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J'attends d'un livre qu'il me raconte une histoire, j'attends de l'émotion. Les yeux fermés je veux rencontrer les protagonistes, les imaginer, je veux voir le milieu où ils évoluent, je veux vivre avec eux.
John Lynch ne m'a donné dans ce livre, que du superficiel.
Un lieu : l'Irlande
Des personnages : un adolescent, sa mère alcoolique, l'amant de sa mère, sa tante, et...des personnages secondaires.
Une histoire : Un adolescent qui cherche la vérité sur la disparition de son père, vit mal la relation entre sa mère et son nouvel amant.
Les personnages sont des ombres sans âmes. L'Irlande est plus devinée que décrite. L'histoire, d'une grande banalité, laisse jusqu'à la fin, une impression d'inachevé, de questions sans réponses.
Dans un exercice de style que je n'ai pas compris, Lynch à cru bon de rajouter, à la fin de chacun de ses chapitres, un texte, sorte de prose, tantôt pour parler de morts que James, l'adolescent, s'invente, ou bien de lettres fictives qu'il écrirait à son père ou que celui-ci lui enverrait.
Des réflexions qui n'apportent rien et qui, revenant comme un leitmotiv, finissent par agacer.
Je me suis ennuyer, je dois le reconnaitre.
Ce livre pourrait être bien plus court... Mais aussi beaucoup plus long et développé, et là, il en serait peut-être meilleur...
Mais ça ce n'est que mon modeste avis de lecteur.

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James, comme sans doute tous les gamins Nord-Irlandais, est mêlé à la guerre civile qui oppose protestants et catholiques. Dans son cas, c'est son père qui est mort quand il était enfant, mort "pour l'Irlande".
Il grandit dans ce mythe du père héroïque auprès de sa mère alcoolique, de sa tante Teezy, affectueuse et tendre avec lui, et de Sully, pas si mauvais bougre et amant de sa mère, que James déteste donc.
Le récit est entrecoupé de passages de la vie lycéenne de James et de ses fantasmes violents d'adolescent, traumatisé par le destin de chacun de ses parents. Tiraillé par l'envie de retrouver, rejoindre son père, et celui de protéger sa mère, James se rêve héroïque et martyr.
Ce roman relate la vie de tant d'adolescents confrontés aux guerres civiles et à sa violence et reprend tous les thèmes présents dans les livres et films nord-irlandais, mais voilà bien ce qui m'a gêné une bonne partie de ma lecture: la sensation que ce roman est surtout le scénario de film comme ceux qu'on a pu voir sur ce thème, Au Nom du Père - dont l'auteur est l'un des acteurs - Omagh, etc.
J'ai trouvé le récit truffé de clichés du genre et trop bien écrit, ce qui, avec la traduction, m'a empêché d'apprécier la première moitié. Puis j'ai fini par entrer dans le livre, et j'ai pu le finir, mais il ne m'a pas convaincu.
une lecture que je ne retiendrai pas.
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James est un jeune garçon de 17 ans qui se cherche. Malgré tout l'amour qu'il ressent pour sa mère, ces deux-là se fracassent. Pourquoi ? Qu'est-il arrivé à son père, décédé lorsqu'il avait 8 ans ?

Il en veut à sa mère de ne rien dire, alors il invente des histoires de « mort ». Morts de son père en héros. Son imagination déborde. Déborde tellement qu'un de ses professeurs l'intègre dans sa troupe de théâtre.

J'ai beaucoup aimé ce livre, tout en nuance et d'une grande sensibilité. Les histoires que James se raconte sont très bien intégrées tout au long du livre dans lequel on suit ses états d'âme.

A lire absolument !
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James est un jeune homme de dix-sept ans, foulant le sol d'Irlande de sa jeunesse désabusée. Il vit avec sa mère, dépressive et alcoolique, et leurs relations s'agitent, complexes, violentes et pourtant si délicates. Ce malaise survient après la mort de l'homme de famille alors que James n'a que huit ans. Sa mère, qui se sent abandonnée, ne peut alors que tomber dans les bras de Sully, un amant lunatique que James hait et qu'il considère tel un parasite de la sphère familiale. de cette sphère dont il rêve si souvent et qu'il aurait aimé préserver du temps et de la mort.

Au gré de ses rêveries macabres, où il met en scène la mort, les morts, James recrée un monde dans lequel il est maître des possibles. Et de ces récits morbides très vite naissent de sensibles instants de grâce au coeur desquels il construit un autre père pour remplacer l'absent. Il l'imagine héroïque, astronaute envoyé en mission stellaire mais qui se serait perdu dans l'immensité de l'espace. James écrit des lettres et dans son imagination fertile, ce père nouveau lui répond et lui révèle ce qu'est la vie, l'amour. Ces escapades imaginaires sont de réelles bouffées d'oxygène pour cet adolescent qui tend à fuir la morosité de la vie et ses réalités. Des conflits armés, une lourdeur omniprésente, celle de la guerre prête à frapper, une mère qui sombre dans la noirceur de l'alcool et ce père parti trop tôt.

James vacille d'un sentiment à l'autre, de l'amour à la haine, du manque avoué au rejet, de la tristesse douce à la colère qui gronde. Comment se définir, devenir un homme sans avoir lu la notice, pris connaissance du modèle ? Et nous lecteurs, nous suivons ce rythme effréné, saccadé, cette sensibilité exacerbé d'un jeune homme poète et acteur, qui réinvente le monde pour mieux le sublimer. John Lynch est lui aussi poète lorsqu'il livre ce récit initiatique. La déchirure de l'eau pour un être à reconstruire, les mots résonnent tel un sacerdoce tout au long du roman. Une vraie belle expérience de lecture qui est aussi un bel hommage à la vie.

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Etrange évocation de l'Irlande de l'IRA et des bombes par le regard de James Lavery, un adolescent de dix-sept ans qui cherche son père dans le ciel, les étoiles et parfois même les lucioles. Qui cherche une lumière en somme. Pour le guider sur le chemin de la vie, parce que Conn, ce père tant aimé, a disparu alors que James n'avait que huit ans.
Mais en Irlande la vie est dure, l'argent manque parfois. La mère de James travaille mais elle va noyer ses nuits solitaires dans l'alcool, sa tante essaie de l'aider, mais elle est rapidement dépassée. Et la présence de plus en plus régulière à la maison du nouveau compagnon de sa mère est bien difficile à accepter, car on ne remplace pas un héros. Heureusement, James va croiser la route de Shannon, un professeur atypique qui l'initie au théâtre, un moyen de se révéler, de s'extérioriser, de s'affirmer aussi peut être. Un moyen sans aucun doute de surmonter une étape de sa vie, celle du deuil de son père, rendu difficile par le poids du secret sur les circonstances de sa mort.
La structure du roman montre la vie de James par petites touches, chapitre après chapitre, tous se terminent par une lettre dans laquelle James s'évade dans son monde imaginaire, celui qui lui permet de vivre chaque jour qui vient. Jusqu'au jour peut-être où la vérité éclate, où la mère n'est plus seulement une alcoolique désespérée mais également une veuve inconsolable, où les amours adolescentes apparaissent, où la démarche du deuil s'enclenche, où la vraie vie devient possible.
C'est un roman étonnant, même si je reste sur ma faim. Car si j'ai trouvé un certain intérêt à cette narration décalée d'une période importante dans l'histoire de l'Irlande, je crois que j'en aurai souhaité un peu plus. Mais un peu plus cela a certainement déjà été écrit bien des fois !
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"On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans" clamait Rimbaud. James Lavery a justement ces 17 ans qui devraient lui ouvrir le domaine de l'insouciance et de la joie. Mais où est l'insouciance, dans l'Irlande du Nord en guerre, face à une mère alcoolique et à son amant lourdaud ? Où est la joie quand la mort de Conn Lavery, son père, ne cesse de hanter chaque instant ? Peut-être justement au creux de cette familiarisation avec la mort, que James recherche dans ses rêves éveillés ? Dans la solitude haïssable de l'adolescence, il quête les traces de Conn Lavery par-delà le temps, pour le faire exister encore un peu, pour qu'il l'aide à franchir la frontière entre enfance et âge adulte. "Collectionneur de morts", James s'invente des scénarii dans lesquels il remodèle la réalité à la mesure de son désir d'égaler ce père, mort pour l'Irlande, un héros, forcément un héros. le récit de ces fictions conclut chaque chapitre comme la séquence d'un film destiné à mieux digérer la réalité. L'intrigue dramatique est ténue : quel est le secret de la mort de son père ? Un secret si lourd qu'il fait obstacle au futur et à la vie.
"La déchirure de l'eau" est un roman de frontières qui se superposent pour n'en plus faire qu'une, à l'image de celle - bien réelle - qui passe tout près de la maison familiale entre Irlande protestante et Irlande catholique. Ces lignes de démarcation entre deux parties d'un même pays, entre vie et mort, entre réalité et fiction, sont autant de déchirures qui reflètent celles d'un être en devenir, celles du passage à l'âge adulte, à l'âge des choix.
Il me semble être restée sur la rive de ce roman d'apprentissage, simple spectatrice des rébellions de James. Malgré des passages très justes et authentiquement émouvants, le rythme lancinant donné par la construction narrative a engendré une certaine lassitude. Chaque chapitre alterne systématiquement la prise en charge du récit par un narrateur extérieur et les plongées, à la première personne, dans les séquences imaginaires de James. Il s'ensuit un manque de nervosité, que l'écriture (la traduction ?) ne parvient pas à dépasser. J'attendais davantage de tensions et de vibrations du traitement d'une telle thématique. Mais je suis demeurée étrangement indifférente aux personnages comme à l'intrigue. Une déception, donc, mais qui ne doit nullement présager de ce qu'éprouveront d'autres lecteurs !
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La Déchirure de l'eau est le premier roman de l'acteur Irlandais John Lynch. Ce livre m'a séduite. Décidément, j'aime la rentrée littéraire 2015 !

James Lavery a dix-sept ans. « Eclair scintillant d'un coup de couteau dans un ciel d'hiver, ses yeux bleus s'abreuvent au monde en longues gorgées méfiantes ». Il vit en Irlande du Nord, non loin de la frontière. C'est une époque où l'IRA est encore active, la vie quotidienne est ponctuée de contrôles d'identité, de bombes explosant dans les cafés et le long des trottoirs, les gens meurent au hasard, déchiquetés, la police débarque au saut du lit dans les maisons des catholiques, pour fouiller avec violence.

On découvre la vie de James par épisodes. La mère boit, et c'est souvent moche, en plus de la ronde des hommes qui passent et celui qui revient et puis qui s'installe, Sully, que l'adolescent déteste. James sèche les cours, il oscille entre repli sur soi et violence, hargne et incompréhension. Il se cherche ; et ne semble pas vraiment certain de vouloir se trouver.

La vie de James s'est construite autour de la mort de son père. Une mort brusque, une disparition, il avait huit ans. « Mort pour l'Irlande » lui dit-on. Mais « chut… ». Il est des absences tellement envahissantes qu'elles sont comme un lierre qui malmène et étouffe l'arbrisseau en devenir. Alors pour exister autour de ce silence hanté, James s'invente un monde imaginaire. Chaque chapitre, assez court, se termine par quelques paragraphes en italique, qui sont des scénarios de mort, des rêves, des histoires : « Parfois, j'interprète différentes morts pour mes copains. La plupart du temps, pourtant, je me contente de les penser. ». Une manière pour James d'exorciser les coups du sort, d'enjoliver le quotidien, de régler ses comptes. Souvent, ces passages sont un vrai régal. Poignants, émouvants, cocasses, jubilatoires, toujours surprenants, ils ont un souffle épatant. John Lynch a une plume aiguisée, un sacré talent, et la traduction est une réussite.

Ce monde imaginaire, cependant, on se demande par moments si James n'est pas en train de basculer carrément dedans. Car dans la vie du garçon, il y a comme un soupçon de fantastique, un frémissement de folie… Lorsqu'il plonge dans le théâtre et enfin existe, comme certains sortiraient la tête hors de l'eau pour respirer, je n'ai pas été surprise que ce soit en jouant « Vol au-dessus d'un nid de coucou » : atmosphère, atmosphère !

John Lynch nous promène également à la frontière de territoires assombris par les pires recoins de l'âme humaine ; des passages glauques, presque malsains… mais « presque » seulement, car toujours le récit glisse à nouveau vers la lumière. Il règle aussi ses comptes avec l'IRA, évoque les accointances patriotiques avec les nazis durant la seconde guerre mondiale, et ces jeux d'écoliers dans lesquels, encore longtemps après, les gentils étaient les allemands, parce que les méchants, c'étaient les anglais…

J'ai trouvé un indéniable parfum de Peter Pan à cette oeuvre. James oscillerait entre le Peter de John Barrie et celui de la bande dessinée de Loisel… Mais James, lui, va vouloir et réussir à embrasser l'âge adulte. Car la fin du livre est un bouquet final en forme de commencement, où les révélations du passé se combinent aux émotions d'un éveil à l'amour, pour briser toutes les chaines.

La déchirure de l'eau est une lecture belle, différente, exigeante, un livre que j'ai refermé avec une sorte d'éblouissement dans le coeur, oui, carrément. Un ton juste et sensible, une manière d'équilibriste dans la plume, un cri d'appel à la vie. Bravo… et merci !
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C'est un texte très curieux qui peut dérouter dans les premières pages mais qui accroche son lecteur malgré une réelle complexité.
C'est l'histoire d'un adolescent qui cherche à connaître la vérité sur la disparition de son père. Mais, c'est également et surtout une histoire de l'Irlande, pays magnifique qui ne cesse de se raconter, dans une multitude de couleurs, de sons, d'odeurs et de mémoires.
On retrouve ici ce qui fait la force des grands romans irlandais. C'est puissant et redoutable dans la description des sentiments et des errances de l'adolescence.
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A 17 ans, James Lavery ne connaît pas les joies de l'adolescence : il doit faire face à l'alcoolisme de sa mère et à l'atmosphère plombée de l'Irlande du Nord. A cette époque, les contrôles et les bombes sont monnaie courante. A la maison, la vie est difficile face à une mère lunatique qui s'apprête à installer à demeure Sully, son dernier amant.

Pour James, la nouvelle est difficile à accepter : il connaît peu de choses sur son père, sa mort pèse depuis des années sur le foyer familial et il a tant de questions en lui. Pourtant sa mère se mure dans le silence et James étouffe. le théâtre aide un peu l'adolescent, il quitte cette maison à l'atmosphère oppressante, se libère, s'extériorise.

Alors, face à ce père absent mais tellement présent, James cherche à savoir, il s'invente des histoires, des conversations, ... James nous les livre, à chaque fin de chapitre : apportant sa vérité ou réglant ses comptes dans de petits bijoux d'humour et de sensibilité. Peu à peu, il s'ouvre, entrevoit la vérité, oscillant entre l'adolescence et le monde adulte.


Dans ce premier roman, un récit initiatique, John Lynch navigue sans cesse entre ombre et lumière : le poids du passé s'y oppose à la vie qui s'éveille en James, la fiction se frotte à la réalité. Et Errol Flynn tresse des louanges au jeune James... Autour d'un adolescent perdu, en proie au questionnement, il nous offre ainsi un roman d'apprentissage tout en émotions et en délicatesse. Une belle découverte !
Lien : http://nahe-lit.blogspot.be/..
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La déchirure de l'eau
John Lynch
traduit de l'anglais (Irlande) par Richard Bégault
Le Castor astral
premier roman, 237p, 2005


En attendant de lire Les grandes marées de Jim Lynch, j'ai pris sur l'étagère le livre de son voisin, et je n'ai pas été déçue. C'est un livre écrit de manière poétique, avec délicatesse et pudeur. le point de vue est celui du personnage principal, à la troisième personne du singulier, un jeune homme de 17 ans, prénommé James, dont le père est mort, 9 ans plus tôt, pour l'Irlande. C'est ce qu'on dit. On le suit tandis qu'il grandit.
le fils ne supporte pas l'absence de son père, et il le voit presque de ses yeux comme un cosmonaute, ou vêtu d'un complet, ou d'un habit de lumière. Sa mère ne supporte pas davantage l'absence de son mari, elle boit, et ses rapports avec son ami sont extrêmement tendus, d'autant plus que James n'a que mépris pour lui. Sa tante aime et aide son neveu autant
qu'elle peut.
James se voit donner un rôle dans une pièce que dirige, en amateur, un de ses professeurs qui l'estime. Pendant qu'il joue, il ne pense pas à sa situation. Il fait une belle interprétation de son personnage.
Il goûte à l'alcool le soir de la célébration de la représentation ; il a bu jusqu'à s'oublier complètement, et a honte de ce qu'il a pu faire. Il connaît aussi l'amour, alors qu'il est en vacances, et qu'il a défié l'appel de la mort ou de la liberté.
Sa mère tente de se suicider, et il apprendra la vérité sur la mort de son père.
L'action se passe à la frontière entre l'Irlande des catholiques et celle des protestants, l'auteur décrit par touches les paysages, notamment celui de l'île, et aborde le caractère de l'Irlandais. Elle se passe surtout dans les sentiments du narrateur, maigrelet, perdu dans ses rêves, le mystère qui rôde autour de son père, et la solitude dans laquelle il se trouve enfermé.
le livre est divisé en chapitres qui correspondent à des moments de la vie de James, contés avec justesse et adaptation à l'âge de l'enfant et de l'adolescent, nous permettant ainsi de mieux saisir les personnages qui l'entourent, et ces chapitres ont la particularité de se terminer sur des lettres imaginaires que James écrit. Les dialogues sont menés avec la réserve qui caractérise la difficulté de communication. Les personnages sont très bien campés, le lecteur n'a pas de peine à les visualiser, peut-être est-ce dû à la profession d'acteur de John Lynch.
Ce roman d'initiation se lit avec émotion, et l'oreille bercée par la petite musique de coeurs qui souffrent et s'affranchiront de leur douleur.
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