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Ce tome 20 intitulé "L'Astrologues de Bruges", et paru en 1994, reprend certains éléments des tomes précédents que Roger Leloup n'avaient pas développés jusqu'à présent. Il reprend l'idée du laboratoire alchimique du Moyen-Âge, mais associé au thème du voyage dans le temps... Autant à première lecture j'avais carrément kiffé, autant à seconde lecture je reste médusé...

Dans une Bruges magnifiquement reconstituée (qu'elle soit du XXe siècle ou du XVIe siècle), l'artiste Jos sert de ficelle pour amener Yoko là où l'auteur veut l'amener le plus rapidement possible dans le sacro-saint carcan des 48 pages... On a d'un côté Yoko qui ne sait rien de ses adversaires, et d'un autre côté ses adversaires qui semblent tout savoir d'elle : nous somme dans les paradoxes temporels, et Yoko va devoir remonter le temps à l'aide de Monya (qui malheureusement ne sert que de convoyeuse spatio-temporelle), ce qui va provoquer les événements qui devaient l'amener là où elle devait aller ! Même si ce n'est pas aussi bien exploité que dans "La Patrouille du temps" de Poul Anderson, c'est suffisamment bien exécuté pour être intéressant. Et pour ne rien gâcher l'auteur maintient aussi longtemps que possible la frontière entre Fantastique et Science-Fiction...
C'est à mi-parcours que la belle mécanique se grippe : le Diable explique à Yoko tout ce qu'elle doit savoir de manière fort peu naturelle, on ajoute non pas un mais deux MacGuffins qui ne servent à rien du tout, un whodunit qui ne sert à rien du tout lui non-plus, et alors que le background reste dans le vague les incohérences coupables se multiplient de manière éhontée... C'est clairement du gâchis ! La peste soit du one-shot de 48 pages !!!

Pour les lecteurs avertis les choses sérieuses comment ici...


Je ne suis pas un hater à la con, donc voici mes propositions :


Par contre l'auteur n'oublie pas le devenir de son comic relief, en lui offrant à travers le personnage de Mieke une dulcinée transtemporelle qui va servir de maman aux petits et aux grands enfants de la Team Yoko !
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Mes petites-filles continuent leur découverte des Yoko Tsuno, que lisait déjà leur maman.
Je me suis dit que si elles y arrivent, pas de raison que moi non. Et je vois que plein de personnes dans mes contacts et mes amis sont vraiment fan de la jolie japonaise. Il doit bien y avoir une raison ! Donc je persévère, malgré mes difficultés à lire des B.D., surtout celle-ci.

En plus, ce titre m'a attirée car Bruges est une ville très chère à mon coeur, même si je la connais à peine.

Et en effet, soit que je m'habitue, soit que le sujet soit un peu plus facile, je suis entrée plus rapidement dans l'histoire.
On suit Yoko, d'abord dans le Bruges du 20e siècle, puis nouveau voyage dans le temps, au milieu du 16e.
Les images sont très belles, les peintres, Bruges, ses canaux et ses monuments.
Je ne suis pas fan d'histoires avec le Diable, et j'ai eu tout de même encore un peu de difficultés à suivre tout à fait, mais j'ai quand même bien aimé cet opus-là.

J'ai eu la surprise d'y découvrir à la fin un long dossier d'une vingtaine de pages, très intéressant. Et absolument pas annoncé ni sur la couverture, ni au dos ou au début du volume. Si inattendu que j'ai vérifié s'il n'avait pas été rajouté par erreur à la suite de la B.D. ! Laquelle s'arrête à la page 46 comme beaucoup, le dossier n'étant même pas paginé.

Mais il est vraiment intéressant, avec chaque sujet sur une double page, texte et images.
J'aurais sans doute dû commencer par ça, j'aurais probablement mieux compris mes lectures. On y découvre les origines, les amis, les personnes gravitant autour de Yoko…
J'y ai même appris que Vinéa vient de Nivéa, lu de façon dyslexique par l'auteur encore enfant !!
Lien : http://livresjeunessejangeli..
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Fan de Yoko Tsuno, cet album est sans conteste mon préféré. Lors de ma première lecture de cet opus, je suis aussitôt tombée amoureuse des rues de Bruges, des canaux, des costumes splendides ainsi que de l'atmosphère incroyablement restituée du XVIème siècle belge.

J'aime quand la science-fiction côtoie L Histoire et l'aventure le mystère. C'est le cas dans cette histoire pleine de rebondissements savoureux et aux dessins toujours parfaits que je ne me lasse jamais de relire.
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Dans cet album, Yoko accompagnée de Monya, va devoir remonter le temps pour retrouver un peintre qui a peint son portrait en 1545 et empêcher que la peste ne se répande dans les canaux de Bruges.

Si le scénario est relativement classique dans la série des voyages dans le temps de Yoko Tsuno, cet album se distingue par la qualité de ses dessins qui rendent un superbe hommage à la belle ville de Bruges.

C'est également dans cet album que Pol va rencontrer l'amour en la personne de Mieke, ce qui donne lieu à quelques scènes amusantes comme vous pouvez l'imaginer.
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Pour moi c'est l'un des meilleurs albums de la série Yoko Tsuno car il même habilement quelques unes de mes caractéristiques préférées en littérature : l'histoire, les voyages dans le temps, le fantastique et l'aventure. Comme toujours Roger Leloup nous émerveille par la beauté et le réaliste de ses décors. L'intrigue est bien menée et tien la route même si une partie du mystère demeure à la fin de l'album. Un grand Yoko Tsuno.
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Cet album est un bijou : tant au plan esthétique, on en prend plein les yeux, qu'au plan de l'intrigue, on trépigne d'impatience à connaître la fin de l'histoire, savoir si Yoko Tsuno va retrouver cette fameuse fiole dont elle ne se souvient pas. le décor de la ville de Bruges est somptueux. J'aime aussi l'idée que technologie et obscurantisme se croise au Moyen-âge. Un fait m'a un peu interloquée, le marquis et le peintre ont quatre cent cinquante ans et ils n'essaient pas de tirer un gain de ce pouvoir dont ils jouissent alors qu'ils attendent vainement à notre époque de retrouver Yoko pour mettre la main sur les précieuses tablettes ?!
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Une aventure temporelle avec élixir de vie et machine à remonter dans le temps à Bruges, ville que j'ai eu plaisir à revoir dans les beaux dessins de Roger Leloup (j'y ai passé une journée il y a plusieurs années). On y trouve des grands méchants (le diable) et Yoko et ses amis (les fidèles Vic et Pol, la petite Rosée tellement mignonne, et des retrouvailles, un peu trop brèves, avec Monya) aventuriers au grand coeur qui accueillent une orpheline de la Renaissance. Oui, il faut aimer les histoires alambiquées qui mélangent tout un tas de choses. Yoko, c'est pour les enfants qui ne cherchent pas vraiment à se dire "c'est pas crédible". Je suis attachée à cette héroïne mais il faut avouer qu'au fil de la série, la qualité des scénarios est inégale.
Ce numéro 20 contient un petit dossier sur la série avec quelques confidences de l'auteur, intéressant mais sans plus si on connait bien la série.
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Yoko va être contrainte par un peintre de Bruges d'aller dans le passé pour éviter que la peste bucolique soit déversée dans les canaux de Bruges. Ce peintre affirme l'avoir peinte au XVIe siècle avec son amie Monya, Yoko n'ayant pas encore fait ce voyage dans le temps.
Au cours de ce voyage, elle rencontrera Mieke, une vendeuse de fleurs, qui l'aidera à éviter le pire. Mieke deviendra par la suite un personnage récurrent des aventures de Yoko en étant la fiancée de Pol :-)

Cet album est un de mes préférés car il mélange histoire, fantastique (avec le diable) et décors fabuleux. A chaque fois que je le lis, j'ai l'impression de visiter Bruges, tellement la ville est bien dessinée, et d'en apprendre davantage sur son histoire.
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Un portrait d'elle peint en 1545 ,des hommes ages de 450 ans,le squelette du diable un laboratoire d'alchimie,une fiole contenant le bacille de la peste..

Une succession de faits aussi étranges qu'inquiétant attend Yoko dans la ville belge de Bruges.Pour remonter a la source de ces mystères,il n'y a qu'une solution:
effectuer un voyage dans le temps.

Je trouve plutôt bien ,avec Yoko Tsuno,une ingénieure en électronique,et (ceinture noir d'aïkido)
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Le 20e tome de Yoko Tsuno voit le retour (trop tôt à mon goût) de Monya et de sa machine temporelle. En route pour la Bruges de 1545, grande époque d'obscurantisme et de peste noire, où Yoko a été peinte avec Monya et Rosée du Matin. Au programme : rencontre avec le diable, élixir de jouvence et pandémie…
Les magnifiques décors de Bruges et les costumes dessinés avec précision ne suffisent malheureusement pas à enflammer cet épisode. Les personnages secondaires ont tendance à se ressembler et les passages obligés (confiance naïve, nouveaux amis) échoppent davantage à convaincre. Si Yoko n'a pas vieilli, on ne peut pas en dire de même de la lectrice que je suis… ni malheureusement de l'auteur…
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