La rose écarlate, tome 1 : Je savais que je te rencontrerais

Le Renard, le justicier masqué, rôde dans les parages, attaquant les riches et donnant aux pauvres. Un petit côté Robin des Bois qui fait craquer Maud, qui rêve de le rencontrer.
Son père, forgeron, vient de terminer son épée : elle sera bretteuse! Mais un homme agresse son père à la recherche d'un livre, le tue et Maud réussit à lui infliger une balafre au visage.
Maintenant orpheline, elle découvre l'existence de son grand-père le Comte de la Roche et doit aller vivre avec lui à Paris. Elle espère y retrouver l'assassin de son père et le venger.
Pour cela elle devient l'Ecarlate, défendant la veuve et l'orphelin et rendant justice!
Une nouvelle série prêtée par ma fille qui me plait beaucoup!

BD jeunesse qui débute une série prometteuse. L'histoire se déroule en France au 18e siècle, où un mystérieux justicier (le Renard) vole les riches nobles et redonne aux pauvres. Il est le héros de Maud, fille du forgeron qui rêve d'un monde plus juste. Son père se fera assassiné sous ses yeux et elle essayera de retrouver le meurtrier pour se venger. Elle apprendra également qu'elle est de naissance noble et demeurera au château de son grand-père.
Tous les ingrédients sont réunis pour en faire une bonne série d'aventures pour les jeunes.

Alors, alors, comment dire ... l'histoire est mignonette mais un mix des histoires déjà connues : un soupçon de Robin des Bois, une pointe de la fille de l'Artagnan, baigné dans une ambiance Disney . Et voilà ! Ah oui, un livre mystérieux au coeur des batailles ... N'est-ce pas un peu rabâché, tout ça ??
En revanche, j'ai bien aimé le produit, le livre format BD, avec du papier glacé type comics et des dessins plus axés manga, on est encore dans le mix mais là, j'ai apprécié dans la forme.
Je vais le passer à ma fille de 10 ans, elle est peut être plus la cible ...

j'aime beaucoup cette série de bd

Redécouverte de ce premier tome que je lisais quand j'étais adolescente. J'avais donc complètement oublié l'histoire, ce qui a été un plaisir pour cette première lecture.
Une femme forte qui n'a pas peur de parler de savoir ce qu'elle veut par dessus le marché, voila la description de Maud l'héroïne de cette bande dessinée.
Les dessins sont magnifiques entre le traditionnel et les mangas. La France du XVIII e siècle est assez bien dépeinte bien que son oncle a tout de la caricature du noble fier de son rang qui ne voit les femmes que comme des objets à marier.
Une lecture légère et mignonne, je pense lire la suite pour découvrir un peu plus l'intrigue mise en place dans ce tome.

Au XVIIIe siècle, Maud est une jeune femme éprise de justice qui applaudit aux exploits du Renard, brigand au grand coeur tendance Zorro ou Robin des bois. Après l'assassinat de son père forgeron, elle apprend qu'elle est noble et rejoint son grand-père à Paris. Patricia Lyfoung signe un premier tome enlevé et réussi. Les dessins sont maîtrisés, seules les couleurs ne sont pas à la hauteur de l'ensemble.

Je suis tombée sur cette bande dessinée totalement par hasard dans une librairie et elle m'a tout de suite semblé bien, très bien même.
Les dessins sont beaux et agréables à l'oeil, et l'histoire de cette jeune fille secrètement amoureuse d'un brigand et qui perd son père très tôt dans l'histoire est excellente !
Parviendra-t-elle a retrouver le meurtrier de son père ?
le suspens est au rendez-vous...

Je ne pensais pas être aussi agréablement surpris par une bande dessinée destinée à la jeunesse. Un super rythme, beaucoup de mystère savoureusement entretenu, des personnages charismatiques... Et puis, et surtout, ce graphisme et cette colorisation absolument extraordinaires pour les yeux. Note maximale pour le dessin qui ressemble à ces mangas animés qui ont bercé notre enfance à l'image de Candy ou même Lady Oscar par exemple. Les décors notamment de ces magnifiques châteaux de la France du XVIIème siècle sont tout simplement éblouissants. de la beauté à l'état pur entre les rayons de lumière et les reflets étincelants...

Cette série est bien construite et les aventures s'enchaînent avec logique. Bien sûr, on pourra objecter que l'oeuvre paraît légère et sans aucune prétention. Ce n'est pas la première fois qu'on assiste à une histoire de vengeance.

Cependant, force est de constater sa redoutable efficacité notamment au niveau du scénario. La mise en page des cases colle parfaitement au rythme de l'histoire. Et puis, on retrouve de l'humour et une fraîcheur qui m'ont tout de suite enthousiasmé. Cette série assume parfaitement son côté fleur bleue. Les références à notre génération (celle des années Dorothée) y sont nombreuses pour notre plus grand plaisir.

Patricia Lyfoung, aux commandes du scénario et des dessins, nous livre une héroïne de cape et d'épée.

Vivant en province avec son père, forgeron, Maud aime la vie, elle la croque à pleine dents, du haut de ses 18 ans. Pleine d'enthousiasme, de vitalité, la fatalité s'abat sur elle lorsque son père est assassiné dans son atelier, le meurtrier voulant voler le carnet de voyages du père de Maud. Celle-ci, qui manie fort bien l'épée (fabriquée pour elle par son paternel), balafre le meurtrier. Apprenant ensuite que son grand-père est toujours en vie et habite Paris (d'où provenait le meurtrier de son père), Maud décide d'aller rejoindre son aïeul.

Hélas celui-ci est un vieil aigri qui envisage de la marier et se met en tête de donner à Maud des cours de maintien et d'étiquette afin de lui trouver un mari. Maud n'a d'autre idée que de trouver l'assassin de son père, marqué à vie.

Et en même temps, à Paris rode le Renard, sorte de bandit de grand chemin qui semble détrousser les riches pour redistribuer aux pauvres. de quoi fasciner Maud, qui rencontre le Renard les 4 pattes dans une auge à cochons... On a connu mieux comme rencontre. A moins qu'elle ne craque pour le beau Comte Guilhem de Landrey, jeune homme fortuné qui manie l'humour aussi bien que l'épée, dont il va donner des cours à Maud.

Elle ne risque pas de craquer pour le Baron de Huet qui ressemble trait pour trait à l'assassin de son père... la balafre en moins.

De son côté, afin de rencontrer le Renard à nouveau, Maud devient la Rose écarlate et parcours nuitamment la campagne à la recherche de bourgeois à détrousser.

Le décor est posé en un seul tome... et de fort belle manière.

Tous les rouages d'un roman de cape et d'épée sont effectivement là. Paricia Lyfoung mélange les ingrédients de manière fort adéquate, et la sauce prend. On passe un très bon moment. Pas de temps morts, des dialogues bien menés. Les personnages sont suffisamment aprofondis, rondement campés. Ce n'est pas foncièrement original, mais c'est bien foutu.

Côté dessin, c'est très bon également. On finira par savoir toute l'admiration que je porte aux scénaristes-dessinateurs, dont Patricia Lyfoung fait partie, surtout quand la combinaison est réussie. Les scènes de cape et d'épée requièrent un dessin dynamique, souple, fluide, et c'est bien ce que l'on a. Il y a un léger côté "manga" dans les visages qui ne me convainc pas, mais cela n'empêche pas de passer un bon moment. J'avais craint une BD "pour filles" à l'eau de rose, et on a quelque chose de vivant, rythmé et pour un large public.

Maud est une jeune femme qui a été élevée par un père forgeron dans une ville de province. À la mort de son père, assassiné sous ses yeux, son grand-père paternel, va la recueillir. Maud va alors apprendre qu'elle est de par sa naissance une noble. Évidemment, son éducation, ne va absolument pas plaire à son grand-père. Surtout que Maud ne rêve que s'entraîner à l'escrime et de retrouver l'assassin de son père. Sur sa route, elle va croiser le Renard, un justicier qu'elle admire et à qui elle aimerait ressembler.

Ce premier tome de mise en place et d'introduction, nous présente les différents personnages. Maud une jeune femme complétement en marge de la noblesse et qui ne se plaît pas dans ce rôle de femme restreint. Son grand-père, un homme un peu rigide et qui ne cherche qu'à marier Maud à un bon parti. Guilhem, un jeune homme, noble lui aussi, un peu volage qui va proposer à Maud d'être son maître d'escrime.

J'ai trouvé ce premier tome vraiment sympathique. C'est une mise en place, mais les événements s'enchaînent. Il est facile de s'attacher à Maud, qui a un caractère bien trempé, et qui n'hésite pas à défier les codes au XVIIIème siècle. L'intrigue en elle-même, simpliste pour l'instant, nous promet de multiples rebondissement entre Guilhem et la recherche de l'assassin du père de Maud.

Les dessins sont beaux et la colorisation donne de la force à l'intrigue. J'aime beaucoup le travail qu'à réaliser Patricia Lyfoung.


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