J'avais commencé la lecture insipide de ce roman qui commençait à me taper sur les nerfs.. Je m'étais arrêtée à la page 180 environ. À la suite des commentaires des membres de Babelio, et comme je n'avais rien à faire, j'ai décidé de continuer - ce que je fais en ce moment - de le lire. La suite me confirme, dans cette lecture où toutes les ficelles à a tirer sont évidentes, une faiblesse absolue, une facilité un fou… de gueule. de première catégorie.Finalement
Lemaitre aime l'horreur et la laideur. Sans la classe et la beauté des grands maîtres.
Quand j'aurai fini ce torchon exécrable, Je viendrai encore modifier cet avis provisoire. C'est intéressant d'ailleurs de laisser un commentaire en cours. Cela permet de voir les réactions des lecteurs dont certains semblent furieux sous le prétexte qu'ils aimeraient le barbouilleur, Cette écriture magnifique, ce Maître incontestable et incontesté de la littérature française !!! Á d'autres.
Je laisse ci-dessous les lignes de mon premier commentaire :
Une fille en cage, ben voyons, comme c'est original, les excréments, les vieux cinglé qui la terrifie. La pauvre petite.
Un peu facile, et surtout très fatigant à lire
Je ne connaîtrai donc jamais la fin et tant mieux
Je répète encore une fois que
Lemaitre « pompe » sur l'excellente
Karine Giebel ( à ses débuts du moins car celle-ci a perdu toute son originalité et imagination, pour faire à présent l'exploitation du misérabilisme africain et autres modes de ce nouveau siècle débile).
Monsieur
Lemaitre, vous avez eu le Prix Goncourt, comme
Annie Ernaux et ses salades narcissiques lui ont valu le prix Nobel
Je vous le dis, et le répète, nous sommes en pleine déliquescence des hautes valeurs humaines et de la Littérature (la vraie).