotherapie? Parce que ce livre est un gros coup de coeur et un vrai bol d'oxygène!
Lien : https://fairystelphique.word..
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Un roman poétique et mélancolique, un dialogue entre l'homme et la forêt, où la frontière entre l'humain et le sauvage est incertaine. Ce qui rattache à la vie matérielle est affreusement grossier, tandis que l'appel de la forêt est enivrant. Je suis tombé sous le charme de cette histoire, j'ai trouvé ce rythme et ces images que j'aime dans le style. Cela m'a parfois évoqué les beaux romans Autoportrait en chevreuil de Victor Pouchet , pour la forêt et la pesanteur d'un quotidien éloigné de la nature, ou Ultramarin Mariette Navarro pour le style et cette toute-puissance non négociable de la nature. (Plus sur Instagram)
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C'est un premier roman remarquable, atypique, intimiste et nature writing qui entraine le lecteur au coeur de la relation entre deux soeurs.

Felis, c'est le nom que s'est choisi une jeune femme partie passer l'hiver en forêt parmi des activistes, afin de la protéger des appétits voraces d'une société minière.
Le temps de cet hiver, après des années d'errance, sa soeur pose ses valises dans un appartement prêté par une amie. Et c'est sa voix que vous entendrez tout au long du roman, c'est elle qui raconte le quotidien de Felis !

Comment le choix de vie de l'une a amené l'autre à essayer de comprendre.

Elle remonte le fil des souvenirs d'enfance mais surtout elle se projette tellement bien dans le présent de Felis que le lecteur est immergé dans la forêt, odeurs, bruissements, craquements, vie cachée, souterraine, aérienne, pics épeiches, sitelles, chauve-souris...
Et puis il y a cette vie dans la communauté où Felis reste toujours légèrement en marge.

Il y a beaucoup de tendresse dans le monologue de la narratrice, fascinée autant qu'effrayée par un choix de vie qu'elle ne comprend pas.

"- Et ta soeur, elle en est où, elle fait quoi?
- Oh, ma soeur, elle...."
Elle élude adroitement avec quelque chose de suffisamment vague qui veut à la fois tout dire et rien du tout. Et la question revient , inlassablement comme un leitmotiv...

L'écriture est douce, belle et vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé.
En librairie depuis hier 11 janvier.
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Si tu étais ma soeur, Felis, je serai si fière de tes choix. Si tu étais ma soeur, je n'aurai pas eu besoin d'imaginer un coup tortueux du destin pour te mener sur cette voie. Si tu étais ma soeur et que tu m'avais manqué, je ne me serais pas réfugiée dans le regret de ton départ ou l'espoir de ton retour. Si tu étais ma soeur j'aurais sûrement pris un maigre bagage afin de venir t'épauler quelques temps.

"Felis Silvestris", c'est le nom de forêt que t'a donné ta soeur dans ce long monologue où elle imagine ta vie dans les bois. Ce nom peut-être ne l'as-tu pas réellement adopté, mais j'ai eu envie de croire que tu avais choisi en toute conscience de te retrouver parmi ceux qui vouent leur vie à défendre ces lieux sacrés contre l'exploitation humaine.

Ta soeur, c'est cette barroudeuse qui par devoir envers les siens ou rattrapée par les conventions sociales, tente de se faufiler dans une case plus acceptable dans notre société. Parce qu'avoir deux filles sans mari, sans enfants, sans emploi fixe et qui vivent selon leurs propres règles c'est peut-etre un peu trop lourd à vivre, trop pesant à défendre pour les épaules de ta mère lorsqu'elle rencontre les voisins. C'est peut-être trop de vide supplémentaire à empiler sur la solitude de ton père.

Il est rarement question de tes convictions dans ce livre, tu n'es même jamais réellement toi. Mais tu es si présente. Comment ne pas t'aimer... Tu es ce que ta famille projette sur toi pour maintenir du lien, tu es ce que le lecteur projette en toi pour nourrir son âme. Ton quotidien finalement nous ne le connaîtrons pas et pourtant ton ombre imaginaire, Felis, rayonne et finit par être une inspiration pour tous. Je retiendrai cette phrase qui illustre ce livre à la perfection : "Je vous ai livré une histoire, c'est à vous de la faire résonner." Merci insaisissable chat sauvage. Merci Anouk Lejczyk. Merci une nouvelle fois aux éditions du panseur. Après "L'homme qui n'aimait plus les chats" d'Isabelle Aupy, une nouvelle voix s'élève pour nous offrir un hymne à la liberté.
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Dans le genre Nature Writing, j'ai récemment lu « Dans la forêt » de Jean Hegland et « Les dents de lait » d'Helene Bukowski dont aucun des deux n'a réussi à me transporter dans le noyau de la terre-mère. Je pensais donc en avoir fini pour le moment avec la littérature sylvestre. Et puis, les premières pages de Felis Silvestris m'attrapent par la main et me chuchotent: « Viens voir par ici la beauté de la forêt. L'urgence de la protéger. Son pouvoir de guérison. » Une ambiance réelle et actuelle, bien loin de la dystopie.

Son texte est vivant et rythmé. On marche dans cette forêt, on entend la cadence de nos enjambées faire craquer les branches sous nos pas et en même temps, cette petite voix posée sur notre épaule, nichée au creux de l'oreille, qui semble nous accompagner comme pour dire: « tout va bien, je suis là ».

Contrairement à ce que j'imaginais, l'environnement naturel est bien présent mais n'est pas le sujet dominant. Il y est question avant tout d'un lien entre deux soeurs. D'une connexion possible au-delà de l'espace et du temps. Est-ce parce que j'ai une soeur, qui aurait pu être Felis que ce roman a soulevé en moi un raz-de-marée d'émotions? L'appel est là. On se laisse engloutir dans un hiver intime et profond qui ouvre grand les bras à l'espoir.

En signant Felis Silvestris, la primo-romancière ne laisse planer aucun doute sur son talent. Son écriture est indiscutablement convaincante, documentée et intelligente.
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Un premier roman lu en 2019 et un coup de foudre, un deuxième en 2021 et cette même extrême qualité. Les deux ont été publiés par une maison d'Edition, "Le Panseur", au nom porteur de guérison. Jamais deux sans trois, dit-on, je le vérifie aujourd'hui avec le puissant premier roman d'Anouk Lejczyk "Felis Silvestris".

Au rythme d'une sorte de mantra "- Et ta soeur, elle en est où, elle fait quoi ?" l'auteur nous raconte la vie de deux soeurs plutôt semblables : libres dans leur tête et leur vie, sans mari, sans enfants, et "toujours un pied en l'air" aurait dit ma grand-mère. Difficile pour la mère d'avoir ainsi deux filles si éloignées des conventions, qui vivent hors des cases et dont l'une ne donne plus de nouvelles. Difficile aussi pour le père qui remplit sa vie de recherches sur la maladie de Lyme, apeuré à l'idée que Felis ne l'attrape. Car elle est partie, partie vivre en forêt au milieu d'une communauté disposée à lutter contre la Firme, responsable de déforestation. Au milieu d'une communauté, certes, mais de laquelle elle reste éloignée, toujours solitaire. Difficile aussi pour la soeur qui demeure là sans trop savoir, triste du manque de l'autre.

Le texte est magnifique qui conduit l'une à imaginer la vie de l'autre, ses jours, ses nuits. Imaginer, et aussi se replonger dans les souvenirs communs de l'enfance, essayer de comprendre, de remonter le fil. C'est aussi évoquer la maladie, ces voix qui hantent Felis. Pas de grandes explications, juste un effleurement, des mots épars, légers, emplis de tendresse. L'amour est là, en filigrane, jamais exprimé, juste ressenti. Car l'écriture d'Anouk Lejczyk est ainsi qui survole les faits comme une aile qui laisse derrière elle un parfum de tendresse.

Et puis il y a la forêt, semblable à celle que je parcourais enfant aux côtés de mon grand-père parti marquer les arbres à abattre. J'ai retrouvé ces arbres, l'odeur de l'humus, je me suis revue, comme Félis, les pieds dans la terre meuble… Les mots précis et forts de l'auteure réussissent à faire vivre cette forêt "…une vieille forêt aux racines profondes pour planter les leurs, et qui montrent leurs dents à quiconque les menace."

Un premier roman d'une énorme puissance, touchant, émouvant et particulièrement poétique.

Lien : https://memo-emoi.fr
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De retour d'un voyage, protégée par les quatre murs de son studio, sans visibilité sur son futur, une jeune femme nous raconte sa soeur.

Sa soeur qui est partie occupée une forêt menacée de destruction. Sa soeur qui n'a pas donné de nouvelles depuis quelque temps. Sa soeur qui inquiète ses parents. Sa soeur qui observe désormais le monde du haut de sa cabane au milieu des arbres.

Pour commencer chaque chapitre, la narratrice brode pour répondre à la question que tout le monde lui pose : Et ta soeur, elle en est où, elle fait quoi ? Alors, elle nous parle de l'enfant qui grimpait aux arbres pour atteindre les sommets sans vertige et sans se blesser mais pas sans faire peur à leur mère. Cette jeune femme qui a mené de brillantes études, commencé un travail, respecté les codes qu'on attendait d'elle avant de tout plaquer. Sa soeur aînée qui ne se sent à sa place nulle part, qui se ne sait pas se projeter et qui se cherche. Cette femme indécise, prise quotidiennement à des crises de doute : Humanitaire ou fille au pair ? Ciné ou dîner ? Canoë ou pizza ?

Elles se ressemblent ces deux soeurs en quête de liberté, qui ont fui toutes obligations professionnelles et familiales. Elles sont liées par un lien puissant et unique. Mais quand la narratrice revient toujours, son aînée a trouvé refuge auprès des arbres. Alors la cadette l'admire, l'encourage, la protège et la défend cette soeur de s'éloigner du monde qui l'entoure.

Ce conte moderne nous interroge sur les choix de vie à la fois compliqués et symboles du bonheur futur, les convictions qu'on porte, la difficulté parfois de trouver sa place et la faculté de fuir. Il décrit avec tendresse les liens fraternels.

Un récit poétique et philosophique qui nous recentre sur la place de la nature et met en avant les personnes qui ont choisi de marcher à contre-courant.

Une forêt protectrice et bienveillante pour nous accueillir et nous bercer à travers les pages aux mots forts, sensibles et oniriques.

Un magnifique premier roman

Lien : https://www.quandleslivresno..
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« Maman pense que tu as froid, tu as forcément froid là-bas dans ta forêt. »
« Felis Silvestris » au préalable la douceur tactile d'une couverture verdoyante prête à s'abandonner dans vos mains.
Lire Felis Sylvestris c'est pénétrer dans une forêt où les arbres sont des entrelacs. L'écriture clairière, les rais de lumière dans les feuillages salvateurs. L'époustouflant récit d'Anouk Lejczyk qui va éclore subrepticement.
Couchez-vous secrètement sur la mousse et écoutez la narratrice, la soeur de l'héroïne de ce livre sous-bois conter Felis, sa vie, l'intimité de son expérience, l'initiation robe domaniale.
Felis qui s'en va. Dans le sombre des bois vivre en communauté avec des semblables. L'espace-monde, frondaison, les quêtes prêtent au signal.
La croisée des chemins de deux soeurs siamoises et pourtant si différentes.
Une jeune femme parle à sa soeur, à nous, au choc des dualités, à la fragilité de Felis qu'elle interpelle, biche aux abois.
Elle nomme la famille, cherche à comprendre les fêlures de Felis, repliée dans la forêt émancipatrice, rude, à l'aura collective et de concorde.
« Pendant longtemps les forêts étaient loin, loin de nos plaines jaunes et de nos vacances bleues ; sans l'ombre d'un bois sinon ceux des histoires du soir, avec des enfants perdus et des animaux qui parlent… L'air de la forêt se répandra dans notre sang commun. »
Felis meurtrissures, lichen et vide abyssal. Sa soeur, fil d'Ariane, magnétique et constante pourvoit à la guérison. La dignité d'une famille, un père soucieux de Felis, une mère inquiète et déroutée. Malgré les angoisses rebelles, la maisonnée est socle. Tous les chemins mènent à Felis, un caillou dans la chaussure.
Felis laisse la traîne de la forêt rédemptrice. Repli chez l'amie qui laisse son antre, la virginité d'un espace à modeler.
Combativités et confrontations, les clairières veillent aux nouvelles essences à découvrir.
La soeur guide, gémellaire, omniprésente, la parole enfouie. L'écho assigné aux rusticités.
« Dis Felis, dis-moi à quoi tu penses quand ta pensée s'en va . »
Ce premier roman qui dépasse largement ses grands frères est une ode à la renaissance.
« Prends ton arc et tes flèches, montre-lui qui tu es ! Manqué-. »
Les choix sont des chapelles. le macrocosme des métamorphoses. Les combats à la vie, à soi-même et la somme d'un texte renom résolument magistral et essentialiste.
Des myriades de pages à apprendre par coeur de la 157 à la 162.
Ce grand livre est un hiver fédérateur. Une apothéose. Publié par les majeures éditions du Panseur.
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Felis, jeune femme d'une trentaine d'années, choisit de s'enfoncer dans la forêt. Elle y rejoint, pour un hiver, un groupe d'opposants à la Firme qui veut détruire cet endroit.
Elle laisse un père, une mère et une soeur sans nouvelles. Et c'est cette soeur, la cadette, qui raconte, recrée ce que vit sa soeur à partir de presque rien. Elle invente le quotidien de Felis pour rassurer les parents, donner du sens à la décision de sa grande soeur, construire un présent tangible, vivre en pensées aux côtés de sa soeur, à travers elle aussi.
Elles ne se voient pas, ne se parlent pas mais la force du lien entre elles l'autorise à cette fiction qui devient peu à peu réalité pour le lecteur.
J'ai beaucoup aimé cette histoire de fuite, d'amour fraternel.
Le récit est parfois triste, cette famille désunie laisse chacun dans son isolement avec ses doutes et ses questionnements.
Triste mais pas sombre, doux également. La narratrice, habitée par ses propres démons, s'attache à maintenir des liens, ténus. A accepter et rebâtir différemment.
Très joli premier roman.
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La narratrice imagine la vie de sa soeur, partie. Elle voit une photo d'un groupe de « zadiste » (le mot n'est jamais écrit dans le roman) voulant sauver une forêt. Parmi les cagoules, elle reconnaît les yeux de sa soeur. Alors elle raconte son histoire ou du moins celle qu'elle invente, prête à sa soeur. Deux soeurs en marge de la société qui s'interrogent sur leur vie et comment trouver sa place.
C'est touchant, sensible, plein de poésie. On ressent tout l'amour de la narratrice pour sa soeur, son absence. Ce roman touche à l'intime. Une atmosphère toute douce entoure les personnages et le lecteur, comme une sorte de bulle. Une belle expérience de lecture que je vous recommande vivement.
J'ai aimé la récurrence de la question « Et ta soeur, elle est où, elle fait quoi ? » avec systématiquement une réponse très vague, différente à chaque fois : « Oh, ma soeur, elle prend de la hauteur/se cherche/se réoriente/se réinvente… ». Cela apporte une respiration plutôt amusante entre les parties du livre.
De temps en temps, les parents font des incursions dans le récit. La mère ne comprend pas sa fille et a plutôt honte d'aborder le sujet avec les voisins. le père est obsédé par la maladie de Lyme. Ses interventions au sujet de sa fille concernent uniquement cette maladie qu'elle risquerait de contracter. Sa préoccupation est qu'elle fasse immédiatement des analyses à son retour. La narratrice égrène les souvenirs familiaux au fil du roman.
Il y a bien sûr toute la vie au milieu des arbres et de la nature qui est décrite. le corps s'adapte à cette vie rude et simple, en hiver, dans la forêt.
Un très beau premier roman à découvrir. D'ailleurs n'hésitez pas à piocher vos lectures dans le catalogue de cette jeune maison d'édition indépendante, le Panseur, vous ne serez pas déçus. Ce sont toujours des écritures singulières et des textes qui résonnent. Pour ma part j'ai la moitié de leur catalogue et je compte bien acheter l'ensemble des titres parus. J'avais découvert cet éditeur en 2021 avec la sélection du prix Hors Concours et le titre « Malou dit vrai » de Gwen Guilyn. Puis j'ai rapidement craqué pour « L'homme qui n'aimait plus les chats » d'Isabelle Aupy et récemment pour les deux dernières parutions, « Felis Silvestris », et « Ossature » de Nassim Kezoui que je n'ai pas encore lu. Jérémy Eyme les a très bien présentés lors de la rentrée littéraire de VLEEL, puis lors de la rencontre dédiée le 27/02/22. le replay de cette soirée est à venir sur la chaîne Youtube.
Autre gage de coup de coeur assuré, ce roman fait partie de la sélection des 68 premières fois !
Vous l'aurez compris ce sera l'un de mes coups de coeur pour le prix Orange du livre. Vous pouvez également lire les chroniques de Christelle et Geneviève sur ce merveilleux roman.
Lien : https://joellebooks.fr/2022/..
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