L'art assyrien et égyptien sous la domination des prêtres resta stationnaire, toujours le même, sans progrès comme sans décadence. — Il en fut ainsi de l'art grec pendant son premier âge ; il en fut ainsi de l'art français tant que nos artistes travaillèrent dans les cloîtres, et faisaient de l'art par ordre, sans concurrence et sans critique. Il n'y avait pas de progrès et l'avenir semblait impossible.
L'art grec n'a pas eu d'égal, l'art français a toujours conservé ses qualités de vérité et d'élégance, il a survécu à toutes les invasions en se maintenant quand même poli, spirituel, et toujours grand dans sa composition.