La dernière des Stanfield

Un petit polar autour d'un secret de famille. Éléonor-Rigby vit à Londres, journaliste ; George Harrisson, Ébéniste , vit au Québec. Tous deux reçoivent une lettre anonyme accusant leur mère d'un passé criminel. le corbeau leur fixe un rendez-vous dans un bar à Baltimore aux États Unis.....
Plutôt bien ficelé, comme d'accoutumé, Marc LEVY déploie son talent, les ingrédients sont là, un véritable jeu de piste.
Toutefois, il m'a manqué quelque chose... une certaine profondeur dans les sentiments ou cela vient du fait qu'il faut éviter de lire 2 bouquins de Marc Lervy d'affilé !!!
J'ai beaucoup aimé qu'il explore la saga familiale avec ses non-dits, ses pudeurs qui font que l'on peut vivre à côté de quelqu'un sans le connaître vraiment.

Un bon délassement que ce livre plein de rebondissements, de flash-back, avec au centre de l'action un secret de famille.

Une écriture légère qui vous fait passer un bon moment.

L'histoire était plutôt sympa, un peu longue par moment et on s'attend à une partie de la fin. La partie à laquelle on ne s'attend pas est assez émouvante et donnerait presque envie qu'il y ait une suite. le livre se lit rapidement, on arrive à rentrer facilement dans l'histoire.

Dans cette saga familiale, Marc Levy nous entraîne dans les années 1940 et 1980, au détour d'une enquête sans policier se déroulant en 2016. Il nous transporte de l'Angleterre au Canada, en passant par la France et l'Amérique du Nord.
Au décès de sa mère, Eleanor-Rigby s'engage dans la recherche de ses origines et elle découvre peu à peu son "héritage". En mêlant faux suspens, mystères faciles à percer et vraies surprises, Marc Lévy nous tient sereinement en haleine, sans précipitation aucune. Les personnages se dévoilent tour à tour et deviennent de plus en plus attachants (surtout les femmes). La structure du livre fait la part belle aux points de vue de chaque protagoniste, à leurs ressentis et à leurs justifications.
L'écriture fluide et la construction temporelle maîtrisée en font un ouvrage agréable et rapide à lire.

•⠀Ce livre avait tout pour me plaire et c'est le cas, il m'a bien plu. Ça ne sera pas une lecture inoubliable pour autant, mais j'ai tout de même passé un bon moment de lecture (ou plutôt plusieurs petits moments de lectures de 10 ou 20 pages à la fois).⠀
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•⠀J'ai commencé ce post en pensant que je n'avais pas aimé ce livre simplement parce qu'il m'a fallu 5 j pour le terminer. J'avoue que je n'étais pas très motivée, mais simplement parce que j'avais besoin de faire plus de pauses durant ma lecture et que je ne ressentais pas le besoin d'enchaîner 300 pages en une journée. En y réfléchissant bien, j'ai apprécié ma lecture.

•⠀J'ai vu ce livre passer à de très nombreuses fois sur les réseaux, j'ai lu énormément de critiques positives à son sujet. Je m'attendais donc à mieux, pas après la lecture du résumé, mais après les nombreux avis lus sur Internet.⠀
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•⠀Promis, je ne laisse plus l'avis des autres me forger une idée d'un livre avant même de l'avoir lu
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Agréablement surprise par ce M. Levy, que j'avais délaissé depuis quelques années, quand je n'ai plus su faire la distinction entre les Musso, et les Levy, tant leurs histoires, leur style, leur écriture, étaient devenus similaires et surtout commerciales. En revanche, même si je ne les lis plus l'un et l'autre, si j'en trouve un dans une boîte à livre ou à la bibliothèque, la curiosité est toujours la plus forte. On retrouve dans ce roman le peps d'autrefois, la fraîcheur d'un style mêlant deux époques différentes, des personnages différents, à plusieurs étapes de leur vie. On y ajoute une bonne dose de rythme, et de suspence, et voilà un Levy qui se laisse lire avec plaisir, cette fois.

Je suis mitigée sur ce roman avec sans cesse des allers retours entre trois périodes ce qui est un peu pénible à la fin
ce n'est pas très cohérent à la fin et on s'y perd entre les périodes et les personnages : Il y a des petites histoires qui s'entremêlent plus ou moins

j'avais deviné qui était le père de George Harrison alors même que l'héroïne disait n'avoir rien trouvé ! C'était pourtant cousu de fil blanc à l'écriture

Bref les personnages m'ont un peu agacée

Lire un roman de Marc Lévy, c'est un peu comme ouvrir une huître en espérant y trouver une perle... J'avoue personnellement n'en trouver que rarement.
Dans La dernière des Stanfield, tout se déroule tranquillement, paisiblement. Pas de grand rebondissements, pas de surprises, une lecture facile pour l'été, sur la plage ou dans un jardin.
Alors, c'est plaisant, mais ça ne casse quand même pas des briques...

Dans ce livre, on s'y perd un peu... j'ai eu beaucoup de mal à le finir.
Le résumé était prometteur, cependant l'histoire ne m'a pas convaincu.

Depuis une autre idée du bonheur et l'horizon à l'envers , je trouve qu'il y a un clivage dans le style de l'auteur, autant j'ai dévoré et je dévore encore des livres comme la prochaine fois, sept jours pour une éternité, autant je n'accroche pas avec les nouveaux livres...

Je suis une adepte de Marc Levy, en général, mais là je ne sais pas pourquoi je n'étais pas emballé de prime abord par ce livre. La couverture ne m'inspirait pas. du coup, j'ai eu du mal à rentrer dans le livre.
Dans ce livre nous suivons Eleanor Rigby et des chapitres dans le passé où nous suivons sa mère. Cela aide à savoir qui était sa mère avec qui elle vivait, ce qu'elle faisait…
Eleanor Rigby part donc à la recherche de son passé pour savoir qui est sa mère (elle la connait mais elle se rend compte qu'il y a tout un pan de sa vie qu'elle ne connait pas), elle se rend à Baltimore là où la personne lui a donné rendez-vous. Avec ses recherches elle se rends compte qu'il y a plein de secrets de famille, ils ignoraient leurs existences jusqu'a présent. Quand je dis ils c'est elle, son frère jumeau et sa soeur.
Bref, un roman sympa mais sans plus. L'histoire ne m'a pas assez embarqué à mon goût et mets, toujours selon moi, beaucoup de temps à s'installer.
Lien : https://unbouquindanslamain...