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Se remettre d'une apocalypse, surtout provoquée par l'Homme est un exploit mais qu'en est-il lorsqu'une deuxième arrive et qu'un virus essaye de tout décimer sur son passage ?

Second humanité nous plonge directement au coeur de l'intrigue où un virus commence à s'étendre rapidement et violemment. César scientifique est donc soupçonné et va tout faire pour essayer de stopper l'épidémie.

Lors de cette lecture, nous ne pouvons échapper au style de l'auteur. Toute personne est plus ou moins sensible à certains mais j'avoue avoir été très déstabilisée par celui-ci. Je l'ai trouvé étrangement lourd ou maladroit à certains moments. Et pourtant après avoir lu quelques pages des autres livres de l'auteur, je peux dire que ça ne va qu'en s'améliorant. J'ai carrément été plus happée par la fin du récit ou ses deux autres romans qui laissent transparaître une certaine fluidité.

En revanche, nous ne pouvons retirer à Adrien Mangold qu'il maîtrise son univers et nous plonge dans un post apo assez fascinant. Les océans ayant recouvert toute la Terre, seules 5 cités subsistent dans de très hautes tours. Franchement, j'aurais énormément aimé en savoir plus sur celles là car c'était fascinant ! Et pour en savoir plus sur celle-là, c'est sans compte sur la touche d'originalité apportée au roman !

Ici, Cesar va découvrir un récit. Et donc dans Seconde humanité ce n'est pas seulement un livre que nous lisons mais un livre dans un livre (ça sonne un peu livreception !). C'est d'ailleurs un passage que j'ai énormément aimé découvrir car ça apportait beaucoup de profondeur au roman.

Etonnament, j'ai d'ailleurs été très attachée à tous ces personnages que ce soit ceux de l'intrigue principal, que de ce récit-ception. On ne les découvre pas en profondeur mais cela est totalement normal puisque ce n'est que 400 pages séparées en 2 timelines. Et pour le coup, ça ne m'a pas du tout dérange car ils étaient tous plus ou moins intéressants !

En revanche, tout ce qui tourne autour de ce virus m'a laisser de marbre. Ce qu'il faut savoir c'est que c'est un récit divertissant sans pour autant aborder profondément la cause virale. En effet, j'ai trouvé les explications de propagation du virus, la fin, ou même l'intrigue secondaire très superficiels et j'ai donc eu du mal à "croire" à tout ça. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de facilités dans ce roman et c'est ce qui pêche le plus selon moi.

Pour conclure, ce n'est clairement pas un mauvais roman. Il est vraiment sympa à lire et divertissant mais en 400 pages dont la moitié est un "autre livre" il est compliqué de vraiment approfondir le tout. J'avoue ne pas avoir été réceptive à cette fin ni aux explications abordées. En revanche, le récit au milieu du récit était vraiment super intéressant mais avec une connexion à l'intrigue principale qui me laisse encore perplexe. L'univers reste vraiment sympa et on sent une net évolution dans la plume de l'auteur qui est fort agréable à lire. C'est donc vraiment à prendre comme une lecture pas prise de tête, qui nous entraîne dans un univers au background intéressant.
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Le début d'un roman offre toujours une première impression de celui-ci. Dès les premières pages de Seconde Humanité, je dois avouer que j'ai été subjuguée par la toute première scène. Je ne la décrirai pas afin de ne pas spoiler, mais elle est vraiment très bien rédigée et emplie d'émotions alors qu'on ne connaît même pas encore tous les personnages de l'histoire. On y rencontre César, un scientifique, qui doit gérer les conséquences d'un virus échappé de son laboratoire. Je ne vais pas vous cacher que lire cette histoire en pleine période de confinement fut une sacrée expérience. Si j'avais été plus attentive au résumé, peut-être l'aurais-je gardé pour plus tard. Pourtant, malgré la situation anxiogène, j'ai vraiment réussi à me plonger dans cette lecture auprès de personnalités fortes, munie d'un scénario bien ficelé. le tout ancré dans un concept original : l'idée d'un livre dans un livre. Eh oui, parce que notre cher César doit trouver une solution pour guérir ce virus. Durant ses recherches, il tombe sur un manuscrit un peu spécial qu'il décide de parcourir… Et nous, lecteurs et lectrices, sommes embarqués avec lui dans une toute autre histoire mouvementée.

Sans trop en dévoiler, je dirais que le scénario coupé en deux parts distinctes forme un tout cohérent. Dès le commencement du second récit, on sent qu'il existe un lien entre la situation actuelle vécue par César et les péripéties des personnages de Par-delà les montagnes, et bien plus loin encore (le titre du roman dans le roman). Si je dois soulever un point négatif (le seul !) qui ne tient qu'à moi : les transitions. Même si l'auteur a très bien structuré ses deux parties et qu'il a coupé où il fallait, j'ai éprouvé des difficultés à passer d'une histoire à une autre. Lorsque j'ai quitté César pour découvrir Matis le Sélénite, j'avoue avoir eu du mal à me plonger dedans. Ce nouveau personnage ne me disait rien, et le changement de police d'écriture a chamboulé ma lecture. Ayant une très mauvaise vue, je la trouvais même plutôt inconfortable. Ceci dit, je le redis : ça ne concerne que moi. D'un point de vue objectif, les transitions sont bien gérées et la typographie ne m'a pas empêché de passer un excellent moment au final. D'ailleurs, quand je suis arrivée à la fin de Par-delà les montagnes, et bien plus loin encore, j'ai ressenti un vide après avoir versé ma petite larme et j'ai eu du mal à revenir à la première histoire. le roman que lit César m'a touchée. Peut-être pas autant qu'à lui, mais il ne laisse pas indifférent, c'est évident. On peut même dire que l'auteur, impitoyable, sait comment s'y prendre pour triturer nos sentiments et jouer avec nos nerfs. Toutefois, il ne manque pas de messages et de valeurs à véhiculer, notamment par le personnage de Pino. Selon moi, ce récit souligne les défauts de l'humanité, les erreurs qu'elle peut commettre et ce qui la mène à sa première chute dans l'histoire de ce roman. Il évoque la guerre, la résilience, la reconstruction. Un monde sans pitié où existe une dernière once d'espoir, représentée sous la forme d'un Arbre particulier.

Si le scénario est plaisant à découvrir, j'ai surtout été charmée par la plume de l'auteur. le texte recèle de beaucoup de descriptions poussées et de formulations raffinées, ce qui ne fait que renforcer la qualité littéraire du récit. Des figures de style maîtrisées parsèment cet ouvrage excellent. Même si je n'ai pas lu une tonne de classiques, il m'est arrivé de me plonger dedans – ces oeuvres d'un autre temps – et de visionner des films cultes (comme Metropolis). Outre la modernité présente dans ce récit qui fait échos à l'actualité, je le trouve presque similaire à ces lectures ancrées dans le passé. L'écriture soutenue épouse parfaitement l'intrigue dont elle conte l'histoire avec une fluidité et une technique non négligeables. J'ai trouvé la plume de l'auteur très poétique, voire onirique. Certains passages nous plongent dans une autre dimension, plus proche de l'irréel, de l'inexplicable. de plus, certaines descriptions et pensées relèvent plutôt de l'imaginaire et du rêve que de la réalité. Il s'agit du point fort de cette histoire de virus à première vue anodine : l'auteur sait conter en surprenant, torturant, émouvant. C'est un livre qui ne touche pas que l'esprit. Il touche le coeur aussi.

Il m'a été difficile de m'attacher aux personnages au début. Comme dit plus haut, nous débutons l'histoire sur César Séfria et, même si son sort n'est pas des plus joyeux, ce n'est pas le personnage qui m'a le plus ému. Il m'a fait ressentir quelques émotions, une petite montée de tristesse à un moment particulier sans toutefois parvenir à me bouleverser autant que l'ont fait Pino, Matis, Sarah et Lazaro. Je ne vais pas trop m'étaler sur eux parce qu'ils sont au coeur de l'intrigue de la partie noire du roman. Cependant, je voudrais souligner que, même si j'ai eu du mal à apprécier Matis et Lazaro, le courant est tout de suite passé avec Sarah. Plus difficilement avec Pino au début. En terminant de lire leurs aventures, j'ai versé ma petite larme et pris conscience que j'avais aimé les suivre, connaître leurs pensées, leurs espoirs et leurs peurs. Ils m'ont tous les quatre affectée à leur façon (même Pino !), et c'est le coeur lourd que j'ai refermé Par-delà les montagnes, et bien plus loin encore pour revenir à la narration de César Séfria afin de connaître le dénouement de cette situation catastrophique. En ce qui concerne Pino, Matis, Sara et Lazao, leur bravoure et leur dévotion sont admirables. J'ai adoré les relations qui se sont créées entre certains d'entre eux, l'évolution de ces quatre individu que rien n'était destiné à rassembler et qui, pourtant, représentent l'espoir de la Seconde Humanité.

La fin du roman clôture bien l'histoire générale. D'ailleurs, on peut même parler de deux conclusions différentes : celle de Par-delà les montagnes, et bien plus loin encore et celle du roman tout court. La première m'a plus touché que la seconde, comme vous avez pu le remarquer. Ceci dit, l'auteur a très bien terminé Seconde Humanité en restant cohérent et logique avec ses idées, sans pour autant fermer entièrement les portes de son univers. Je ne parle pas ici de cliffhanger. le roman n'en contient pas, étant un one-shot. Toutefois, on sent qu'Adrien Mangold n'a pas fini de nous conter des histoires du même style. Et, pour ma part, Seconde Humanité m'a donné envie de lire ses prochaines publications !

Grosso modo, Seconde Humanité plaira sans aucun doute aux amateurs et amatrices de science-fiction ! Si vous appréciez les personnages forts et emblématiques, peut-être la mise en abîme de cet ouvrage original vous chamboulera autant qu'elle l'a faite avec moi. La plume de l'auteur, soutenue, reste très accessible. Un ouvrage qui pousse la réflexion beaucoup plus loin sur notre monde et l'humanité toute entière. Je vous recommande cette lecture et cet auteur au grand potentiel dont j'ai hâte de découvrir les prochaines sorties !
Lien : http://papillonvoyageurblogl..
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Le concept de "livre dans le livre" avait piqué ma curiosité et avec les avis positifs autour, il fallait que je le lise.

Malheureusement, je suis passée à côté de cette lecture.
Même si j'étais prévenue que le contexte du roman était celui d'une pandémie dans un monde post-apo et si on a fait plus joyeux comme thématique, j'ai trouvé les symptômes de celle-ci assez hardcore, ce qui m'a rendu le début de ma lecture assez inconfortable, combiné à certaines petites choses qui ne me paraissaient pas très logiques, comme l'origine de la contamination.

Cependant un fois dans l'histoire j'étais quand même bien accrochée par l'intrigue et l'envie de savoir comment l'auteur allait mener sa barque, c'est là que le carnet entre en jeu.

L'idée était vraiment originale mais je ne me suis pas sentie investie dans ce récit là, d'autant plus que je n'ai pas bien compris quelles étaient les connexions et révélations pour lutter contre le virus.
Le fait que je me mélange les pinceaux entre les personnages et la temporalité n'a pas aidé non plus, j'ai eu du mal à distinguer qui appartenait à telle ou telle faction avec le chassé croisé lancé dès le départ, et le contexte qui est resté assez flou.
Au final je n'ai pas saisi les tenants et les aboutissants de cette "histoire dans l'histoire", pour répondre à la pandémie.

En fait mon ressenti est qu'il y avait plein de bonnes choses, plein de pistes hyper intéressantes, mais j'ai eu l'impression que ces dernières étaient laissées de côté ou trop vite survolée, en même temps chaque partie fait tout juste 200 pages, pas évident de donner du corps à une fresque humaine avec en sous marin une trame aussi dense.

En Bref: Une histoire originale, divertissante, avec de l'action, mais qui m'a donné l'impression de me trouver devant la face émergée d'un iceberg, tout en me laissant de glace quant au destin de ses personnages et de l'humanité.
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Au hasard d'un salon geek et pop culture je suis tombée sur le stand des éditions HsN… ni une ni deux j'ai été conquise par le pitch d'Adrien Mangold concernant son premier roman Seconde Humanité. Et cela a duré !
Gros coup de coeur pour cette oeuvre! La mise en abyme est intelligemment amenée, l'univers est incroyablement précis et décrit, l'action ne manque pas et l'intrigue est prenante au possible !
La plume reste soutenue , mais nourrir ses lecteurs de cette manière si dense et qualitative invite au respect total pour l'auteur.
Merci pour cette lecture qui aura marqué un tournant dans ma vie de lectrice, me permettant de découvrir un auteur formidable et une ME qui l'est tout autant.
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Année 100 après le Grand Bleu, c'est-à-dire la catastrophe écologique qui a vu les terres recouvertes par les Océans et fait des milliards de victimes, un virus s'échappe d'un laboratoire et contamine la population à une vitesse stupéfiante. Les gens décèdent en 72 heures, dans d'atroces souffrances. César Sefria, directeur du laboratoire, qui venait tout juste de se marier perd sa femme. Pas le temps de faire son deuil il est accusé d'être responsable de la pandémie et chargé de trouver un antidote. A court d'idées, il lit un manuscrit qui raconte comment s'est passé le Grand Bleu et présente le destin de quatre personnages, espérant y trouver la clé qui lui permettra de sauver le monde.

Ce récit regorge de trouvailles, qu'il s'agisse d'architecture, de mode de vie ou de personnages. Au risque de s'y perdre, d'autant plus que les péripéties ne manquent pas. de plus, le choix d'insérer en plein milieu de l'histoire un autre récit qui a lieu 100 ans plus tôt fait complètement perdre de vue l'intrigue principale. le tout paraît confus, d'autant plus que le roman est desservi par une langue maladroite, parfois ampoulée, avec des erreurs de concordance des temps et des fautes d'orthographe inadmissibles, comme celle d'écrire "chaire" pour la chair et les os.

Lien : http://usine-a-paroles.fr/le..
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Seconde humanité est un roman à la construction atypique proposant une histoire aux temporalités multiples. Si l'une de ces temporalités n'est que relatée par des passages en italique en début de chapitre, deux autres se partagent à parts égales le récit, avec, concrètement, un livre dans le livre qui nous relate une autre histoire, qui se déroule près de 100 ans plus tôt que le récit que nous suivons. Et pourtant, on ne s'y perd pas absolument pas, les récits étant liés les uns aux autres et représentant une fresque assez épatante de notre société et de son avenir. Cette mise en abime est tout simplement passionnante! Adrien Mangold alterne ainsi avec brio un monde en quête de reconstruction avec un nouvel apocalypse. Et ce faisant, l'auteur nous offre un univers extrêmement [...]

Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be!
Lien : https://yuyine.be/review/boo..
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= Un livre dans un livre. =

Aujourd'hui est le plus beau jour pour Lucie et César Sefria, ils se marient.
Tandis que la fête bat son plein, un coursier essaye de joindre César pour lui apporter un colis d'une très haute importance.
L'esprit aiguisé du scientifique sait que c'est important, il quitte la fête quelques instants et va chercher son colis au parc Solaris.
Il revient et quelle joie de voir son meilleur ami Samuel arrivé en compagnie d'un invité surprise qui n'est autre que Cloud Octavia, le filleul de Samuel.

Cloud venait juste de visiter le laboratoire de César invité par Samuel, mais quelques minutes d'inattention et une maladresse vont se révéler très grave.
Grave au point de créer une pandémie qui a le pouvoir de détruire toute cette seconde humanité.

Ce roman de science-fiction poste apocalyptique va emmener son lecteur sur une terre qui après la Grande-Bleu, ayant détruit notre monde actuel, est devenue la seconde humanité.
Une période prospère de l'humanité où les mégalopoles et les Octavians se déclarent la guerre. Une guerre qui deviendra la plus meurtrière de cette époque.

‘‘-…épidémie s'est déclarée dans le centre de Logosme. En moins de vingt-quatre heures, les forces médicales ont comptabilisé plusieurs dizaines de cas. de nombreux autres continueraient d'affluer dans les hôpitaux alors que la souche du virus est encore inconnue. Nous savons seulement qu'elle proviendrait du laboratoire Sefria.'''
César qui sera en même temps jugé coupable par la population comme étant l'instigateur, sera aussi considéré comme le seul homme à pouvoir enrayer cette maladie et sauver la seconde humanité.
Mais réussira-t-il ?

A travers ce roman, le lecteur découvrira des personnages étonnants, un soldat et une fillette dont l'histoire ne pourra que toucher son lecteur par sa tendresse.
Une intrigue dont le maître mot est ‘‘action, action, action''

Format original, dans cette oeuvre se trouve un autre livre. Un livre dans un livre, qui permet au lecteur de mieux comprendre l'histoire et à César de peut-être sauver la terre.

Une plume efficace, une histoire qui tient le lecteur en alerte.
Un auteur à découvrir.

Lien : https://livresdeblogue.blogs..
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Ce roman a la particularité de posséder un "livre dans le livre". En effet, le lecteur a la possibilité de lire le manuscrit en même temps que le personnage principal. Celui-ci est présent dans les pages centrales du livre et est visuellement très différent du reste de l'ouvrage. C'est donc quelque chose que j'ai particulièrement apprécié.
Malheureusement c'est une lecture que j'ai abandonnée. En effet, je n'arrivais pas à comprendre les choix du héro, sans doute trop éloigné de ma propre vision des choses. J'ai tout de même continué ma lecture jusqu'au "livre dans le livre" mais il était sans doute déjà trop tard, je n'arrivais plus à me replonger dans l'histoire. J'ai donc préféré arrêter ma lecture.
Cependant j'aimerais souligner la qualité de l'ouvrage ainsi que son visuel. En effet, j'ai beaucoup aimé la couverture et l'intérieur de celle-ci est tout aussi belle et travailler (je laisse les plus curieux d'entre vous la découvrir s'il vous prend l'envie de lire ce livre).
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La petite histoire
Nous sommes sur Terre après une apocalypse qui a provoquée la montée des eaux et la disparition d'une grande partie de l'humanité qui s'est réfugiée sur des îles verticales artificielles ou dans des cités sous-marines. Nous suivons deux temporalités : deux récits reliés par un manuscrit. Deux moments charnières, l'un se passant lors d'une épidémie virale et l'autre bien plus tôt avec un événement tragique.
Mon ressenti
J'ai apprécié de découvrir les deux histoires parallèles qui apportent de l'originalité et de la profondeur aux récits. Je me suis attachée aux personnages même ceux pour lesquels j'ai eu une aversion dès la rencontre. L'émotion est là et j'ai aimé découvrir au fur et à mesure les tenants et les aboutissants des intrigues. le rythme est soutenu et les points de vue permettent d'appréhender cette Terre futuriste exsangue et les lois qui la régissent.
Des échos avec notre société éclairent sur l'obscurité et l'asphyxie à venir, mais sans être anxiogène, l'action prenant le pas sur l'angoisse. En bref, une découverte qui apporte réflexion, émotions et plaisir de lecture avec l'enchâssement des récits.
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Pour mon premier roman des éditions de L'Homme sans nom, je commence très bien avec ce post-apo et ce virus qui décime l'humanité.

J'ai bien aimé les personnages, Séfria et Pino en particulier. L'univers de cette Terre où les eaux montent au point d'envisager la vie sous les océans et les mers. L'intrigue autour du virus. le livre dans le livre a été un régal et à permis de comprendre le passé qui nous a mené à cette pandémie.

Petit bémol pour certaines explications manquantes à mon goût mais ça ne change rien à l'intrigue qui est très prenante et cela n'a pas enlevé le plaisir de ma lecture. Je me dis que peut être on aura des réponses dans Prototypes qui se passe dans le même univers.
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