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Je ne savais pas à quoi m'attendre en lisant le livre dont je vais vous parler. « La psychose » est rarement abordée en littérature Africaine c'est pourquoi le titre du livre à titiller ma curiosité. Pour la première fois, j'ai eu du mal à différencier l'auteur de son personnage qui raconte ici son histoire. Et j'avoue je me suis surprise à m'écrier « Il est complètement taré ce type » et je ne sais pas si je m'adressais à l'auteur ou à son personnage, c'est pour vous dire.

L'histoire suit un enfant de la rue devenue adulte. Pour survivre dans son environnement hostile, il a dû se battre, mais pas toujours de la bonne manière et bien souvent sans regret. Grégoire finit par conclure que le seul moyen de devenir « quelqu'un » c'était d'égaler son idole et grand maitre Angoualima qui n'est rien d'autre qu'un meurtrier et un violeur. Un être infâme dont il admire les exploits jusqu'à se faire passer pour lui. Grégoire voulait être comme son idole, susciter peur et admiration. Mais on constate au fil de l'histoire que c'est un gros loser ce qui rend le tout comique malgré la noirceur de l'histoire.

Dans ce livre, on retrouve les dérives de la jalousie, la frustration, et l'hypocrisie de la société ayant le gout du macabre : Les faits d'un tueur attirent davantage l'attention que des actions menées dans l'intérêt commun. Certains passages du récit étaient redondants, et parfois trop longs, mais j'ai bien ri à certains moments. Mais je ne le relirai pas deux fois .
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Aurait du s'appeler African Anti-psycho, parce que le personnage principal est plus un pied nickelé qu'un Patrick Bateman bis, puisque la référence à Easton Ellis est claire...
On apprend un peu des moeurs locales, et c'est un peu drôle. Mais... Mouais... Faut dire aussi, à la base, je n'aime pas Brett Easton Ellis et y a quelque chose d'inexplicable que je n'aime pas en Alain Mabanckou.
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Histoire africaine sur l'Afrique. On a vite envie de découvrir la suite, que va t'il arrivée à Germaine? Comment?
C'est bien écrit, simple mais efficace, on sent bien l'atmosphère du Congo-brazza et le Congo d'en face.
Un peu tiré par les cheveux par moments, et tout un paragraphe un une seul phràse, un peu long. Bon livre de divertissement, ce lit vite. C'est mon premier de l'auteur, je ne remuerai pas ciel et terre pour en lire un autre tout de suite, mais pas contre l'idée d'en relire un autre.
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Le narrateur est sérial killer, grand admirateur d'Angoualima, sérial-killer très réputé du quartier de Celui- qui-boit de-l'eau -est un idiot.
Beaucoup de verve pour suivre son itinéraire, sa vision des choses, ses actes contrariés.
Plein de verve assez bien écrit mais moins bon que verre cassé à mon sens même si sa lecture est agréable.
Assez ironique et prenant toutefois.
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C'est un livre facile à lire, je l'ai dévoré en 3 jours, je trouve que l'auteur a su mettre le lecteur de le contexte culturel du pays, dont il ne cite pas le nom, mais qui se trouverait forcément en Afrique Centrale. le choix des personnages est très bien fait, l'histoire est plutôt intéressante grâce un humour noir, que l'auteur a su jouer avec tout au long du récit. Toutefois, j'ai trouvé que dans certains passages, il y a eu une certaine redondance au niveau des péripéties, et surtout beaucoup de phrases longues qui pouvait vider le récit de sa vraie substance.
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