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3,88

sur 205 notes
Pour ceux qui ont lu l'excellent « Nous, les menteurs », voici la suite très attendue, ou plutôt le préquel, « Famille de menteurs ». Dans ce nouveau roman, E. Lockhart revient nous parler de la famille Sinclair, cette famille si parfaite en apparence : chez les Sinclair, on est tous beaux, sportifs, blonds. Tous ont un caractère affirmé, tous sont sûrs d'eux, à l'aise financièrement, tous sont respectés et admirés. Et bien sûr, tout ceci n'est qu'un façade qui cache de nombreuses lézardes…

Dans « Famille de menteurs », nous retrouvons une nouvelle génération avec un bon en arrière dans le temps. Cette fois-ci, c'est Caroline Taft Sinclair, la mère de Johnny, qui est la narratrice. Elle revient sur ses années de jeunesse et plus particulièrement sur une année marquante, celle de ses 17 ans, en 1987. Cet été là, comme chaque année, la famille Sinclair se réunit sur son île privée, Beechwood Island : Harris, le père, Tipper, la mère, Carrie, Penny et Bess, leurs trois filles. L'été précédent, la benjamine Rosemary, 10 ans, s'est noyée. Mais de ce drame, personne n'en parle car chez les Sinclair, on ne montre pas ses émotions, on va de l'avant, toujours. Carrie a énormément de mal à supporter ce fait. Il lui semble que tout le monde oublie sa petite-soeur. L'arrivée de son oncle Dean avec ses cousins va lui changer les idées . En effet, Yardley, sa cousine, a proposé à son petit-ami et deux de ses amis de venir passer l'été à Beechwood Island. Pour Carrie, c'est l'heure du premier amour.

C'est avec une réelle curiosité que je me suis lancé dans la lecture de « Famille de menteurs » car « Nous les menteurs » avait été un véritable coup de coeur. L'auteure, comme dans le précédent livre, prend le temps de nous décrire des personnages beaucoup plus complexes et sombres qu'ils n'y paraissent. Carrie est le personnage principal autour duquel vont graviter ses parents, ses soeurs, les copains. Tout en découvrant des secrets qui la concernent, elle va également découvrir les histoires de chacun. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le vernis craque pour un certain nombre d'entre eux. La thématique principale de ce roman reste donc bien sûr les mensonges qui empoisonnent et détruisent la vie des membres de cette famille mais l'auteure a également voulu développer un aspect thriller qui apporte une bonne touche de suspense au récit. Malheureusement, après avoir lu « Nous, les menteurs », la surprise de la découverte n'était pas au rendez-vous et la magie si particulière du premier opus n'a pas fonctionné à nouveau. Qu'il s'agisse de la description du quotidien de cette famille bling-bling dysfonctionnelle ou des aspects fantastiques et dramatiques, j'ai eu l'impression parfois d'un remake moins réussi que l'original (comme tous les remakes).
Cela reste tout de même une bonne lecture car la famille Sinclair, c'est une famille qu'on n'oublie pas.
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N'ai pas lu le "succès" du premier. Mais je n'ai pas eu l'impression de manquer d'informations pour comprendre celui-ci. Je me suis pourtant interrogé sur le classement "jeunesse"... Il ne me semble pas spécifiquement destiné à un public particulier. Bien que les atermoiements sentimentalo-sexuels des uns et des autres jeunes ados petits-bourgeois semblent viser le public étasunien en rapport.
Cela se laisse lire comme un honnête polar. On pourrait en faire une série de plateforme.
J'avoue ne pas aimer les "narrations volontairement fausses" même si elles se justifient lorsque le narrateur est un personnage et donc nous expose sa vision. Vision qui est nécessairement subjective mais ici qui est carrément une tromperie. Discutable.
Les personnages? Je n'ai personnellement éprouvé aucune empathie pour aucun d'entre eux ce qui rend la lecture distante, non émotionnelle.
Mais le scénario (une fois acceptées les versions successives) tient la route et les pièces du puzzle policier se mettent en place sans problème.
Un bon divertissement de détente.

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J'avais lu il y a longtemps « Nous les menteurs » et avant de lire ce préquel j'ai relu ce roman pour faire une petite piqure de rappel.
J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à retrouver la plume de E. Lockhart. L'auteure sait nous maintenir en haleine avec ses histoires. Elle manie le suspens comme personne.
Dès les premières pages elle nous transporte dans son univers et nous plonge dans l'ambiance mystérieuse et envoutante de l'ile de « Beechwood Island ». On retrouve avec plaisir Carrie, Penny et Bess et on en apprend plus sur l'histoire de cette famille pas comme les autres.
Enfin bref, un très bon moment de lecture.
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caroline Lennox Taft Sinclair dite Carrie raconte au fantôme de son fils Johnny mort dans l'incendie de la maison familiale dans le roman Nous les menteurs, l'année de ses dix-sept ans et son été si particulier dans le domaine familial sur l'île de Beechwood. L'année précédente, sa petite soeur Rosemary s'est noyée, elle avait dix ans mais dans la famille Sinclair, personne ne doit se plaindre ni s'apitoyer. Les trois soeurs, Carrie, Penny et Bess suivent leurs études sur le campus de North Forest Academy et rentrent parfois chez leurs parents à Boston dans leur maison cossue. Leur père, Harris, a fait fortune dans l'édition et il s'est surtout marié avec Tipper issue d'une riche famille du Sud ayant exploité des esclaves. Cet été-là, le petit frère du patriarche, Dean Sinclair vient passer l'été à Beechwood avec ses enfants Yardley et Thomas. Yardley est accompagnée de son amoureux, George et deux de ses amis, Major et Lawrence Pfefferman dit Pfeff. Carrie est émoustillée par cette irruption de jeunes hommes et entame une relation avec Pfeff.


Nous retrouvons dans ce thriller haletant tout le talent de E. Lockhart. Il y a tout d'abord le jeu machiavélique de la narration, l'histoire est racontée a posteriori par l'une des quatre soeurs, Carrie devenue adulte, nous savons qu'elle a grandi dans une famille dans laquelle les apparences sont essentielles et le mensonge une seconde nature ; néanmoins, nous nous laissons prendre par son récit et nous oublions trop vite qu'elle se souvient, que sa mémoire est partielle, partiale, qu'elle ment et qu'elle nous manipule. Ce jeu vertigineux rend les frontières du roman particulièrement floues.

E. Lockhart reprend par ailleurs tous les motifs du teen novel, l'adolescence, l'illusion de l'infaillibilité des parents, la découverte de l'amour et l'irruption des pulsions sexuelles. Ici, les scènes du désir amoureux sont admirablement décrites avec le vertige de la découverte du corps des garçons, le frisson des peaux qui se frôlent, se touchent et se caressent.

Au-delà, E. Lockhart nous plonge à nouveau dans les tourments des histoires familiales, de l'hypocrisie du monde adulte et des mensonges. le drame apparaît inévitable, la figure du jeune homme solaire cache nécessairement une part sombre ; il est égoïste, jouisseur, amoral et c'est cette tension qui crée tout le suspense du roman, l'héroïne est irrésistiblement attirée quand bien même elle se perd.
La publication de ce prequel intervient juste après le phénomène TikTok autour de Nous les menteurs et l'explosion des ventes huit ans après sa sortie en librairie. Un phénomène passionnant à observer.

Emily Jenkins est née le 13 septembre 1967 à New York. Elle a grandi à Cambridge dans le Massachusetts et Seattle dans l'état de Washington ; elle est allée à l'université de Vassar et à l'école doctorale de Columbia : elle a en effet un doctorat de littérature anglaise et s'est particulièrement intéressée au roman britannique du dix-neuvième siècle. Elle utilise comme nom de plume, E. Lockhart, E. signifiant Emily mais son père l'appelait E.. Elle vit actuellement dans la région de New York. À huit ans, elle a écrit deux ou trois romans mais elle s'est ensuite passionnée pour le théâtre et voulait être actrice puis elle a voulu devenir professeur de littérature. Elle a réellement commencé à écrire de manière créative à l'âge de 22 ans mais n'a été publiée que plusieurs années plus tard.
Aux Etats-Unis d'Amérique, elle a publié The Boyfriend List en 2005, Fly on the Wall en 2006, The Boy Book en 2006, Dramarama en 2007, The Disreputable History of Frankie Landau-Banks en 2008, How To Be Bad en 2008, The Treasure Map of Boys en 2009, Real Live Boyfriends en 2010, We Were Liars en 2014, Genuine Fraud en 2017, Again Again en 2020 et Whistle en 2021.
Avec Whistle, E. Lockhart a été associée à DC Comics pour créer un super-héros de Gotham City. Avec Genuine Fraud, E. Lockhart avait depuis longtemps l'idée de raconter une histoire à l'envers, elle a choisi l'histoire des origines d'un personnage anti-héros et ainsi remonter dans le temps pour comprendre comment une personne pourrait devenir un monstre. Genuine Fraud est un hommage au talentueux M. Ripley de Patricia Highsmith et la scène dans le bateau est une sorte de citation faisant délibérément écho à la scène du roman de Patricia Highsmith mais le roman est aussi un hommage aux comics de super-héros et notamment à L'Incroyable Hulk car Hulk est un personnage dont le pouvoir est inextricablement lié à sa rage, ce qui en fait un pouvoir honteux). Et évidemment aussi aux histoires d'orphelins victoriens, et notamment à Charles Dickens et à son roman Les grandes espérances.
Avec The Boyfriend List, E. Lockhart en a eu l'idée quand elle triait une boîte de vieux annuaires de lycée pour lesquels elle était chargée de la colonne d'humour et administrait les sondages et elle a alors pensé : “Où est ce petit carnet où j'ai noté tous les garçons que j'ai embrassés ?”.
E. Lockhart pense que la littérature populaire et la littérature de divertissement deviennent souvent canonisées au fil du temps. Les films d'Hitchcock sont désormais diffusés en classe d'histoire du cinéma. Les pièces de Shakespeare sont enseignées à l'école. Les romans de Dickens, de même. Tous ces divertissements étaient légers à leur époque. Elle a la chance de s'être inscrite dans l'essor de la littérature pour jeunes adultes. Cette catégorie de fiction - YA - n'existait même pas avant les années 1950 et le récent boom des livres n'a commencé qu'au début des années 2000. Les adolescents ont plus à lire maintenant qu'ils n'en ont jamais eu auparavant - plus de livres écrits sur l'expérience des adolescents et avec un public adolescent à l'esprit. Maintenant, les adultes lisent aussi ces livres. le roman YA change et se développe sous nos yeux.

En France, Casterman publie successivement Journal d'une allumeuse puis La fabuleuse histoire de la mouche dans le vestiaire des garçons en 2006, le grand livre des garçons en 2008. le Journal d'une allumeuse est réédité en 2010 en deux tomes sous les titres, Journal d'une allumeuse et le retour de l'allumeuse puis en 2012, la série démarre avec un premier tome, le journal de Ruby Oliver : pas très rond dans ma tête mais il faut attendre 2013 pour une réédition de trois tomes, le journal de Ruby Oliver, volume 1 L'amour avec un grand Z, volume 2 L'art de perdre les pédales, volume 3 Un grand moment de solitude. Casterman tente une réédition également en 2017 avec Un truc truc comme un biscuit craquant, volume 1 sans publier les tomes suivants. Gallimard jeunesse publie en 2015, Nous, les menteurs, en 2018, Alabaster & moi, et Trouble vérité.






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Après le succès de "Nous les menteurs", E. Lockhart nous propose son prequel "Famille de menteurs" (à lire absolument après le premier sinon vous allez être spoiler !).

C'est un livre parfait pour l'été que j'ai dévoré !!!
On retourne sur l'île privée des Sinclair, cette famille de priviligiés à qui tout sourit, le temps d'un été. le temps des rencontres, de moments entre soeurs, de première fois, d'amour et de secrets... Jusqu'à ce que tout bascule.

Dans la même veine que le premier, on a une grosse révélation dans le dernier quart du bouquin. Qui n'est pas aussi choquante et folle que dans le premier tome mais qui m'a beaucoup plu. C'est davantage prévisibile. On voit les évènements arriver et on comprend où l'autrice veut nous emmener mais ça se lit vraiment tout seul et le rythme est très addictif ce qui ne gâche en rien les révélations finales.

J'ai retrouvé ce que j'avais adoré dans le premier : des chapitres courts, des personnages détestables, des secrets sulfureux et une famille complètement dysfonctionnelle.
Les Sinclair doivent être parfaits. Peau parfaite, dentition parfaite, corps parfait. On cache ses sentiments, on garde la tête haute. Mais tout ne va pas se passer comme prévu lors de cet été si particulier...
On reconnait tout de suite la plume de l'autrice. C'est incisif, il n'y a pas de fioritures, de détails à profusion. J'ai adoré !


En bref, si vous avez aimer "Nous les menteurs" ou si vous recherchez un roman à lire à la plage sans prise de tête où se mêlent beaux garçons, amour, secrets et drame vous allez forcement adorer !

Lien : https://www.instagram.com/bo..
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ça sent un peu le réchauffé... Emily Lockhart place son nouveau roman avant son grand succès "Nous, les menteurs" (à lire absolument avant, sinon plus de suspense). Retour donc chez les riches et leurs problèmes pas comme les autres... Ce n'est pas très bien écrit mais ça se dévore comme une série Netflix et ça vide complètement la tête, parfois on ne demande rien de plus ...
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Un autre été, une autre génération, un autre secret, Cady, puis Carrie…

À la manière de son prédécesseur, ce préquel est une expérience à part entière.
Un roman qui se lit le souffle court.
Une vague infernale, jusqu'à la chute finale.

J'ai pris un plaisir fou à retrouver la mystérieuse plume d'E. Lockhart, à la laisser m'embarquer, une nouvelle fois, à revivre ce que j'ai vécu, huit années plus tôt, dans une expérience relativement différente.

Ici, on ne découvre plus, on sait.
On sait qui sont les Sinclair.
On sait que le compte à rebours est lancé, et que la chute finale va bientôt tomber.
On le sait, mais ce savoir ne fait qu'accroître cette tension, littéralement omniprésente, rendant le récit pesant, mais clairement plaisant.

Une nouvelle fois, E. Lockhart m'a mis une vraie claque.
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Ce roman est le préquel de « Nous les menteurs », que j'ai lu et adoré il y a quelques années. L'histoire m'avait marquée et le dénouement m'avait laissée sur le cul (c'est d'ailleurs le titre que je voulais donner à la chronique à l'époque, mais mon côté pro n'a pas osé).

J'avais de grandes attentes pour ce préquel, et je pense qu'elles ont été atteintes. Si le début a directement capté mon attention, j'ai trouvé la première moitié assez lente par rapport à la suite du récit.

Les derniers chapitres sont ceux que j'ai le plus appréciés. Ils explorent vraiment les pensées les plus profondes du personnage principal, et sont très émouvants. J'aurais aimé que certains aspects évoqués pendant ces dernières pages soient davantage mis en avant tout au long du roman.

Lors de la deuxième moitié du livre, tout s'accélère, et c'est un vrai plaisir de suivre l'enchaînement des actions. Impossible de poser ce livre tant on veut des réponses à nos questions. Des rebondissements arrivent jusqu'à la fin, nous laissant bouche bée.

Je pense pouvoir dire sans me tromper que « Nous les menteurs » et « Famille de menteurs » sont deux ouvrages qui vous sortiront d'une panne de lecture à coup sûr !i
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Un autre été au sein de la famille Sinclair, plein de secrets, d'excès et aussi du suspens avec beaucoup d'inattendus. Si l'autrice ne pouvait pas nous remettre dans la situation de Nous les menteurs, l'histoire est à nouveau riche, prenante et haletante.
Cet été c'est la tante Carrie qui nous le raconte. Son monde a été bouleversé après un deuil et le choix d'une opération qu'on finit pas lui imposer. Cet été sera l'été de son premier amour. On suit les soeurs Sainclair, la cousine aussi et une bande de garçons qui s'invite chez les Sinclair.
C'est original à nouveau avec beaucoup de non dits et beaucoup d'émotions. Il y a des connexions qui renvoient au livre précédent qu'il faut absolument lire avant celui-ci. J'ai adoré rencontrer Carrie avec qui on aborde le premier amour, la jalousie entre soeurs, l'amour familiale mais aussi l'addiction aux médicaments et le deuil. Carrie m'a bouleversée.
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Retour sur l'île des secrets

Si vous avez aimé Nous les menteurs, vous allez forcément aimer le préquel - Famille de menteurs (vous pouvez lire Famille de menteurs sans avoir lu Nous les menteurs par contre si vous compter lire les deux, il faut impérativement commencer par Nous les menteurs car Famille de menteurs « divulgâche » LA grande révélation du premier opus).

Retour donc sur l'île privée de la riche et distinguée famille Sinclair.
Cette fois nous découvrons l'adolescence de Carrie, Penny et Bess - les mamans de Nous les menteurs.
Autre époque, autre été, autres amours, autres secrets mais toujours des mensonges dans cette famille où le paraître est un way of life.

J'ai préféré ce préquel. J'ai aimé découvrir ces soeurs tellement différentes, les voir évoluer, suivre Carrie dans ses premiers émois.
Ce préquel est plein d'émotions, de sensibilité - j'ai été plus touchée encore que par Nous les menteurs.
Je suis pas mal confuse face à cette famille dysfonctionnelle. Ils sont aussi détestables qu'ils peuvent parfois s'avérer admirables.
(Et je veux absolument participer à une chasse aux citrons !)

Il y a nettement plus de secrets, de révélations, de drames… et cette fois je n'ai pas tout deviné avant la fin.
Les personnages sont crédibles et je n'ai eu aucun mal à m'imaginer flânant sur Beechwood Island.

Par contre, les deux opus se ressemblent un peu trop à mon goût dans la construction. Carrie et Cadence ont les mêmes « travers », elles se réfèrent toutes deux en permanence aux contes et il y a un aspect plus étrange (dont je ne peux parler) auquel je n'ai pas adhéré sans qu'il n'y ait une véritable raison à toutes ces similitudes.

Les deux romans se ressemblent vraiment beaucoup sans être tout à fait les mêmes. C'est pourquoi ceux qui ont aimé Nous les menteurs vont forcément aimer également Famille de menteurs.

C'est une lecture légère, sans prise de tête, avec de beaux garçons à la peau dorée, des filles Sinclair (donc forcément parfaites) et une bonne dose de mystère.
Là encore une lecture parfaite pour l'été.

À découvrir dès 14 ans.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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