Famille de menteurs

Alors qu'est ce que j'ai pensé de ce livre ? Hmm ce que j'ai bien aimé c'est que l'on retrouve la même vibe que dans nous les menteurs, les événements se passent durant un été avec le point de vu de Carrie l'une des mères que l'on rencontre dans le livre précédent. On a cette même ambiance, amusant mais avec une certaines tensions qui est posé dès le début avec l'annonce d'un événement assez inattendu.

On retrouve de nouveau ce besoin d'être un modèle, de se montrer sous son meilleur jour, de toujours sourire, sauf que cela contraste avec la pensée de Carrie qui se sent complètement à l'opposé de cet état d'esprit. Sentiment de ne pas être assez, de ne pas compter, de ne pas être aimé par ses soeurs, l'incompréhension face à l'intérêt des garçons pour ces soeurs et non elle, en bref plusieurs éléments qui font la faire douter sur qui elle est, et sa confiance en elle.

Cependant malgré les nombreux dramas que l'on découvre je n'ai pas trouvé ce livre aussi fort que le premier, peut que en raison de la fin de nous les menteurs qui était vraiment un choque ou bien le fait que ce soit en anglais et que je n'ai pas pu autant profiter de cette expérience de lecture que prévu.

Malgré tout ça a été une super histoire que je vous recommande si vous avez aimé nous les menteurs, actuellement il n'est pas encore sorti en français mais l'anglais n'y est pas si compliqué que ça et l'histoire reste assez courte (et le prix est pas si élevé 10€ c'est pas mal)

Un très bon livre dans le même esprit que le tout premier écrit par l'auteur et qui faisait découvrir au lecteur la famille Sinclair, ses frasques, ses mensonges et ses non-dits. Dans ce nouvel opus, l'auteur se focalise sur les déboires de Caroline adolescente, l'aînée des soeurs Sinclair qui, à la suite d'une opération à la mâchoire, se retrouve accro aux médicaments et passe son été entre addictions, amours naissantes et vagues de désespoir.

L'intrigue est prenante, les pages se tournent facilement et le lecteur est emporté au large de l'île privée de la famille Sinclair pour un dépaysement total. Entre jalousies, sororité malsaine, secrets bien cachés et découvertes atroces, saupoudrés d'une touche de meurtre, le lecteur comprend que tout ne tourne pas rond dans cette famille qui se veut comme les autres et qui cache ses vices du regard d'autrui comme les autres.

🧐 J'avais adoré Nous, les menteurs de E. Lockhart, je me suis donc tout naturellement laissée tenter par son prequel.
💬 L'histoire se déroule sur la même île, une trentaine d'années plus tôt. On y rencontre la génération précédente, les 3 filles Sinclair qui passent l'été sur l'île, avec leur cousine et des amis.
💬 On retrouve les ingrédients du précédent : île privée, luxe, ados, histoires d'amour ….
💬 Les pages défilent et la lecture est facile mais on a moins cette tension de Nous, les menteurs car finalement, on suit l'histoire mais le secret n'arrive qu'à la fin. Il n'y a donc pas cette révélation qui donne envie de reprendre le roman du début et a fait le succès du premier
👉🏻 Un roman qui se lit très bien mais sans l'originalité du précédent.
À proposer à partir de 13 ans.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..

Je ne l'ai clairement pas autant apprécié que le premier... Peut-être parce que j'en attendais beaucoup après avoir lu le premier ? Peut-être parce que l'histoire était pas aussi intriguante au début ? Les 150 premières pages m'ont parues être une éternité... Mais quand le secret est arrivé... Ça n'a pas arrêté d'être intriguant ! Ce livre mérite d'être lu mais "nous les menteurs" est de loin beaucoup plus touchant et intense à mon goût !

J'avais entendu il y a 2mois que Famille de menteurs allait sortir. J'avais beaucoup aimé Nous les menteurs alors j'attendais Famille de menteurs avec impatience.

À l'intérieur du livre, on retrouve un arbre généalogique (très pratique ;)) et une carte de l'île Beechwood Island. Je trouve ça vraiment bien de les avoir mis.

Ce roman parle à nouveau des Sinclair, cette famille parfaite, en tout cas, vu de l'extérieur. L'histoire est raconté par Carrie, la mère de Johnny (et Will).
On la suit lors de son dix-septième été avec sa famille et trois garçons (retenez les bien, ils seront importants mais je ne peux pas vous dire pourquoi !).

Avant tout, il faut savoir qu'il faut avoir lu Nous les menteurs avant Famille de menteurs car dès le début on « spoil » la fin. Ce n'est pas important que vous ne vous souveniez pas exactement de l'histoire. Je l'avais lu il y a plus d'un an et je n'ai eu aucun « problème ».

Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, ni à l'histoire sauf sur les 50 dernières pages… L'histoire se déroule sur la même mécanique que Nous les menteurs.
C'est-à-dire, une vie heureuse (en apparence), des étés sur l'île, des garçons, un événement choquant dont on ne parle qu'à la fin et des « regrets »…
Je comprends que pour être dans la continuité, l'écriture doit être semblable mais elle l'était presque « trop ». A mes yeux, même la fin était trop ressemblantes à Nous les menteurs.

Je n'ai pas trouvé cet préquel utile, dans le sens où elle ne sert à rien pour la suite. Je pense que j'aurais plus apprécié si c'était une histoire totalement détachée.

Pour conclure, Famille de menteur est un livre qui se lit facilement mais sans plus. Je suis un peu mitigée ou alors mes attentes étaient trop élevées par rapport à Nous les menteurs…

J'avais tellement aimé "Nous les menteurs" que j'étais très curieuse de lire ce préquel. J'avoue être un peu mitigée et un peu déçue. Comme je m'y attendais un peu, cette histoire m'a donné l'impression d'un remake, d'une redite, rien de très surprenant. Alors évidemment quand on a lu le précédent, on connait le style de l'autrice autant au niveau de la forme que du fond donc on a pas le même élément de surprise. Mais "Nous les menteurs" avait été une vrai claque, un choc assez violent que j'ai trouvé cette histoire plus fade finalement. Cependant, l'autrice est assez forte, tout n'est pas cousu de fil blanc dès le début, j'ai été surprise quand même. La psychologie des personnages est bien décrites, l'atmosphère est bien pesante. Bref je n'ai pas été aussi impressionnée que pour le premier.

Famille de menteurs faisait partie de ma PAL de l'été et j'étais très impatiente de découvrir le préquel de Nous les menteurs. Ce préquel permet de creuser davantage dans l'histoire de la famille Sinclair et s'intéresse à la génération précédente. Petit rappel : si vous souhaitez lire ces deux romans, il est préférable de commencer par Nous les menteurs car Famille de Menteurs spoile un élément important de son intrigue. Mais vous pouvez très bien lire seulement l'un ou l'autre, puisque ce sont deux intrigues distinctes.

Il s'agit ici d'un drame familial, comme l'était Nous les menteurs. L'autrice nous invite sur Beechwood Island pour vivre un été en particulier. C'est Carrie, qui raconte à son fils Johnny, l'été de ses dix-sept ans. Comme chaque année, tous les ingrédients étaient réunis pour passer un bel été : l'île privée, la mer, le sable fin, les jeux, la bonne cuisine, des invités, des garçons. Mais sur cette île, il y a aussi le deuil, les secrets, et des émotions qu'on garde pour soi. Parce que la famille Sinclair est une famille lisse, fière, qui ne doit rien laisser paraître pour protéger sa réputation.

J'ai aimé cet autre portrait de la famille. Portrait craquelé mais résistant. On découvre peu à peu comment les membres de cette famille aisée vivent les drames et les épreuves ainsi que les répercussions psychologiques. On s'intéresse davantage à Carrie, la narratrice, hantée par les mensonges alors qu'elle n'aurait dû connaître que l'insouciance cet été-là. Malgré un rythme lent, je me suis laissée emportée par les non-dits, les personnages réalistes, et l'atmosphère qui s'alourdit au fil des pages.

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Famille de menteursE. Lockhart
Gallimard jeunesse


Et si finalement le mal avait pris racines quelques décennies plus tôt.
Annoncé comme le préquel du précédent, cet opus peut néanmoins se lire indépendamment sauf qu'il vous révélera l'intrigue principale du premier !
Caroline Sinclair dite Carrie revient sur son été 17. Cette année-là, l'été à Beechwood est pesant car entaché par la perte de Rosemary, la plus jeune des soeurs Sinclair s'est noyée accidentellement l'année précédente. Si la douleur reste vive, personne n'aborde le sujet, chez les Sinclair les apparences priment sur tout le reste. Mais ce n'est pas le seul secret que cache l'honorable famille.
Chez les Sinclair, on s'épie, on fouille, on sait tout, toujours mais on ne parle que si la réputation de la famille est menacée.
Carrie, Penny et Bess les jolies filles blondes, sportives à la mâchoire carrée vont être mises à l'épreuve : premier amour, trahison, argent sale, manipulation et dissimulation.
Comme dans le roman précédent, l'intérêt réside dans le fil de la narration et l'angle adopté par la narratrice, le personnage de Carrie apparait bien plus complexe qu'il n'est.
L'été sera brulant à Beechwood et les graines du mensonge bien semées !

A qui le tour ?

Je garde un excellent souvenir de Nous les menteurs, que j'avais dévoré à sa sortie. J'étais donc très heureuse de découvrir ce prequel et de me replonger dans les histoires familiales des Sinclair !
Attention, si Famille de menteurs peut se lire sans avoir lu le premier (ce qu'à fait Sarah 1), il contient de gros spoilers dès les premières pages qui évoquent la fin de Nous les menteurs.

Le roman nous ramène sur l'île privée des Sinclair et nous plonge au coeur des histoires des trois filles de la famille, Carrie, Penny et Bess. C'est la première, l'aînée, qui se fait narratrice du récit pour raconter à son fils l'été de ses 17 ans, un an après la tragique disparition de la petite dernière Rosemary, qui s'est noyée sur l'île.
On est donc plongé dans une ambiance estivale ; on est sur l'île avec les personnages, le temps d'un été où l'on suit des instants volés de dynamiques un peu bancales, on sent les vagues, la chaleur, l'atmosphère fermée de cet espace en huis clos. C'est étouffant tout en étant très léger - une parfaite représentation de la saison.
L'intrigue en elle-même se met lentement en place, mais on se laisse entraîner par ces histoires d'adolescents, les premières découvertes et les premiers émois, les mensonges, les fantômes et les conflits. On ne sait pas trop où ça va aller, ça met d'ailleurs un peu de temps avant d'aller quelque part et d'atteindre le point culminant.
Les personnages sont plutôt détestables, ils ont chacun de gros défauts et c'est le propre même de la famille et de leurs relations. J'ai apprécié cet aspect, parce que j'aime les histoires familiales à problèmes et les groupes d'adolescents terribles, mais ça ne l'a pas du tout fait pour Sarah 1 qui les a tous trouvés insupportables.

J'ai sans doute préféré l'intrigue de Nous les menteurs, mais ce roman a tous les ingrédients pour un bon livre d'été !
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Famille de menteurs
Auteur : E Lockhart
Edition :

Résumé : Après le drame dans Nous les menteurs on retrouve de nouveau la famille Sinclair sur son ile privée. Et tandis que Carrie parle au fantôme de son fils on découvre la genèse d'une histoire familiale plus sombre qu'il n'y paraît…

:)

Six ans après avoir quitté les Sinclair nous voilà de retour sur l'île privée familiale. Carrie, un verre à la main, discute avec son fils décédé et revient sur l'été qui bouleversa sa vie des décennies plus tôt. Une plongée dans laquelle l'écriture incroyablement fluide de l'auteur nous embarque sans difficulté.

C'est une des qualités principales de ce roman : l'écriture est vraiment très belle, la plume se lit sans difficultés et on ne saurait s'arrêter avant la fin. Ce qui est suffisamment rare pour le notifier dans le cas d'une traduction.

On retrouve des principes qui ont fonctionné dans le tome original : les fantômes, les retournements de situation etc … Sans adopter le même secret que précédemment et c'est touchant et bien pensé.
Mais le véritable point fort ce sont les personnages. le cercle est bien plus réduit que dans l'histoire principal et cela rend l'identification beaucoup plus aisé. On rentre dans l'intimité et le ressenti de chacun des personnages par le biais de Carrie et de son interprétation tantôt touchante tantôt biaisée tantôt enfumée par les médicaments. Les sentiments et sensations sont très présents et plus intéressants parfois que l'histoire en elle-même. C'est le quotidien d'une famille déchirée et recousue à vif qui nous est dépeint au fil des pages. J'ai été touché par la violence des propos sur la nécessité quasiment génétique des enfants à s'intégrer autant physiquement que psychiquement dans le moule des parents et des conséquences que cela implique. On voit l'évolution des soeurs Sinclair mais aussi d'une certaine manière leur déchéance et c'est vraiment prenant tant cela paraît inéluctable. On retrouve la maitrise de Lockhart concernant le thriller, le suspens et les ambiances en demie teinte..

Le décor de rêve et l'atmosphère estival sont prenantes et nous dépayse totalement. Il est aussi question de sujets plus légers : comme la découverte de soi, les premiers amours, la sororité, la chasse aux citrons, la vie d'une famille aisée le temps d'un été.

En tant que lecteur on ne parvient pas à anticiper les évènements avant d'être mis devant le fait accompli et c'est très agréable. J'ai particulièrement été touchée par l'épisode de la planche et le personnage du père qui se révèle être l'un des piliers du roman.

:(

Je ne vais pas mentir c'est un excellent roman néanmoins je ne l'ai pas trouvé à la hauteur de Nous les menteurs. Dans l'histoire originale on était mené par le bout du nez jusqu'à la fin qui nous déchirait les tripes. Ici on s'attend à quelque chose qui finalement ne viendra jamais la tension étant plus dans les propos et la longueur que dans l'achèvement.
Il n'est jamais fait mention des évènements de l'histoire principale bien que la narration de ce préquel se déroule après ces derniers. J'ai trouvé cela assez dommage dans la mesure où c'est un roman sorti il y a plus de dix ans et que cela aurait pu être intéressant d'avoir une page de garde relatant sommairement les évènements antérieurs. Cela permettrait à un lecteur qui n'a jamais lu Nous les menteurs de lire ce roman indépendamment. Car les références sont si peu nombreuses que l'on peut sans soucis comprendre l'histoire telle quelle.

Je n'ai pas non plus particulièrement accroché avec le côté très romance adolescence et ses tourments de je t'aime moi - non plus - en plus tu préfères ma soeur qui est plus belle que moi- ce sont tous des c**. Que j'ai trouvé très puéril en comparaison du reste du roman.

En somme c'est vraiment une pépite de la littérature jeunesse / jeune adulte / suspens mais ce n'est pas un exceptionnel préquel au roman initial.