AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,91

sur 279 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je reprends cette critique après avoir terminé la lecture du livre de Simon Liberati, et mon avis final n'a pas évolué.
Je ne sais pas si le genre bio-trash existe, mais si ce n'est pas le cas, Simon Liberati vient de l'inventer.
A la page 34 du livre, on apprend qu'elle a dit dans une interview à une journaliste: "I believe in flashy entrances", mais ce livre commence par "the most dreadful thing...". Que de pages pour décrire cet accident d'abord incompréhensible tant il parait violent, le tas de tôles froissées, puis les différentes étapes de la désincarcération: les chihuahuas survivants, les enfants survivants et leurs blessures, leurs réactions pathétiques offertes à nos regards, les détails des horribles blessures de Jayne Mansfield. Pas le moindre petit bout de cervelle ne nous est épargné.
La suite du livre est une succession de flashs présentant différents moments de la vie de cette pin-up de 34 ans, ses frasques, ses liens avec l'alcool, les drogues, ses chiens et ses amants. J'ai survolé plus que lu plus de la moitié du roman, tellement cette approche me dérangeait. On croirait lire les pages de magazines à sensation. C'est à cela que j'assimile ce livre : un tabloïd format roman
Commenter  J’apprécie          60
Ma critique est probablement sévère sachant que je n'ai pas fini ce livre, mais que je l'ai abandonné à la moitié...

J'avoue avoir été surpris par l'écart entre le contenu et les critiques.

Le livre est très clinique et ne fait pas du tout revivre ni une époque ni une actrice, mais se borne à raconter des faits - peut être est-ce le désir de l'auteur d'être très factuel, mais j'imaginez une oeuvre plus romancée, qui nous apprendrait plus sur Jane Mansfield. Peut être la deuxième partie du livre me surprendrait positivement, mais je n'ai pas eu le courage. Et ce n'est pas dans mes habitudes de ne pas finir un roman - d'ailleurs je n'ai pas le souvenir d'un autre livre non fini...

A priori, ce livre n'était pas fait pour moi.
Commenter  J’apprécie          50
Arrivée à Hollywood à 23 ans, Jane Mansfield était décidée à devenir une star, une icône telle Marilyn qu'elle se voyait déjà détrôner. Mais une dizaine d'années plus tard, son ascension s'arrêtait brusquement sur une route de Louisiane. Sa Buick allait s'encastrer violemment sous un semi-remorque.
Cette sortie de route fait l'ouverture de ce court récit de 200 pages. Minutieusement, l'auteur nous raconte l'accident pendant plus de 50 pages. Cinquante pages d'un ennui mortel.

J'espérais découvrir cette comète du showbiz, présentée souvent comme une mégalomane prête à tout pour réussir, en lisant ce récit mais je n'ai finalement rien appris ou presque de la vie de cette jeune femme blonde qu'il surnomme « le diplodocus des années dumb blonde »
Ce livre n'est pas un roman, pas vraiment une autobiographie et n'apporte pas grand-chose. Bien qu'il ait reçu le prix Femina 2011, j'ai trouvé cette lecture décevante aussi bien par la forme que par le fond.
Commenter  J’apprécie          50
J'aurais tendance à penser après la lecture du dernier prix Femina, Jayne Mansfield 1967, que décidemment obtenir un prix littéraire quel qu'il soit ne signifie pas grand chose...tant la rapidité avec laquelle j'ai lu ce livre (moins de deux heures pour quelques 200 pages) renvoie au roman de plage, et que dire par ailleurs du style, très "blogueur" de l'auteur? qui n'hésite pas à accumuler citations et autres entrefilets de journaux, fanzines ou torche-culs à scandales... Jayne Mansfield dont le QI avoisinait les 160 et n'avait d'égal que la profondeur de son décolleté aurait sans doute mérité mieux...bien sur, écrire un roman à succès sur une star hollywoodienne l'année où l'on fête les 50 ans de la disparition de l'autre blonde indétrônable, Marilyn, avatar outrancier de Jayne, relève de l'exploit...Simon Liberati n'a pas hésité...et ce qui est étonnant c'est qu'il parvient à produire un ouvrage qui n'est ni un roman, ni une biographie, ni même un essai, juste un récit parfois désordonné des derniers instants de la star déchue. Les 60 premières pages ne nous épargnent aucun détails macabres sur l'accident et la découverte des corps, s'en suit une sorte de réflexion nauséeuse sur les quelques heures qui ont précédées le drame...l'addiction de Jayne au LSD , sa passion dévorante et ridicule pour les chihuahuas, son égotisme démesuré, sa cupidité exacerbée, l'alcoolisme et la violence de son compagnon...autant de choses qui font tomber la starlette du piédestal où elle ne s'est sans doute jamais hissé...las, cette lecture m'aura au moins permis d'affirmer mon abjection pour les trainages dans la boue réglementaires et le voyeurisme à deux balles des descriptions de cadavres sanguinolents…n'oublions pas que le but apparent du livre est de convaincre le lecteur que Mansfield n'a pas été décapitée dans l'accident mais bien scalpée…pffffff

"Elle portait une robe noire, déchirée sur les côtés...ou plutôt ouverte en bouche de tragédie"

Lien : http://humeurs.centerblog.ne..
Commenter  J’apprécie          40
Très joli couverture, pour un livre roman bio ou je ne sais quoi, d'un style décevant proche des revues posées sur la table basse chez mon coiffeur. Des pages et des pages de descriptions malsaines proches du voyeurisme sur la scène de l'accident de Jane Mansfield. Un ramassis d'anecdotes sans intérêt s sur l'entourage hollywoodien, dont on se fiche royalement. le lien ce cette actrice avec un gourou sataniste, lequel était en lien avec Manson gourou lui-même d'une secte qui assassinera Sharon Tate. Pourquoi ce livre a été encensé ? Quel plaisir trouve-t-on d'écrire sur une personne que l'on considère comme peu ragoutante, et parler de Manson sujet privilégié de l'auteur, à croire que la fascination de « cet écrivain « que pour le glauque, le sordide. Rien chez lui n'a trouvé de beauté, chez la starlette, aucune indulgence, aucune empathie.
Commenter  J’apprécie          20
Ce roman nous raconte l'enquête de l'accident de Jayne Mansfield 1967.
Simon Liberati a une écriture simple et facile à lire. le problème est que le lecteur se perd dans les années, dans une forme de brouillage temporelle. L'histoire est décousue et n'a aucun intérêt sauf pour les admirateurs de Jayne Mansfield.
Commenter  J’apprécie          20
Prix Femina 2011, ce livre de Simon Liberati m'est tombé des mains... Impossible de le terminer, plus de 80 pages sur la description de l'accident (et encore, pas toujours facile de s'y retrouver...), c'est répulsif... Peut-être la fin était-elle meilleure, j'avoue que je l'ignore...
Bref, un mauvais souvenir de lecture...
Commenter  J’apprécie          20
C'est clairement mauvais. le style est froid, distancié, presque documentaire. Peu d'interactions entre les personnages, aucune psychologie exploitée. Que du factuel! le personnage principal lui-même, à savoir Jayne Mnasfield, semble absent de ce récit. On n'apprend rien d'elle...
Par contre nous avons tous les détails de son accident qui lui coûte la vie, et une longue enquête sur pourquoi elle fût refusée à une cérémonie à San Francisco. Sans parler de sa relation perverse avec un avocat, et ses liens étranges avec un gourou satanique...! Une bimbo sans intérêt finalement...
Un prix Femina? Ca, je n'en reviens pas. Mesdames, étiez-vous sous LSD vous aussi?
Commenter  J’apprécie          10
pas fini...
Commenter  J’apprécie          10
J'aurais tendance à penser après la lecture du dernier prix Femina, Jayne Mansfield 1967, que décidemment obtenir un prix littéraire quel qu'il soit ne signifie pas grand chose...tant la rapidité avec laquelle j'ai lu ce livre (moins de deux heures pour quelques 200 pages) renvoie au roman de plage, et que dire par ailleurs du style, très "blogueur" de l'auteur? qui n'hésite pas à accumuler citations et autres entrefilets de journaux, fanzines ou torche-culs à scandales... Jayne Mansfield dont le QI avoisinait les 160 et n'avait d'égal que la profondeur de son décolleté aurait sans doute mérité mieux...bien sur, écrire un roman à succès sur une star hollywoodienne l'année où l'on fête les 50 ans de la disparition de l'autre blonde indétrônable, Marilyn, avatar outrancier de Jayne, relève de l'exploit...Simon Liberati n'a pas hésité...et ce qui est étonnant c'est qu'il parvient à produire un ouvrage qui n'est ni un roman, ni une biographie, ni même un essai, juste un récit parfois désordonné des derniers instants de la star déchue. Les 60 premières pages ne nous épargnent aucun détails macabres sur l'accident et la découverte des corps, s'en suit une sorte de réflexion nauséeuse sur les quelques heures qui ont précédées le drame...l'addiction de Jayne au LSD , sa passion dévorante et ridicule pour les chihuahuas, son égotisme démesuré, sa cupidité exacerbée, l'alcoolisme et la violence de son compagnon...autant de choses qui font tomber la starlette du piédestal où elle ne s'est sans doute jamais hissé...las, cette lecture m'aura au moins permis d'affirmer mon abjection pour les trainages dans la boue réglementaires et le voyeurisme à deux balles des descriptions de cadavres sanguinolents…n'oublions pas que le but apparent du livre est de convaincre le lecteur que Mansfield n'a pas été décapitée dans l'accident mais bien scalpée…pffffff

"Elle portait une robe noire, déchirée sur les côtés...ou plutôt ouverte en bouche de tragédie"

Lien : http://humeurs.centerblog.ne..
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (488) Voir plus



Quiz Voir plus

Performance (Simon Liberati)

Sur quel groupe porte le scénario qu’écrit le narrateur pour une série télévisuelle ?

Les Moody Blues
Les New Seekers
Les Pretty Things
Les Rolling Stones

13 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : Performance de Créer un quiz sur ce livre

{* *}