Un palais d'épines et de roses

Cela fait très longtemps que je vois passer cette série et qu'elle m'intrigue. Les avis sont quasiment unanimes, ces livres valent le détour. Alors sur un coup de tête, j'ai acheté les 4 tomes d'un coup ! Erreur ou pas ? Je vous avoue que j'ai eu de sérieux doute à la lecture de ce premier tome. Voici pourquoi.

Suite à une petite erreur de jugement, Feyre voit sa vie basculer du jour au lendemain. Elle devient la prisonnière de Tamlin, un immortel. Pourtant elle se rend vite compte que ce n'est pas le monstre qu'il parait être et que sa nouvelle vie n'est pas si désagréable. Quelle malédiction ronge Tamlin et sa cour et comment peut elle les aider ?

Je n'ai pas pu m'empêcher pendant ma lecture de faire le parallèle avec « La belle et la bête », je n'aurai clairement pas du car même s'il y a beaucoup de similitudes, cette histoire est à considérer à part entière. L'univers plein de magie imaginé par l'auteure est complexe et riche. Peut-être même un peu trop au départ si bien que j'ai eu du mal à m'y repérer et donc à rentrer dans l'intrigue. Tout était confus dans ma tête, et de nouvelles créatures apparaissant régulièrement ce qui n'arrange rien. Rajoutez à cela que l'intrigue est bien trop lente à se mettre en place et vous comprendrez mon état d'esprit au début de cette lecture. Je m'ennuyais et n'arrivai pas à avancer. Plusieurs fois j'ai songé à abandonner mais les messages d'encouragement m'ont pousser à m'accrocher.

Franchement soyons honnête, il ne se passe pas grand chose et les personnages ne dégagent rien. Tamlin est bien gentil mais il est complètement lisse et passif. Feyre quant à elle est pleine de contradiction et j'ai eu un peu de mal à la cerner… Bref c'était vraiment pas la lecture que j'attendais. Mais tout à changer au milieu du roman, enfin de l'action. Et là ça envoie du lourd ! Impossible de lâcher ce livre à partir de ce moment là. Les choses bougent enfin, le mystère est levé sur la malédiction et un personnage particulièrement intéressant apparait. Un personnage complexe et ambivalent qui m'a tout de suite plu. J'ai d'ailleurs hâte de le retrouver dans les tomes suivants.

Un premier tome en demi-teinte. le dénouement épique m'a toutefois convaincue de continuer cette série ! A suivre…
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J'avais bien aimé (voire même adoré) ce premier tome lors de ma toute première lecture. J'ai voulu le relire pour me remettre dans le bain pour le second tome et hélas, ça l'a beaucoup moins fait cette fois-ci !

N'hésitez pas à aller sur le blog si mon avis vous intéresse :)

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Et une réécriture de la Belle et de la Bête, une !
J'ai toujours une petite appréhension quand je lis une revisite de conte, parce que cela peut donner du bon comme du très mauvais. Mais ici, l'autrice reprend la trame à sa sauce, en l'adaptant sans recracher bêtement l'histoire d'origine.

L'univers est un peu trop simple, mais agréable à parcourir. On a vite une idée globale de la situation du monde (ou en tout cas de deux pays) : les humains au sud, les méchantes-mais-en-fait-non-fées au nord, les vraies-méchantes-fées du pays voisin prêtes à tout conquérir. Comme j'ai lu le livre en anglais, cette simplicité ne m'a pas dérangée, bien contente de trouver mes marques rapidement. Et puis je ne peux pas résister à une histoire de fées...

J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, surtout à Feyre qui réunit toutes les cases de l'héroïne rebelle/courageuse/trop incomprise lambda de la mode YA. Sa famille doit détenir la palme de l'ingratitude et j'ai eu tendance à les détester au début, mais finit par être assez nuancée pour réserver des surprises, surtout Nesta que j'ai apprécié. Tamlin ne m'a pas spécialement interpellée, je l'ai trouvé un peu fade, même si sa romance avec Feyre n'est pas trop mièvre et plutôt bien amenée (mais je flaire le gros triangle amoureux avec Rhysand !).

Au niveau de l'intrigue, ça se tient et on ne s'ennuie pas. Si certaines choses me faisaient tiquer au début, elles trouvaient toutes ou presque une explication en cours de route.
Par contre, je n'ai pas aimé la fin. J'y ai trouvé trop de retournements de situation un peu grossiers (je n'ai même pas compris comment Feyre se retrouve transformée en Fae), et je me suis ennuyée durant les épreuves. (Elles appuyaient surtout pour moi le fait que Feyre n'a qu'un petit pois à la place de la cervelle et qu'elle a bien mérité ses mésaventures. Elle va bêtement sauver Tamlin sans l'ombre d'un plan et entre dans le jeu d'Amarantha et de Rhysand sans réfléchir un instant alors que les marchés sont passés de manière tellement évidente pour qu'elle n'ait pas la moindre chance de gagner dès le départ... Maiiiis, elle gagne quand même parce que l'autrice le veut et par le pouvoir du twist final...)

Bref, une lecture divertissante à laquelle j'ai trouvé de bons et de mauvais côtés.

Je me suis retrouvée absorbée par "Un Palais d'épines et de roses" dès ses premières pages et pourtant, en définitif, mon avis reste assez mitigé au sujet de ce livre... Je vais donc partager ma chronique en deux parties :

Premièrement, pourquoi se plonger dans "Un palais d'épines et de roses" ?

Eh bien!, j'ai été intriguée et touchée par le destin bouleversant de Feyre. Une jeune femme forte, qui n'aspire qu'à une vie paisible, mais qui se retrouvera malgré elle et cela dès sa plus tendre enfance, entraînée dans la pauvreté, auprès de ses deux soeurs aînées et d'un père ruiné. Malheureusement, ou devrais-je plutôt dire "heureusement pour elle", nous retrouvons cette jeune femme, l'unique source de revenus de la famille en pleine chasse de gibier au coeur d'une forêt enneigée et l'estomac tiraillé par la faim. Une chasse, qui changera - peut-être autant en mal qu'en bien - à jamais sa vie... Car que Feyre en soit consciente ou non, la roue venait de tourner pour elle, et cette jeune femme allait découvrir le pays des immortels et des faës, de ceux qu'elle avait depuis toujours craint et considéré comme des ennemis...
Et là encore, comment ne pas être intrigué par tout ça ? Car malgré les défauts de l'histoire que j'énumérerais plus tard, l'auteur a su astucieusement ajouter ce qu'il fallait d'intrigue, de suspense et de rebondissements pour me pousser à tourner les pages une à une jusqu'à la fin. Pour me retrouver malgré tout aspirée par cette histoire qui n'est pas sans rappeler la consonance du conte merveilleux de la Belle et la Bête que j'adore énormément.

Malheureusement, comme je le disais plus haut, "Un palais d'épines et de roses", n'a pas su entièrement me convaincre. Laissant flotter une légère frustration sur toute sa longueur qui s'allégea sur la fin, mais malheureusement pas suffisamment... D'où le deuxièmement et les points négatifs de ce livre que je n'ai pas su oublier :

1/ "Un palais d'épines et de roses" a eu tendance à traîner beaucoup trop en longueur, avec des scènes inutiles ou à rallonges. Tout en écourtant étrangement celles que j'aurais souhaité plus développées.
2/ En plus de sa lenteur, ce livre manque cruellement d'explications sur la nature des immortels, leurs différents "grades" et pouvoirs, ainsi que sur leurs façons de vivre. Car pour moi qui n'est pas une "experte" en Faës, tout ceci m'a légèrement perdu.
3/ Pour terminer, son histoire reste très TRÈS prévisible !


Ma conclusion ?

Si l'histoire d'Un palais d'épines et de roses a su se révéler touchante, ses personnages sympathiques et intrigants, comme tout particulièrement Tamlin, notre "Bête" de l'histoire. Il m'a manqué un petit quelque chose, un peu de fondations, de profondeurs, d'explications, pour pouvoir entièrement l'apprécier. Je ne le déconseillerai donc pas, car je pense qu'il peut trouver son publique, et je me laisserai d'ailleurs moi même sans doute séduire par le second tome, juste par pur curiosité. Mais étrangement, je ne le conseillerai pas non plus, parce que je n'arrive pas entièrement à passer au dessus de ma déception au sujet de ce livre.
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Une belle découverte.
Un univers fantasy riche et complexe dans lequel j'ai aimé suivre Feyre et les seigneurs Fae.
Il y a beaucoup de descriptions sur les paysages et l'environnement dans lequel évolue les personnages, qui nous permettent donc de bien se représenter cet univers emplit de magie.
Une 1ère partie qui met en place les éléments et le questionnement autour d'une malédiction.
Pour ma part, j'ai préféré la deuxième partie, plus intéressante en actions et révélations.

Quant aux personnages, désolée, mais je n'ai déjà pas adhéré aux membres de la famille de Feyre, qui sont dans la passivité, sauf Nesta qui est une peste et j'ai eu du mal d'ailleurs à comprendre pourquoi Feyre, avec son caractère, ne l'a pas envoyé ballader car elle reste beaucoup trop gentille.
On s'attache très vite aux autres personnages, et si Tamlin se fait plutôt discret, on ne sait pas trop ce qu'il fait, Lucien a un côté taquin agréable et reste un ami fidèle.
Cependant je trouve que leur personnalité n'est pas assez développée, il manque un petit quelque chose.
Amarantha, bien que détestable a une identité malsaine bien décrite et plutôt bien recherchée.
Petite parenthèse : bonne recherche de l'auteur pour l'énigme proposée à Feyre...
On sait dès la 1ère apparition de Rhysand que celui ci sera un personnage inévitable du récit, il prend une place de plus en plus importante dans la deuxième partie.
Cependant, sa dernière entrevue avec Feyre ne m'a pas convaincue, l'éclair de surprise qu'il a envers Feyre ne m'a pas semblé arriver au bon moment.

Ce 1er tome a tenu ses promesses de romance, d'aventure et de magie et m'a fait passer un bon moment.
J'ai hâte de découvrir davantage le personnage de Rhysand qui reste encore bien mystérieux.

J'ai découvert Sarah J. Mass avec sa série Keleana dont j'avais adoré les deux premiers tomes. J'étais impatiente de lire sa nouvelle série surtout qu'il s'agit d'une réécriture de la Belle et la Bête. Je ressors mitigé de ma lecture puisque si j'ai aimé la seconde partie, j'ai eu du mal avec la première que j'ai trouvé lente et avec laquelle je me suis ennuyée.

Dans la première partie du livre on découvre l'univers de l'auteure mais aussi l'arrivé de Feyre dans le monde des immortels. Il ne se passe pas grand-chose, je m'attendais à un peu d'action mais on découvre un nouveau monde en compagnie de notre héroïne, c'est lent et il n'y a pas beaucoup de personnage. On retrouve certain élément de la Belle et la Bête et c'est l'une des raisons qui a fait que je n'ai pas abandonnée ce livre.

J'ai donc eu du mal avec ce début et j'ai vécu les 220 premières pages comme une longue introduction. Heureusement, passé ce cap j'ai beaucoup plus apprécié ma lecture et je tournais les pages avec plaisir, plaisir de lire la suite. Nous avons des révélations, nous découvrons d'autres personnages et ENFIN il y a de l'action.

En ce qui concerne les personnages, j'ai aimé Feyre pour sa force et son courage, Tamlyn et sa cour avaient un côté mystérieux, je n'ai pas eu un énorme coup de coeur pour le personnage de Tamlyn mais cela n'en reste pas moins un personnage intéressant. J'ai adoré Lucien et sa touche d'humour mais celui qui m'a vraiment tapé dans l'oeil c'est Rhysand, ses apparitions m'ont marqué et c'est l'une des raisons qui font que je vais lire la suite.

Je vais donc lire la suite mais j'aurai beaucoup d'attente pour ce second tome. Ce qui me rassure un peu se sont les nombreux coups de coeur que j'ai pu voir pour la suite donc je ne désespère pas. Ce livre peut se lire comme un one shot même s'il est vrai que l'univers de l'auteure offre beaucoup de potentiel. A voir !

En bref :
C'est une lecture en demi-teinte. Si j'ai beaucoup apprécié la deuxième partie du roman, j'ai trouvé la première lente avec une intrigue longue à se mettre en place et avec laquelle je me suis ennuyé. Les dernières pages m'ont convaincue de lire la suite mais elle devra faire ses preuves.
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Feyre chasse dans la forêt proche du royaume des immortels pour nourrir sa famille de marchands ruinés. Elle tue un énorme loup qui se révèle être un immortel transformé. En punition, elle doit aller vivre au palais de Tamlin, le seigneur fae, maître du loup.
Sous des dehors de fantasy, ce roman est une réécriture du conte de Mme Leprince de Beaumont, le fae remplaçant la Bête et la Belle se révèle être une jeune fille teigneuse et combattante élevée dans la crainte et la haine des immortels.

Comme j'aime beaucoup des adaptations modernes des contes de fées traditionnels et la fantasy, j'ai aimé ce roman. Quand on connaît le conte original, l'intrigue perd au départ de son attrait mais l'auteure a réussi avec le cadre faerique et la levée de la malédiction à donner sa propre originalité au roman.
Cependant, je n'ai pu m'empêcher de me faire cette remarque : si Feyre avait été un hobbit, il n'y aurait pas eu de suspens quant à la résolution de l'énigme d'Amarantha, ni d'épreuves à réussir pour lever la malédiction de Tamlin, les habitants de la Comté adorant ce genre de devinettes et passant leur temps à inventer.

Il faut ajouter que la relation entre Feyre et le seigneur fae au coeur du roman n'est pas exempte de clichés : la scène nocturne entre Tamlin et Feyre est digne d'un roman de bit-lit; de même que leur jeu d'attirance/répulsion ou l'apparition du rival ténébreux à souhait.

Au final, on a un conte fantasy pour grands enfants avec quelques références celtiques.

A partir de 15 ans

# Un conte de Faes
- Il était une fois…

À ceux qui ne le savaient peut-être pas, Un palais d'épines et de roses est une réécriture du conte La Belle et la bête. Pas la peine de ressortir votre magnifique VHS de 1994, je vous parle ici de l'histoire originelle écrite par Madame de Villeneuve – que vous pourrez en revanche reconnaître en partie dans l'adaptation de 2014, que je vous recommande d'ailleurs !

En plus de s'inspirer de l'intrigue de base, l'auteure s'amuse également à reprendre (efficacement) les codes du conte. Une situation initiale, une quête, un élément perturbateur, des épreuves à remporter : tout est là ! Cette approche de l'écriture, j'adore ! Je me suis retrouvée dans mes lectures d'enfant et ai été emportée dans cet univers débordant de magie.. et de créatures fantasques.

Ce type de narration a un autre avantage : il ne peut s'apparenter à des facilités d'écriture. Construits de cette manière, les évènements semblent parfaitement cohérents et s'intègrent à merveille à l'histoire. Vous ne vous direz donc pas que l'auteure manquait d'imagination pour créer les rebondissements de son livre mais, qu'au contraire, elle respecte à la perfection la forme que vous affectionnez tant. Les amitiés que Feyre lie et les coups de pouce qu'elle reçoit sont donc parfaitement justifiés.

- Une version remastérisée

Les réécritures, c'est bien. Mais le réchauffé beaucoup moins. Aussi, j'avais peur d'être confrontée à une pâle copie de cette romance que j'adore. Mais, à ma grande surprise, il n'en est rien ! Sarah J. MAAS s'appuie sur le conte d'origine pour créer les fondations de son histoire, le reste n'apparaît que par clins d'oeil. En cinéma, ils appellent ça un reboot. On garde la même tram sans pour autant reproduire les détails à l'identique. Ici, c'est pareil. Par moment dans la lecture, vous vous ferez la remarque : « Eh, mais ça me rappelle quand… ». C'est subtil et c'est super cool.

La suite sur le blog : https://krambolage.wordpress.com/2017/11/02/palais-epines-roses-sjmaas/
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Les trois premiers quarts m'ont parus lents et trop peu intéressant. le dernier quart rattrape le tout ! J'ai énormément apprécié cette dernière partie, ne voulant plus lâcher le livre. Malgré tout ce premier tome reste très déséquilibré et c'est très dommage... J'espère que la suite restera dans la dynamique de la dernière partie. Même si les personnages sont un poil cliché ils sont attachants.
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Bilan en demi-teinte pour cette lecture.

Après un début plus que prometteur, avec une atmosphère sombre et lugubre, on passe peu à peu dans une histoire convenue, une histoire d'amour dont on connaît déjà les tenants et aboutissants.

Je remercie Babelio et les éditions de la martinière pour m'avoir permis de recevoir ce roman dans le cadre de Masse critique. Il me faisait de l'oeil depuis très longtemps quand je le voyais en librairie. Et je suis quand même contente d'avoir pu le découvrir.

Il s'agit d'une réécriture du conte de la belle et la bête. Ici la bête est un grand seigneur Faë du royaume de Prythian. Il enlève notre héroïne afin d'honorer un traité ancestral. Feyre a commis le sacrilège irréparable de tuer un Faë qui avait l'apparence d'un loup. Pour sauver sa vie, mais également assurer la pitance de sa famille, elle n'a pas hésité à décocher la flèche mortelle. Dès ce jour, son destin est scellé. Elle devra passer son existence dans le royaume de Prythian, entourée des Immortels, ces êtres qu'elle hait aveuglément.
Ce premier tome est consacré à sa découverte du monde de Prythian, ses fêtes aussi déroutantes qu'extraordinaires, ses créatures aussi divines que diaboliques. Elle, simple humaine, devra trouver sa place, et ne pas se faire remarquer pour rester en vie.
Mais voilà, c'est une héroïne stéréotypée au possible, qui a toujours le chic pour mettre les pieds dans le plat et son insouciance sans limite la pousse vers les pires situations.

Pour ce qui est du bestiaire croisé dans cet opus, je reconnais que certaines créatures m'ont donné froid dans le dos. Je n'aimerais pas tomber sur l'Attor ou le Suriel.. malgré le caractère très intriguant de ce dernier. de ce côté là, c'est donc réussi.
Dommage que le reste soit un peu trop convenu et prévisible. La rencontre avec Amarantha n'a rien de stupéfiant non plus.
En revanche, le caractère sanglant de ce livre nous change clairement de la fantasy young-adult habituelle et n'est peut-être pas forcément à mettre entre toutes les mains.

J'ai quand même passé un moment de lecture agréable, mais je ne sais pas encore si je lirais la suite...