Du Média 1000 classique dans son concept : une jeune femme ingénue se découvre un plaisir coupable en compagnie d'une autre donzelle beaucoup plus délurée qui l'entraînera toujours plus loin dans le vice.
C'est gras, pas finaud, prévisible dans son schéma initiatique, mais ça te donne ce que tu es venu chercher : du cul à foison autour d'une thématique bien précise. Pour le coup,
Frédéric Mancini a ouvert les vannes pour se lâcher à fond les ballons. J'ai lu d'autres titres de lui que j'avais trouvés barbants (Dogging et
Fucking Machines), mais là c'est festival ! du pur délire, encore moins réaliste que du Brazzers, avec une maladresse de plume qui confine au cocasse, le tout donnant une espèce de pornographie sous acide, quelque part entre
Tex Avery et Nanarland. J'ai été plié de rire du début à la fin.
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