Le père de Damien, marin pêcheur, s'est suicidé le jour d'anniversaire de son crime, en se jetant du haut de la baie des veuves, une falaise d'où les femmes guettaient autrefois le retour des bateaux de pêche et se jetaient de cette falaise par amour.
Durant l'été 1995, ce père que Damien aurait voulu aimer, est devenu un meurtrier, les contraignant sa mère et lui, à déménager à l'autre bout de la France car la ville maudissait leur nom.
Le roman débute avec son enterrement où Damien tente d'éprouver de la tristesse, en vain.
Cette chronique n'est pas facile à rédiger, je suis un peu embêtée.
Si les premières pages m'ont bien plu, j'ai décroché très vite.
Pour être honnête, je me suis ennuyée avec cette lecture, c'était assez périlleux. Pour tout vous dire, j'ai mis ce livre en pause et j'en ai lu 5 en parallèle. Je me suis forcée à le terminer, histoire de connaître le dénouement qui, malheureusement, ne m'a pas spécialement surpris…
J'aime bien la plume de
Jérôme Loubry, j'ai notamment lu 𝙇𝙚𝙨 𝙧𝙚𝙛𝙪𝙜𝙚𝙨, 𝙇𝙚𝙨 𝙨oe𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙈𝙤𝙣𝙩𝙢𝙤𝙧𝙩𝙨, 𝙇𝙚 𝙙𝙤𝙪𝙯𝙞𝙚̀𝙢𝙚 𝙘𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 et je les ai tous bien aimé. Mais pour cette fois, c'est un rendez-vous manqué pour ma part.
Ce qui a peut-être joué également dans mon désintérêt, c'est que j'ai lu ce livre après mon gros coup de coeur pour 𝙉𝙤𝙪𝙨 𝙧𝙚̂𝙫𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙟𝙪𝙨𝙩𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙚𝙧𝙩𝙚́. Parfois, lors d'énorme coup de coeur, les lectures d'après me paraissent fades…
Je vous invite à vous faire votre propre avis, j'ai lu de bons retours à son sujet. Mais pour ma part, je ne pense que ce n'était pas le bon moment pour le lire.
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