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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Merci à Babelio et aux éditions du Seuil pour l'envoi de ce livre. Sans cela, je ne l'aurais probablement pas lu. Ni la couverture, ni le titre ne m'auraient en effet attirée. Or compte tenu de la guerre actuelle que la Russie mène sur le sol ukrainien, je trouve intéressant d'en savoir plus sur les relations entre la Russie et les pays de l'ancien empire soviétique. La Géorgie en fait partie. Pour en savoir plus, j'ai écouté l'émission Interception sur France Inter https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/interception/interception-du-dimanche-23-octobre-2022-3110383
Revenons au roman. Un jeune ressortissant français, agrégé d'histoire, est retrouvé mort dans un hôtel et dans des conditions suspectes. Aidé par René Turpin, diplomate français, un policier géorgien mène l'enquête. Cette dernière les conduira notamment à Tskaltoubo, élevée à l'époque stalinienne comme ville thermale de luxe. Spécialisée dans la " spéléothérapie ", elle reçut les plus grands. Staline lui-même aimait y séjourner dans les années 1950. La salle de thermes privée de Staline et le bain où il se détendait existent toujours. D'où le titre.
D'autres meurtres sont commis. Ils portent la même signature. Par conséquent, un lien existe entre les victimes. Reste à découvrir lequel. L'enquête constitue le fil conducteur de ce roman. le propos est plus large. Renaud S. Lyautey maîtrise son sujet. Il fut ambassadeur en Géorgie. « Les Géorgiens et Staline... Les Géorgiens en ont bavé, sous Staline.. Je crois que les Géorgiens éprouvent des sentiments mêlés. L'effroi et le dégoût le disputent à une forme de fierté, d'admiration. Beaucoup restent fascinés par le côté incroyable de cette histoire, celle d'un fils d'un pauvre cordonnier de Gori qui devint tsar de toutes les Russies. » Et c'est aussi l'occasion de revenir sur Kim Philby, un agent britannique au service de l'URSS.
Vous l'aurez compris, ce court roman (213 pages) est riche en faits historiques. J'ai eu besoin/envie de consulter internet pour aller plus loin.
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Un jeune Français assassiné dans une chambre d'hôtel à Tbilissi est le point de départ de l'enquête menée par René Turpin, premier conseiller à l'ambassade, conjointement avec Nougo Shenguelia, policier géorgien francophone. le récit prend la tournure d'un roman d'espionnage avec l'apparition de Kim Philby, un agent double ou même triple qui a réellement existé au temps de la Guerre froide.
Renaud S. Lyautey en situant son intrigue au lendemain de la guerre avec la Russie de l'été 2008, nous rappelle la mainmise de la Russie sur des territoires géorgiens dont l'Abkhazie. Il nous promène dans la patrie de Staline, à Tbilissi ou encore à Tskhaltoubo, une station thermale réputée où Staline se rendait fréquemment. Il nous ramène au temps du stalinisme quand de nombreux dirigeants étaient issus du peuple géorgien.
Renaud S. Lyautey connaît très bien le pays puisqu'il y fut ambassadeur. Il n'épargne pas les Géorgiens dont il critique la rusticité montagnarde et une certaine violence caucasienne. Il n'occulte pas la nostalgie des plus anciens pour l'ère soviétique. Mais on ressent dans son récit tout son attachement aux gens, au pays et à la gastronomie.
Ce roman policier avec sa part d'espionnage, n'est certes pas le polar du siècle mais il m'a procuré un très bon moment de lecture et de dépaysement. J'ai aimé ce voyage à Tbilissi et ses alentours qui m'a rappelé la semaine que j'y ai passé par un bel automne très coloré. L'écriture est simple et fluide avec de l'humour. J'imagine que son auteur, Monsieur l'Ambassadeur, ne se prenait pas trop au sérieux et j'ai été peinée en apprenant qu'il est décédé avant la parution de ce qui est son second roman.
Merci à Babelio pour ce Masse Critique
Lien : https://ffloladilettante.wor..
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Année 2009, Tbilissi, capitale de la Géorgie. Un jeune ressortissant français est retrouvé (vraisemblablement) assassiné dans sa chambre d'hôtel. Afin d'éviter tout conflit avec la France, l'enquête est placée dans la liste des priorités des enquêteurs Nougo Shenguelia et Lacha Bregvadze, épaulés par le consul remplaçant René Turpin. Ces derniers vont dès lors plonger dans l'histoire de la Géorgie et déterrer des secrets bien gardés...

L'auteur mêle enquête et faits historiques avec naturel sans jamais que l'écriture soit pompeuse ou difficile d'accès. Par ce roman, il retrace l'histoire de la patrie de Staline et ses liens avec l'ex-URSS, partageant indirectement avec le lecteur son expérience de diplomate. le titre "La baignoire de Staline" prend tout son sens à la moitié du récit où les indices se décantent et les voiles de l'enquête se lèvent.

J'ai aimé découvrir des pans de l'histoire géorgienne, plonger dans les secrets de la guerre froide et dans les mystères politiques (Kim Philby, quel espion !) tout en passant un agréable moment. L'auteur a su rendre l'ensemble entraînant et intrigant, nous incitant à approfondir l'histoire géorgienne. On ressent également l'âme slave, ses plats généreux et réconfortants, ses paysages qu'on aime s'imaginer, et son passé, grandiose et immuable.

Les personnages sont dessinés sans fioriture, ils sont simples et attachants, des hommes lambdas proches du peuple et de leur vie de tous les jours (personnellement j'apprécie les personnages un peu plus torturés, mais ce n'est qu'une question de "goûts") . En somme, La baignoire de Staline est un roman étonnant de simplicité et pourtant riche dans son contenu. Je découvre avec plaisir feu l'auteur, Renaud S. Lyautey, son écriture entraînante et ses expériences professionnelles qui transpirent tout au long des chapitres.
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8 juin 2009. À l'hôtel Marriott de Tbilissi (Géorgie) un enseignant français de vingt-six ans, répondant au nom de Sébastien Rouvre, est retrouvé mort dans sa chambre. le policier géorgien, Nougo Shenguelia, va être nommé sur l'enquête par son supérieur hériarchique, parce qu'il est francophone (en binôme avec son collègue Lacha …) Il va lui falloir coopérer sur le dossier avec René Turpin (Premier Conseiller de l'Ambassade de France) en poste à Tbilissi depuis quatre ans et pratiquement en fin de mission …

Dans le collimateur de René Turpin : Papouna Berichvili (Sébastien Rouvre était le précepteur de ses enfants) un oligarque qui se serait enrichi lors de la dernière décennie de l'ex-URSS … le Conseiller de l'Ambassade, fort touché par le désintérêt pour ce jeune homme (orphelin) dont personne ne réclame le rapatriement en France (pas même son unique soeur …) va mettre un point d'honneur à aller au bout de son enquête, afin de lui rendre justice …

Un roman sobre et prenant (je craignais un peu que le style de ce récit soit plus en phase avec l'espionnage qu'avec l'histoire ou le polar …) Mais non ! L'écriture est simple et très efficace : un bon moment de lecture ! J'ai été toutefois très intriguée par le poème plutôt « énigmatique » en postface … La perplexité m'a donc fait investiguer sur internet, une démarche qui m'a finalement renseignée : l'auteur est malheureusement mort d'un cancer fulgurant en avril 2022 et cet hommage lui est rendu par ses parents (aucune mention sur la mini biographie de couverture ???…)

Je remercie la Masse Critique Privilégiée de Babelio et les Éditions Seuil / Cadre Noir pour cet envoi.
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Un texte qui nous entraîne à Tbilissi, capitale de la Géorgie, terre natale de Staline.
Une enquête après la découverte dans une chambre d'hôtel d'un jeune étudiant français, percepteur d'enfants d'un apparatchik milliardaire et de l'ancien patron du KGB géorgien.
Les policiers géorgiens vont essayer de comprendre ce premier meurtre et en particulier, le jeune inspecteur, Nougo Shenguelia, francophone et francophile car il a été en stage en France lors de sa formation de policier. Il va rencontrer René Turpin, premier conseiller de l'ambassade de France, qui lui aussi va essayer de comprendre ce qui a conduit à ses meurtres. Leur enquête va les conduire à Tskaltoubo, ancienne cité thermale où Staline possédait une datcha et où a été retrouvée la fameuse baignoire du titre. Nous allons aussi découvrir la vie de Kim Philby, agent double voire triple.
L'auteur nous parle très bien de la Géorgie, de son histoire et son rapport au Grand Frère russe :
"Vous voyez, jamais les Russes, ne nous laisseront tranquilles. Nous sommes condamnés à vivre dans l'ombre de Moscou."
"Le message est clair. On ne quitte pas l'Union Soviétique. Elle est toujours là. Impalpable. Menaçante. Omniprésente. Prête à frapper n'importe où. Je me demande si tout cela finira un jour." p196.
A noter que 20 % du territoire géorgien est occupé par la Russie et Poutine depuis 2008.
Ce texte est un bel hommage aussi au pays géorgien, de belles descriptions de la capitale mais aussi de la campagne et de belles pages aussi sur la gastronomie. le diplomate adore dîner avec son vieux voisin et ils dégustent du khatchapouri (pain fourré au fromage), des khinkali (gros raviolis fourrés au porc ou au boeuf) et autre tchakapouli (agneau aux prunes vertes et aux herbes). Et l'auteur nous met l'eau à la bouche.
Le personnage de Turpin m'a fait penser à Aurel, le consul enquêteur de Jean Christophe Ruffin mais le personnage de Renaud S Lyautey est moins décalé et semble être un miroir de l'auteur, puisque celui ci a été ambassadeur en Géorgie.
J'ai apprécié ce texte pour ce mélange de la grande Histoire avec un grand H et la petite histoire, celle de petits gens qui ont essayé de survivre dans un pays bousculé par les ambitions politiques de dirigeants.
L'auteur mêle donc l'histoire mais aussi le contemporain et ce que la Géorgie, petit état, tente d'établir. L'auteur parle bien par exemple, des jeunes policiers, formés à l'étranger.
Le personnage de Nougo Shenguelia est touchant car il raconte l'exil interne qu'a subi ses parents. Originaire de l'Abkhazie, une région du nord-ouest de la Géorgie, encouragée à proclamer son indépendance par la Russie. Sa famille a dû fuir en 1993 et Nougo est hanté par les fantômes de cet exode forcé.
Fin 2003, le nouveau président géorgien licencie tous les policiers car ils sont tous considérés comme corrompus ! Il engage des jeunes, nettement mieux payés. Nougo en fait partie. Formé près de Lyon, il a été initié aux techniques les plus modernes d'investigation de la police française.
Les deux vieux voisins de Turpin vont être eux aussi impliqués dans cette histoire et cela va nous entraîner dans les années sombres de l'union soviétique.
Et il y a des personnages réels, que ce soit Staline et ses séjours dans sa baignoire à Tskaltoubo, ancienne cité thermale, où il ne reste que des ruines de ces termes. Que ce soit aussi Kim Philby, cet agent britannique et russe et qui peut être considéré comme un agent double voire triple. Et je vais m'empresser de lire "portrait de l'espion en jeune homme" de Robert Litell.
Et vais aussi lire le premier roman de Renaud S Lyautey, malheureusement trop tôt disparu.
Un roman policier qui nous en apprend beaucoup sur l'Union Soviétique, sur la Géorgie actuelle avec une palette de personnages très touchants.
LaBaignoiredeStaline #NetGalleyFrance
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Ce roman policier en Géorgie commence par une mort suspecte d'un ressortissant français à Tbilissi. René Turpin, de l'Ambassade de France, est mandaté pour assister la police locale à résoudre l'enquête.

Le pays se découvre au fil des plats typiques que Turpin partage avec son ami géorgien, du Khatchapouri (sorte de pizza géorgienne au fromage et à l'oeuf), les Khinkalis - raviolis à la viande, aux kupati (petites saucisses grillées) et les histoires de l'époque soviétique sont racontées avec un vin typique de ce pays, terre natale de Staline.

Le style élégant, sans être suranné, nous installe confortablement dans le suivi de l'enquête, rythmée par ses agapes gourmandes, amicales et tendres. On découvre la datcha de Staline dans les ruines de Tskaltoubo, ancienne station thermale de villégiature soviétique, on se promène dans les montagnes ou les étendues désertiques.

Peut-être est-ce du fait de dormir, manger et boire avec les personnages qu'on finit par être soi-même mandaté et à vouloir résoudre le crime - trouver la réponse !

Le roman est comme tisser une amitié - de la sincérité de Turpin à la simplicité de son ami Kartadze, le récit nous peint l'amour d'un pays, les regrets d'une Histoire, la nostalgie et une douce mélancolie qu'il est plus doux de partager avec un verre de vin blanc d'Imérétie.
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J'ai découvert avec grand plaisir cet auteur que je ne connaissais pas et ai beaucoup aimé en apprendre plus sur la Géorgie.

Nous y suivons Turpin, un diplomate français basé à Tbilissi ayant décidé d'aider la police à élucider des meurtres,, notamment celui ee Rouvre, jeune chercheur sur les traces du passé de Kim Philby, un ancien agent double britannique.

J'ai particulièrement aimé le contexte et l'atmosphère. L'auteur met en scène un peuple coriace, qui se bat pour sa liberté, accueillant et chaleureux sous des aspects un peu plus rustres parfois.
La pression toujours présente de la Russie est bien mise en lumière. Bien que n'étant plus officiellement sous le joug de l'URSS, le pays reste néanmoins victime de la soif de pouvoir de la Russie qui l'hésite pas à intérferer.

L'enquête et le dénouement étaient sympathiques, le monde de l'espionnage durant la guerre froide que l'on a entraperçu par bribres passionnant, même si je trouve que le point fort du roman est surtout le contexte de l'histoire.

L'auteur semble être un connaisseur de la Géorgie et de son peuple et lui rend ici un bel hommage.
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Cette belle couv façon timbre poste d'époque et ce titre énigmatique cachent le deuxième roman de Renaud S. Liautey, ancien diplomate malheureusement disparu cette année.

On retrouve ici le même personnage, René Turpin, fonctionnaire français en poste à l'ambassade de France à Tbilissi, Géorgie, un pays que l'auteur connait bien pour y avoir été ambassadeur lui-même.

Un ressortissant français y est retrouvé mort dans une chambre de l'hôtel Marriott. Voilà Turpin tenu d'aider la police locale à faire la lumière sur une affaire qui va se compliquer sérieusement, trouvant des ramifications inattendues dans la Guerre froide et l'espionnage.

Polar très agréable à lire, "La baignoire de Staline" est aussi un roman très bien documenté et sacrément instructif à plus d'un titre. Politique, historique, diplomatique, mais aussi géographique et gastronomique, rappelant les polars qui font saliver de Qiu Xiaolong ou Valerio Varesi...

Un personnage intéressant, une intrigue riche et complexe, un contexte original ... Tous les ingrédients sont réunis pour faire de cet ouvrage un polar à lire sans hésiter.
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Sébastien Rouvre, un jeune étudiant français a été retrouvé mort dans des circonstances très étranges : son corps est découvert étranglé et totalement nu à l'hôtel Mariott. Historien, il se consacrait à la période de la guerre froide dans la ville de Tbilissi, capitale de la Géorgie, terre natale de Staline. le sujet de sa thèse reste un mystère, on sait qu'il a séjourné à plusieurs reprises à Tskaltoubo, ville balnéaire de Géorgie, désormais totalement abandonnée et pillée. Staline y possédait une datcha à ses heures glorieuses. On y a retrouvé sa baignoire ! La même qui donne son titre au roman…
L'ambassadeur Turpin est nommé pour accompagner les enquêteurs locaux et résoudre ce mystère de plus en plus épais.
J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman policier qui prend souvent la forme d'un roman d'espionnage avec en toile de fond le KGB et son inquiétant système de renseignements. L'auteur, qui a lui-même été ambassadeur, nous plonge dans une période historique passionnante et nous fait revivre un des volets de la guerre froide à travers la découverte de cette région qu'est la Géorgie, ex-république de l'Union Soviétique.
Le style est très fluide et l'intérêt historique évident, l'auteur maîtrise parfaitement son sujet puisqu'il nous partage son expérience professionnelle à travers ce roman. Plongée dans la guerre froide et le monde de la suspicion, j'ai découvert le personnage de Kim Philby, espion et véritable traître anglais du XXème siècle et j'ai beaucoup apprécié l'intrigue bien menée. Merci à Netgalley et aux éditions du Seuil pour l'envoi de ce roman passionnant.
#LaBaignoiredeStaline
#NetGalleyFrance
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Un jeune homme est retrouvé mort dans un hôtel à Tbilissi, Géorgie. Très vite, l'enquête s'oriente vers un homicide.
La victime étant un ressortissant français, la police fait appel à l'ambassade de France qui délègue René Turpin pour collaborer avec les enquêteurs et en particulier, Nougo Shenguelia.

Nous suivons donc principalement les deux hommes dans leurs investigations qui progressent lentement, enchaînant les fausses pistes alors que les cadavres s'accumulent. Pourquoi vouloir tuer ce jeune étudiant en histoire ? Est-ce lié à ces activités, à sa thèse ? Et qu'est-ce qui le relie aux autres victimes ?

Même si on peut s'étonner qu'une collaboration entre une ambassade et la police géorgienne soit aussi poussée, au point que René Turpin participe activement aux investigations, le duo qu'il forme avec le jeune inspecteur fonctionne plutôt bien.

Comme souvent lorsqu'une enquête se déroule dans un pays peu connu dans nos contrées, l'intérêt principal (mais non le seul) réside ailleurs ; ici la Géorgie, sa cuisine et son histoire, en particulier au temps de la guerre froide.

Nous découvrons un pays dont les liens avec l'URSS sont plus complexes qu'il n'y paraît, entre détestation et fascination. Après tout, Staline est un enfant du pays, ce qui n'a pourtant pas protégé la Géorgie des purges, bien au contraire.

Une bonne enquête, une bonne dose  d'histoire, des personnages qu'on suit avec plaisir, le tout saupoudré d'un peu de paranoïa. Bref, un bon moment de lecture.
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