Lucy Lennox/5
2 notes
Résumé :
Je n’avais pas l’intention de me cacher sur le yacht, je le jure.
Ma première erreur a été de rentrer chez moi avec l’abruti du bar, mais pour ma défense, Prescott m’a dit qu’il possédait le Worthington – quatre-vingt-dix pieds de perfection moderne et élégante – et que si je parvenais à obtenir le poste de second, j’aurais une excuse pour rester à bord et continuer à fuir ma famille et mon avenir.
Comment pouvais-je savoir qu’il était ... >Voir plus
Ma première erreur a été de rentrer chez moi avec l’abruti du bar, mais pour ma défense, Prescott m’a dit qu’il possédait le Worthington – quatre-vingt-dix pieds de perfection moderne et élégante – et que si je parvenais à obtenir le poste de second, j’aurais une excuse pour rester à bord et continuer à fuir ma famille et mon avenir.
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Que lire après Cal: Le clan Wilde #8Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (1)
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Attention si vous n'avez pas lu tous les tomes, cette chronique peut contenir des SPOILER !!!
Suite de la saga le Clan Wilde, une famille très unie et très protectrice. Les tomes sont tous indépendants, mais je vous conseille de découvrir tous les membres de cette famille.
Cal passe la nuit avec un homme qui recherche un Capitaine second pour son yacht. Au petit matin, il est enfermé dans le placard, car le vrai propriétaire est monté à bord. Surpris par celui-ci, Cal devient son "petit-ami" pour débusquer l'infidèle.
Worth est charmé par Cal, il l'utilise pour démasquer son futur beau-frère pour son malhonnêteté. Une semaine ensemble, Cal doit rester un "outil" et rien de plus...
Cal, Calgary Wilde, 23 ans est moniteur de voile, un second capitaine, un animateur de camps... mais aussi l'un des petits-fils de Papi et Doc. L'avant-dernier de la fratrie, il a un rêve à atteindre seul. C'est un homme passionné avec un excellent humour, il est adorable et charmant.
Worth, Jonathan Worthington, 42 ans est un capital-risqueur milliardaire. Après une rupture difficile avec un homme plus jeune que lui, il a décidé de se protéger. C'est un homme maniaque du contrôle, froid et sévère d'apparence, mais il est aussi sensible attentionné et protecteur.
La narration est à la première personne. le point de vue varie entre Cal et Worth.
L'intrigue est bien menée, en simplicité et humour. Cal est vite à l'aise avec les gens, il s'intègre tout de suite à la famille de Worth. de sorties en mer, de soirées en famille, Cal et Worth deviennent vite très proche. Des amoureux à mi-temps, car chacun à sa vie après cette semaine ensemble...
La plume est fluide et très plaisante à lire. Lucy Lennox apporte toujours un côté fraicheur dans ses romans, malgré une touche d'émotions plus sombre, comme la trahison dans celui-ci. Ses idées sont épiques, j'adore l'humour, les échanges et les personnalités de ces héros. Un ensemble parfait pour une lecture de comédie romantique addictive et bien rythmée.
Les émotions sont plaisantes. Cal et Worth se taquinent, se cherchent, flirtent tout en apprenant à se connaître. Cal met Worth à rudes épreuves, car celui-ci très méfiant se laisse séduire par le côté enthousiaste et généreux de Cal. Un duo parfait. Les relations intimes sont sensuelles et très bien écrites, juste ce qu'il faut.
Slow Burn, Age Gap, Fake Boyfriend, une charmante romance avec énormément d'humour et de simplicité, j'adore. La plume est fluide et très plaisante, les idées sont attractives et bien rythmées. Une excellente lecture de détente, une charmante comédie romantique.
https://meslivres-monplaisir.blogspot.com/2024/05/le-clan-wilde-8-cal-lucy-lennox.html
Lien : https://meslivres-monplaisir..
Suite de la saga le Clan Wilde, une famille très unie et très protectrice. Les tomes sont tous indépendants, mais je vous conseille de découvrir tous les membres de cette famille.
Cal passe la nuit avec un homme qui recherche un Capitaine second pour son yacht. Au petit matin, il est enfermé dans le placard, car le vrai propriétaire est monté à bord. Surpris par celui-ci, Cal devient son "petit-ami" pour débusquer l'infidèle.
Worth est charmé par Cal, il l'utilise pour démasquer son futur beau-frère pour son malhonnêteté. Une semaine ensemble, Cal doit rester un "outil" et rien de plus...
Cal, Calgary Wilde, 23 ans est moniteur de voile, un second capitaine, un animateur de camps... mais aussi l'un des petits-fils de Papi et Doc. L'avant-dernier de la fratrie, il a un rêve à atteindre seul. C'est un homme passionné avec un excellent humour, il est adorable et charmant.
Worth, Jonathan Worthington, 42 ans est un capital-risqueur milliardaire. Après une rupture difficile avec un homme plus jeune que lui, il a décidé de se protéger. C'est un homme maniaque du contrôle, froid et sévère d'apparence, mais il est aussi sensible attentionné et protecteur.
La narration est à la première personne. le point de vue varie entre Cal et Worth.
L'intrigue est bien menée, en simplicité et humour. Cal est vite à l'aise avec les gens, il s'intègre tout de suite à la famille de Worth. de sorties en mer, de soirées en famille, Cal et Worth deviennent vite très proche. Des amoureux à mi-temps, car chacun à sa vie après cette semaine ensemble...
La plume est fluide et très plaisante à lire. Lucy Lennox apporte toujours un côté fraicheur dans ses romans, malgré une touche d'émotions plus sombre, comme la trahison dans celui-ci. Ses idées sont épiques, j'adore l'humour, les échanges et les personnalités de ces héros. Un ensemble parfait pour une lecture de comédie romantique addictive et bien rythmée.
Les émotions sont plaisantes. Cal et Worth se taquinent, se cherchent, flirtent tout en apprenant à se connaître. Cal met Worth à rudes épreuves, car celui-ci très méfiant se laisse séduire par le côté enthousiaste et généreux de Cal. Un duo parfait. Les relations intimes sont sensuelles et très bien écrites, juste ce qu'il faut.
Slow Burn, Age Gap, Fake Boyfriend, une charmante romance avec énormément d'humour et de simplicité, j'adore. La plume est fluide et très plaisante, les idées sont attractives et bien rythmées. Une excellente lecture de détente, une charmante comédie romantique.
https://meslivres-monplaisir.blogspot.com/2024/05/le-clan-wilde-8-cal-lucy-lennox.html
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Citations et extraits (2)
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Chapitre 2 :
Worth
«…Depuis quand un inconnu ne m’avait-il pas charmé autant ?
— Je dirais qu’embarquer clandestinement sur le bateau de quelqu’un est quelque chose de mal, suggérai-je.
— C’est un sous-entendu ?
Son sourire était adorable et dragueur. Il en rajoutait sans doute une couche pour se tirer d’affaire.
— Parce que si c’est ça, je suis partant.
— Expliquez-moi, exigeai-je en m’approchant de lui.
— Moi ? répliqua-t-il sur un ton indigné, en posant la main sur sa poitrine. C’est vous qui avez kidnappé une victime innocente !
Je le dévisageai, incrédule.
— Kidnappé ?
— Oui. J’étais simplement en train… euh… d’inspecter le placard de ce charmant… navire quand vous…
Il soupira et s’affala sur son siège.
— Très bien, mais vous pouvez vous asseoir ? Vous me donnez l’impression d’être dans un film de mafieux des années
trente, mais je vous le promets, je ne sais pas où est parti Bugsy avec la marchandise.
Je posai mes fesses sur le bord du lit.
— C’est mieux ?
Il se détendit légèrement.
— Un peu.
Je soupirai.
— Continuez, dis-je en agitant la main pour lui indiquer d’en venir plus vite au but.
— Je suis né dans une petite ville texane appelée Hobie, commença-t-il en s’adossant à son siège pour se mettre à l’aise.
Après un temps d’arrêt, je me rendis compte qu’il avait bel et bien l’intention de me raconter l’histoire de sa vie.
— Accélérez jusqu’au moment où vous vous êtes retrouvé embarqué sur mon bateau.
— Si seulement c’était un jeu de mots, marmonna-t-il. Vous n’êtes pas drôle. Vous auriez adoré l’histoire de ma première fois à dos de poney.
Il renifla et contempla ses ongles.…»
Worth
«…Depuis quand un inconnu ne m’avait-il pas charmé autant ?
— Je dirais qu’embarquer clandestinement sur le bateau de quelqu’un est quelque chose de mal, suggérai-je.
— C’est un sous-entendu ?
Son sourire était adorable et dragueur. Il en rajoutait sans doute une couche pour se tirer d’affaire.
— Parce que si c’est ça, je suis partant.
— Expliquez-moi, exigeai-je en m’approchant de lui.
— Moi ? répliqua-t-il sur un ton indigné, en posant la main sur sa poitrine. C’est vous qui avez kidnappé une victime innocente !
Je le dévisageai, incrédule.
— Kidnappé ?
— Oui. J’étais simplement en train… euh… d’inspecter le placard de ce charmant… navire quand vous…
Il soupira et s’affala sur son siège.
— Très bien, mais vous pouvez vous asseoir ? Vous me donnez l’impression d’être dans un film de mafieux des années
trente, mais je vous le promets, je ne sais pas où est parti Bugsy avec la marchandise.
Je posai mes fesses sur le bord du lit.
— C’est mieux ?
Il se détendit légèrement.
— Un peu.
Je soupirai.
— Continuez, dis-je en agitant la main pour lui indiquer d’en venir plus vite au but.
— Je suis né dans une petite ville texane appelée Hobie, commença-t-il en s’adossant à son siège pour se mettre à l’aise.
Après un temps d’arrêt, je me rendis compte qu’il avait bel et bien l’intention de me raconter l’histoire de sa vie.
— Accélérez jusqu’au moment où vous vous êtes retrouvé embarqué sur mon bateau.
— Si seulement c’était un jeu de mots, marmonna-t-il. Vous n’êtes pas drôle. Vous auriez adoré l’histoire de ma première fois à dos de poney.
Il renifla et contempla ses ongles.…»
Chapitre 1 :
Cal
«… — Vous êtes qui ? répéta-t-il.
Je rassemblai autant de dignité que possible.
— Je suis l’invité du propriétaire du bateau.
Il haussa un sourcil étonné.
— Ah oui ?
— Oui. Et je ne suis pas sûr qu’il serait ravi de savoir que vous vous faufilez dans sa chambre pour tripoter ses vêtements.
L’homme croisa les bras et pinça les lèvres.
— Hum. Je pense qu’il n’aura rien à y redire, à vrai dire.
Il plissa les paupières en avisant ce que je portais.
— Attendez, c’est mon tee-shirt ?
Oh, merde. Oooooh merde. Est-ce que c’était le mari de Prescott ? M’étais-je embarqué clandestinement dans le mariage de quelqu’un ?
— Euh…
Je lançai un regard désespéré autour de moi, estimant mes chances de m’en aller en courant. Étions-nous encore assez proches de la marina pour que je fasse un bain de minuit et nage jusque là-bas ?
L’homme s’approcha d’un pas, et je reculai tout autant. Il ressemblait à un prédateur, et pas du genre sexy. Plutôt du genre à engager des poursuites sur une île des Caraïbes.
— Comment vous appelez-vous ?
— C-Cal…
Je fus distrait par ses yeux bleu acier perçants. Les trouverais-je toujours aussi séduisants dans le box des accusés lors de mon procès pour intrusion ?
— Et vous ?
— Jonathan Worthington.
Worthington.
Mon regard se posa sur la petite plaque en cuivre apposée au-dessus de la porte. Le Worthington.
— Oh, répondis-je faiblement en cherchant à tâtons la poignée du placard derrière moi.
Je l’ouvris, entrai dans l’espace obscur et la claquai devant moi. …»
Cal
«… — Vous êtes qui ? répéta-t-il.
Je rassemblai autant de dignité que possible.
— Je suis l’invité du propriétaire du bateau.
Il haussa un sourcil étonné.
— Ah oui ?
— Oui. Et je ne suis pas sûr qu’il serait ravi de savoir que vous vous faufilez dans sa chambre pour tripoter ses vêtements.
L’homme croisa les bras et pinça les lèvres.
— Hum. Je pense qu’il n’aura rien à y redire, à vrai dire.
Il plissa les paupières en avisant ce que je portais.
— Attendez, c’est mon tee-shirt ?
Oh, merde. Oooooh merde. Est-ce que c’était le mari de Prescott ? M’étais-je embarqué clandestinement dans le mariage de quelqu’un ?
— Euh…
Je lançai un regard désespéré autour de moi, estimant mes chances de m’en aller en courant. Étions-nous encore assez proches de la marina pour que je fasse un bain de minuit et nage jusque là-bas ?
L’homme s’approcha d’un pas, et je reculai tout autant. Il ressemblait à un prédateur, et pas du genre sexy. Plutôt du genre à engager des poursuites sur une île des Caraïbes.
— Comment vous appelez-vous ?
— C-Cal…
Je fus distrait par ses yeux bleu acier perçants. Les trouverais-je toujours aussi séduisants dans le box des accusés lors de mon procès pour intrusion ?
— Et vous ?
— Jonathan Worthington.
Worthington.
Mon regard se posa sur la petite plaque en cuivre apposée au-dessus de la porte. Le Worthington.
— Oh, répondis-je faiblement en cherchant à tâtons la poignée du placard derrière moi.
Je l’ouvris, entrai dans l’espace obscur et la claquai devant moi. …»
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