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sur 279 notes
Sentiments partagés à la lecture du livre de Simon Liberati. Un roman qui démarre pourtant de belle manière. le récit du dramatique accident qui coutera la vie à la célèbre bimbo des années soixante vaut vraiment le détour. C'est à mon avis pour ces pages que le livre mérite l'attention. Et puis bizarrement, comme si Liberati avait lui aussi perdu le contrôle, son biopic devient tout à coup bien moins intéressant. le choix de narrer les derniers mois de Mansfield, d'une façon froide, clinique m'ont fait décrocher de nombreuses fois. Liberati fait le choix d'anecdotes (pas toujours intéressantes) au détriment d'un portrait plus fouillé de cette femme au QI exceptionnel, addictive à l'alcool, à la drogue, au sexe, étrangement attiré par le satanisme, et qui sera rejeté par le tout Hollywood après de nombreuses frasques et d'autant de navets cinématographiques.
Un livre bien oubliable, pourtant Prix Fémina 2011 !, que j'ai refermé déçu et frustré.

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Surprenant, déroutant... pas une biographie, pas un essai, pas un roman.
Comment définir cet ouvrage? Une longue, longue réflexion de Simon Liberati sur quelques bribes de la fin de vie de Jayne Mansfield.

Mais trop longue la réflexion. Où veux-tu en venir Simon?
Et récompensé par le Prix Fémina de surcroît? C est à ce moment qu'il faut baisser la tête et être humble, faire confiance aux professionnels et admettre qu'il y a probablement un truc qui vous a échappé.
Car la lectrice amateure que je suis n'a vu qu'un style pompeux et insipide, une écriture grossière, embarrassée et un rien prétentieuse. Et les faits relatés semblent davantage voyeuristes et spécieux qu'apporter une réelle plus-value à ladite réflexion.
Mais prix Fémina. Donc je dois me tromper.

Liberati crie haut et fort être fasciné par Jayne Mansfield depuis toujours. Je le crois. Car écrire 200 pages sur un personnage qui vous indiffère me paraît hasardeux. Je le crois d'autant plus qu'il semble sérieusement documenté sur le sujet. Du moins en apparence, car difficile de discerner le réel de l'imaginaire: faute de témoins sur certaines scènes, les échanges sortis tout droit du cerveau liberatien semblent surjoués à la limite du grotesque.
Donc fasciné comment? Je pensais naïvement qu'il lui rendrait un bel hommage, redorerait une image ternie. Qu'on découvrirait autre chose que ce que l'on connaît déjà, à savoir une pin-up péroxydée embrigadée dans un american star system impitoyable et tragiquement disparue dans un spectaculaire accident de la route.
Mais raté. Rien de plus. Et elle est même plutôt taillée pour l'hiver là. Allez, même pour l'année va, ne soyons pas rat.

L'oeuvre rappelle en continu l'actrice ratée qu'était Jayne Mansfield, surfant de navets en navets vers une descente en enfers somme toute prévisible. Bouffés par l'alcool, le LSD et autres psychotropes, le corps et le cerveau ne suivent plus. On rajoute des amants à la pelle et pas un qui reste, une image de blondasse idiote et sans cervelle et le tour est joué. Mélange de Nabilla et Eve Angeli. En fin de carrière, la trentaine passée et cinq grossesses, le corps ne fait donc plus recette. Et le cerveau au QI pourtant phénoménal qui en ferait pâlir plus d'un n'a jamais intéressé personne de toute façon.

Simon Liberati dépeint donc une Jayne Mansfield proche d'un monstre de foire, arriviste, prête à n'importe quoi pour encore attirer l'attention, d'une immoralité sans borne et briseuse de couples, et aux accointances douteuses et satanistes. Fasciné qu'il est.

Ah si j'ai quand même appris un truc: l'actrice, Mariska Hargitay, de New York Police Judiciaire dans le rôle d'Olivia Benson est la fille de Jayne Mansfield, rescapée du fameux accident. Me coucherai moins bête.

En définitive, j'ai plus eu l'impression de lire du Voici longue version qu'un prix littéraire. Mais je dois me tromper.
Et finalement Jayne Mansfield m'inspire de la pitié et une terrible compassion à la lecture de ce torch.. euh de ce prix Fémina.
Probablement était-ce l'objectif? Auquel cas, bravo Simon.
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Il m'aura fallut attendre les presque dernières pages de ce livre, pour comprendre pourquoi il était classé comme roman.
Simon Liberati nous livre, en effet, une biographie des derniers jours de la vie de la star déchue Jayne Mansfield.
L'auteur nous raconte le tragique accident qui lui couta la vie ainsi qu'à son amant et son chauffeur (sans oublier deux de ses chihuahuas chéris) et qui épargna heureusement et miraculeusement ses enfants.
Puis, dans un flashback, les derniers mois et la déchéance de l'actrice célèbres pour sa poitrine et ses nombreuses perruques, que les abus d'alcool, de drogue et de sexe auront entrainée à sa perte.
Bannie par ses pairs, ses frasques la verront même expulsée d'un festival. Obligée de se produire dans des bars pour gagner sa vie, flirtant avec le satanisme,sa disparition en fera un mythe.
Dans ce petit livre Simon Libérati nous livre cette triste fin et quand les témoins manquent, l'imagination de l'auteur complète parfaitement son récit.
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Impression de brouillon. Je ne comprends pas bien où veut en venir Simon Liberati. le livre n'est pas nul, loin de là, mais, comme aurait dit ma prof de philo, il me semble raté. Ce qui n'a rien à voir avec nul, juste, il y a une idée, intéressante, mais c'est raté. Enfin, je crois. Ou alors il me manque des éléments pour tout saisir.
La structure est assez claire :
-L'accident : 50 pages de description clinique, qui forment un ensemble baroque en réalité très maîtrisé, nous amenant peu à peu au corps détruit de Jayne Mansfield. Détruit à la tête, au front, ayant percuté de plein fouet la barre arrière d'un camion...La perruque a volé, d'autres perruques jonchent le sol. Il y a là quelque chose, c'est une artiste de performance qui nous est montré, plus qu'une actrice. Une metteuse en scène d'elle-même dans son dernier show. A ses côté, le corps de son amant maudit, Sam Brody. Les trois enfants, Dieu soit loués, sains et saufs à l'arrière.
Ensuite, flash back.
20 octobre 1966, Jayne Mansfield vient sans invitation au festival international du film de San Fransisco. Il y a là Roman Polanski...(annonce de California Girls ? ). Jayne se fait éjecter pour tenue indécente. Son corps est à nouveau décrit. Une robe, deux bouts de tissus noirs lacés sur des courbes immenses, une perruque blonde-blanche. le visage bouffi (moi, ça me frappe pas trop sur les photos, je la trouve splendide...)par l'alcool et la drogue. Simon Liberati dit que ce moment signe la fin de l'âge d'or hollywoodien. Là, il me manque des connaissances historiques.
19 octobre 1966, la veille, Jayne rencontre, avec son amant, un sataniste. Allusion à Susan Atkins et Charles Manson, qui le connaissent (deuxième lien avec California Girls) Je n'ai pas non plus compris à quoi cela rimait. Il n'est pas vraiment question de déchéance, plutôt de malédiction que le gourou aurait lancé sur l'amant de Jayne, Sam. Epais mystère.
-Les extraits de journaux ayant suivi le festival de San Fransisco, tous découpés et rassemblés par Mansfield. L'idée, c'est qu'elle fait de sa vie une oeuvre, par l'intermédiaire des médias. Elle ressemble alors à Loana, à Kim Kardashian. Mais il n'y a toujours pas d'idée majeure de déchéance ou de tragédie. Jayne maîtrise son destin. Elle essaie de jouer avec le système, d'en tirer un profit maximum, tout en étant une artiste "l'artiste qui se fait appeler Jayne Mansfield". Cela rappelle "l'actrice blonde", de Joyce Carol Oates, pour désigner Marilyn Monroe, elle aussi une pure création de Norma Jean Baker. Réflexion intéressante.
Puis retour au soir du drame, le show minable et la route vers la Nouvelle Orléans, et l'accident, dû à la vitesse excessive du chauffeur, sans doute sous influence de l'amant. La boucle est bouclée.
On retrouve ici des thèmes abordés dans California Girls, un attrait pour les années 60 aux USA, la face ténébreuses de la Californie, sa culture underground, ses monstres. Jayne Mansfield est une sorte de monstre, un système monstrueux tente de la broyer sans véritablement y parvenir. Avec elle, visiblement, ce système meurt (celui des grand studios tout puissants). Mais pourquoi ce lien, c'est ce que je n'ai pas compris. Ainsi que l'intervention de l'occulte, des satanistes, et la relation avec Sam Brody. Liberati ne dit rien clairement. Il ne dit pas vraiment que Jayne Mansfield choque le puritanisme, ou si peu, il ne dit pas vraiment que Jayne se noie, ou pas, en fait, il ne dit pas grand chose sur elle, il ne l'explique pas (pas plus qu'il n'expliquera vraiment les filles de Manson). Ce qu'il fait exactement dans ce roman me laisse perplexe. Mais il y a quelque chose, c'est sûr.
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Avec quelle constance, quelle insensibilité malsaine « Los Angeles » broie les anges qu'elle glorifie, brûle leurs ailes sur l'autel de la renommée et après les avoir montés au pinacle, les enterre dans les affres de l'oubli !
En 1967, au moment de sa mort à 34 ans, Jayne Mansfield, dernière « movie star » de l'âge d'or du cinéma hollywoodien, était depuis longtemps déjà une « has been », tout juste bonne à alimenter la presse à scandale et à se produire dans des night-clubs de seconde zone où elle s'effeuillait devant un public de lourdauds en mal de sensations fortes.
La jolie «pin-up cheesecake » était devenue un de ces « monstres de foire » dont on se sert pour faire de la publicité, une « freak » dont les travers, le ridicule, le pathétique, la vie dissolue et la déchéance, maintenaient l'attention de médias médisants toujours à l'affût de ragots et de secrets d'alcôve.
Il faut dire qu'elle donnait volontiers dans la surenchère, agençant dans de grands cahiers, avec un « sens méticuleux du scandale et un mépris byronien pour sa réputation », tous les articles la concernant :
Relations amoureuses houleuses, abus d'alcool et de psychotropes, conduites indécentes, ennuis de justice, fréquentation de sectes satanistes…Sa fin tragique dans un accident de voiture une nuit du 29 juin 1967 est à l'image de ce que furent les dernières années de son existence, excessives, mouvementées, dramatiques.

Jayne Mansfield était pourtant un être beaucoup plus complexe et intrigant que ce personnage de bimbo qu'elle a endossé comme une seconde peau tout au long de sa vie.
Sous les perruques-poufs et les robes à paillettes, la blonde peroxydée affichait tout de même un QI de 163, parlait 5 langues, jouait du violon, possédait une « intrépidité de caractère, une impudeur joyeuse » propres au natures entières.
Mais « les époques de décadence n'aiment pas forcément les gens décadents et Hollywood redoute l'intelligence ». Les starlettes paient souvent de leur vie le prix de leur gloire éphémère…

Dans une forme d'hommage crépusculaire à l'ange déchu, Simon Liberati retrace les dernières années de la « sex blond » transformée en attraction foraine.
Caméra au poing, comme un cinéaste underground, l'auteur de « L'Hyper Justine » (Prix de Flore 2009), prend comme point de départ la collision brutale entre la Buick Electra bleu métallisé et le semi-remorque 18 roues, sur la route US 90.
Séquence serrée, zoom en contre-plongée, plein feu sur la voiture encastrée, amas de tôles et de chairs enchevêtrées dont la description crue et sauvage, d'une précision chirurgicale dans l'énumération des détails, projettent le lecteur, dès les premières lignes, dans un redoutable « scary movie » qui font de lui le spectateur-voyeur d'une scène de carnage.
Puis le champ s'élargit dans un travelling arrière, le geste s'affine, devient plus nuancé, le montage prend forme, l'auteur remonte le temps et fait jaillir en plans-séquences le portrait sans fard d'une reine en fin de règne : la passion amoureuse, destructrice, délétère avec Sam Brody - un avocat ayant abandonné pour elle femme, enfants et carrière - les membres, comme celui d'un ocelot, mouchetés d'hématomes sous les coups répétés de cet amant violent, les relations avec le fondateur de « L'Eglise de Satan », les représentations minables dans des endroits glauques, les expulsions des festivals, les problèmes de justice avec les ex-maris, avec les enfants…et puis le corps grossi et boudiné dans des robes trop moulantes, le visage ravagé par les psychotropes, la chair devenue flasque…la chute, la chute, la chute…
Simon Liberati n'a que faire de linéarité. Son tableau, fragmenté, éclaté, découpé en plans serrés, juxtaposé au drame de l'accident et comme en surimpression, révèle aussi la fin d'une époque, celui de l'âge d'or du cinéma hollywoodien dans lequel Jayne Mansfield joue le rôle de la victime expiatoire.

Alors faut-il être un peu voyeur pour apprécier une telle oeuvre ? Peut-être un peu…peut-être pas…car en écrivant sur « le dernier des diplodocus de la période Dumb Blonde du cinéma des années 50 », avec ce ton à la fois désabusé et poétique, cette nonchalance désenchantée, ce flegme faussement détaché, Simon Liberati a su magnifiquement donner à cette actrice en mal de reconnaissance son plus beau rôle, le rôle tragique qu'elle rêvait d'interpréter lorsqu'elle déclamait pour elle-même des sonnets de Shakespeare sous le ciel violacé de Sunset Beach.

Avec la collection « ceci n'est pas un fait divers » où les auteurs écrivent de manière romancée sur les faits divers qui les ont marqués, les éditions Grasset offrent encore une fois un très beau livre.
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La description glaçante et écoeurante de l'accident fatal, puis le déroulement des derniers mois d'une Jayne Mansfield plus pathétique que glamour ne m'ont pas emballée. Avec ça, une chronologie parfois un peu confuse et quelques phrases obscures dans une écriture qui ne manque pourtant pas de talent, me font noter cette lecture en dessous de la moyenne.
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Et dire que je me faisais une joie de lire ce livre, j'aurais du me méfier des critiques professionnelles si élogieuse un peu plus de 200 pages pour un livre qui se veut évoquer la vie de cette actrice des années 50 et d'après la quatrième de couverture « ressusciter Jayne Mansfield» (pour ressusciter on a déjà fait mieux) ça semble assez bref... Bref et pourtant j'ai trouvé ce livre incroyablement long et ennuyeux au possible.
Sur les 200 pages, le premier quart est entièrement consacré à nous décrire minutieusement l'accident de voiture qui lui coutât la vie, les quelques minutes précédant la collision, l'arrivée des premiers témoins, des premières voitures de secours.
Tenir 50 pages en ne parlant uniquement de l'instant de l'accident, c'est long alors tout y passe, du petit chien survivant couvert de sang errant sur la chaussée, aux enfants de Jayne Mansfield, de leurs blessures des jouets récupérés dans la carcasse de la voiture par les secours qui les leur redonne, espérants ainsi les distraire, en passant par les corps encastrés certaines des images qu' il évoque alors sont d'un goût assez moyens; certaines scènes et descriptions nous sont d'ailleurs resservit plusieurs fois.
J'avais espéré que la suite raviverait mon intérêt, que nenni ! Jayne Mansfield n' y est évoqué que par petite touche, avec une certaine fascination dans l'écriture, les pages restantes étant consacré uniquement à sa consommation de drogue, d'alcool, aux dérives que cela inspire dans le comportement de cette femme.

C'est rare que je m'ennuie à ce point en lisant un livre, heureusement qu' il était assez court autrement je l'aurais abandonné sans aucun regret.
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Toutes les télés ont parlé de ce livre, et pourtant j'ai l'intime conviction que certains chroniqueurs ne l'ont pas lu, s'attardant sur des anecdoctes qui ne font pas l'essence du livre. L'essence c'est l'écriture, métallique, photographique, presque dérangante tant elle est descriptive tel un rapport de police, sur l'accident de voiture,notamment.
Jayne Mansfield, mauvaise actrice, pin up grotesque, abimée par la drogue, s'exhibant dans des clubs miteux, trimballant sa tribu, chiens, enfants, amants glauques, dans un décor qu'elle veut rose bonbon. Simon Liberati la passe aux rayons x, en fait un animal de laboratoire sous son écriture aussi froide qu'une table de dissection.
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Enquête pointilleuse, sobre, d'où se dégage peu à peu le portrait d'une femme névrotique, défoncée, mère à 34 ans de 5 jeunes enfants, de 4 chihuahuas, peluches/doudous vivantes en turn over entre ses seins, de peluches/jouets qu'elle transportait partout, à l'intelligence supérieure qu'elle utilisa comme moyen d'oubli instantané, actrice ratée se consolant de ses échecs artistiques en repoussant les limites outrancières de l'incarnation de la dump-blonde des années 50... morte non pas décapitée (confusion due à une de ses multiples perruques collées sur le pare-brise de la voiture) mais broyée au cours d'un accident nocturne après un numéro de strip-tease dans un bar miteux de Louisiane. Seuls les enfants survécurent au drame qui coûta la vie à deux autres adultes.
Simon Liberati nous entraîne dans un récit étrange, avec une pointe de fascination morbide (pour lui comme pour le lecteur), mais aussi d'une extrême élégance. La femme qu'il a choisi de "réhabiliter" dans une probable vérité plus complexe que sa légende, n'est ni magnifiée, ni statufiée, ni bizarrement humaine. Elle semble physiquement et psychiquement incarner une sorte de monstre de cirque assumé, revendiqué, une créature pleine de vie, frénétiquement sexuelle, colérique, apaisée seulement par la présence de ses enfants et ses chiens.
Devant ce portrait et celui en filigrane d'un Hollywood moribond, mon émotion a été plus proche d'une légère nausée que de la tristesse.
Pourtant, même si les dernières lignes insistent sur le caractère définitivement dérisoire de l'image qui perdure de Jayne Mansfield, j'ai été touchée par cette femme victime d'elle-même comme de ceux et celles qui la regardaient. Jayne était affamée de célébrité, et comblait le vide qu'elle ressentait par l'accumulation d'albums où elle collait et triait absolument tous les articles, reportages ou ragots abjects, la concernant. Des centaines d'albums, dont le dernier fut retrouvé dans la voiture accidentée, des albums qu'elle feuilletait sans cesse pour se persuader d'être vivante.
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Ce livre nous retrace avec beaucoup de détails l'accident qui a entraîné la mort de la pulpeuse Jayne Mansfield.
En arrière plan, il nous laisse deviner la descente aux enfers de cette femme , extrêmement intelligente massacrée par le star-système de Hollywood.
Elle avait une telle force de caractère qu'elle se moquait totalement du système qui la rejeta en raison des scandales qu'elle provoqua et de ses amours sulfureuses.
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