Les enquêtes de Roderick Alleyn : Le jeu de l'assassin

Une enquête à huis clos, digne d'un roman d'Agatha Christie !
Ce roman n'est autre que la première enquête (d'une longue série...) écrite par Ngaio Marsh et rééditée par les éditions L'archipel 🥰.

Tout commence par l'invitation d'un petit groupe de personnages à une murder party : "le jeu de l'assassin", sorte de Cluedo géant. Mais parfois réalité et jeu se mêlent. Lorsque l'un des leurs est retrouvé poignardé, la réalité rattrape le jeu et l'inspecteur Roderick Alleyn vient mener l'enquête !
Chacun des invités semble avoir une raison valable: infidélité, bratva (mafia russe), héritage...
L'intrigue se met en place rapidement. Et nous suivons le déroulement de l'enquête de l'intérieur auprès de l'inspecteur Alleyn.

Un cosy murder qui tient toutes ses promesses.
Vous ne pourrez qu'apprécier cette série prometteuse dans laquelle déduction et humour britannique forment un mélange détonant qui tient en haleine
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Ce tout premier tome des aventures du policier Alleyn est très décevant.
Il est ici réédité avec un nouveau titre et une nouvelle couverture.
Ayant lu une dizaine de titres de cette série, j'ai trouvé que dans celui-ci il n'avait pas encore de personnalité, alors qu'il a certaines caractéristiques bien particulières dans les suivants.
Un homme invite des amis à venir passer le week-end chez lui et il leur propose une « murder party », mais au cours du week-end, un invité sera assassiné « pour de vrai ».
L'enquête policière est assez embrouillée, avec de fausses pistes qui m'ont un peu perdue, surtout par ennui, et un coupable finalement assez attendu.
Les volumes suivants sont bien plus intéressants, plus drôles et plus fins.
Si celui-ci ne vous a pas convaincu, laissez-vous tenter par les suivants, ils sont bien meilleurs.

Ce tout premier tome des aventures du policier Alleyn est très décevant.
Ayant lu une dizaine de titres de cette série, j'ai trouvé que dans celui-ci il n'avait pas encore de personnalité, alors qu'il a certaines caractéristiques bien particulières dans les suivants.
Un homme invite des amis à venir passer le week-end chez lui et il leur propose une « murder party », mais au cours du week-end, un invité sera assassiné « pour de vrai ».
L'enquête policière est assez embrouillée, avec de fausses pistes qui m'ont un peu perdue, surtout par ennui, et un coupable finalement assez attendu.
Les volumes suivants sont bien plus intéressants, plus drôles et plus fins.
Si celui-ci ne vous a pas convaincu, laissez-vous tenter par les suivants, bien meilleurs.

J'ai adoré ! Agatha Christie est évoquée et c'est vraiment le sentiment que j'ai eu en lisant ce livre.
Le début est un peu comme une enquête un peu à huis clos avec un nombre déterminé de suspects. le raisonnement déductif va occuper une place prépondérante pour la résolution du mystère.
J'ai eu un peu de mal avec les personnages et leurs noms russes ou bristish 🙈 mais après quelques pages on peut bien situer les différents protagonistes.
Et j'ai été surprise jusqu'à la toute fin ! C'est exactement ce que je cherchais dans ce livre !
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Agatha Christie tout le monde connait mais connaissez vous Ngaio Marsh, une sacré concurrente en tous les cas. Et aussi prolifique en plus.
Dans un style un peu différent, j'ai ressenti le même plaisir que pour les intrigues d'Agatha, donc les fans pas de soucis à avoir si vous avez tout lu de la première, vous avez de quoi encore et encore savourer des enquêtes policières so british.

Pour un premier tome, je dirais que malgré quelques bémols, le potentiel est là. Ngaio Marsh prend le temps de créer d'authentiques personnages, probablement bien ancrés dans l'air du temps. L'inspecteur qui va devenir donc récurrent au fil des tomes m'a été d'emblée sympathique et je le retrouverai volontiers pour la suite de ses aventures. D'ailleurs j'espère en savoir un peu plus à son sujet, il me semble bien mystérieux ce cher monsieur.

Je me suis vite imprégnée de l'atmosphère des années 30, l'écriture est légère avec un ton d'humour plaisant. Loin des tests Adn, des lampes fluorescentes, une enquête qui fait appel uniquement à nos cellules grises. Pas mal d'indices qui mènent sur la piste du coupable, si on fait bien attention on peut presque résoudre l'énigme avant Alleyn.

Un cosy mystery fort agréable, une série à débuter sans modération.
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Le jeu de l'assassin 🔪
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Ce tome un narre l'histoire de 6 invités, conviés par un collectionneur d'armes, à participer à une murder party en pleine campagne 🌳
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Mais un cadavre est retrouvé, alors que ça ne devait être qu'un simple jeu de rôle. La victime, Charles Rankin s'avère être un coureur de jupons, du haut de ses 40 ans.
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La liste des coupables se dresse : entre le maître des lieux, le majordome Russe ou encore le mari jaloux.
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Une enquête palpitante, où l'on se prend au jeu d'accuser tous les personnages. Un huit clos oppressant, où se mêlent humour British et scènes sanglantes. Il s'avère être le début d'une saga prometteuse 🔍
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Il m'a beaucoup fait penser aux dix petits negres et j'ai donc beaucoup aimé cette histoire! 🪶
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Et toi, tenté par cette histoire ?
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J'ai beaucoup apprécié ce roman.

Lire un cosy mystère est une grande première pour moi. Moi qui suis fan de thriller et polar, c'est un genre qui change, le genre « Cosy mystery », pourrait se traduire par « enquête douillette » et désigne un sous genre du roman policier, sans violence explicite, bain de sang trop réaliste ou description gore (1). Ce qui est sur ce que ce genre littéraire me plaît et que j'en lirais d'autres.

Pour en revenir au livre, l'histoire est très bien ficelée, car l'on part d'un simple jeu qui va virer au drame : une murder party avec un vrai meurtre. Je me suis laissée emporté par le détective Alleyn dans son enquête, j'avais du mal à suivre, car il fait des choses sans que l'on se doute de la finalité ni de l'utilité de son acte. C'est assez rigolo finalement.

Il faut savoir que ce roman a été écrit en 1934, le style des personnage et d'écriture s'en ressent. Mais cela ne m'a pas déplu. Bien au contraire, ça donne un charme en plus. Les personnages sont des aristocrates, très élégants, avec un humour assez particulier et britannique.

Dans ce récit, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, il y a des actions et du suspens jusqu'à la dernière minute, car impossible de trouver qui peut bien être le meurtrier. Quand j'ai appris, j'en suis tombée des nues, je ne m'y attendais pas.

Un cosy mystery qui vous fera passer un moment agréable.

Réédition d'un roman paru dans les années 30, le jeu de l'assassin marque les débuts d'une série de cosy mystery que je prendrais plaisir à continuer, ayant apprécié la plume de l'autrice et son style assez particulier. Il se dégage, en effet, quelque chose de très théâtral dans la manière dont l'autrice met en scène les personnages, et plus particulièrement, son enquêteur et un journaliste qui, de fil en aiguille, va passer du stade d'invité à une murder party, à celui de suspect avant d'endosser le rôle d'assistant.

J'ai, en outre, été agréablement surprise par l'enchaînement des scènes qui m'a donné l'impression d'assister à une pièce de théâtre grandeur nature, avec des dialogues ciselés, précis et bien souvent relancés par un inspecteur assez insaisissable. Courtois, compréhensif, mais guidé par un instinct affûté et une intelligence froide, Alleyn est le genre de personnes dont il est quasiment impossible de deviner les pensées. Un côté insaisissable qui lui sera fort utile pour enquêter sur les dessous d'une murder party à l'issue mortelle, la personne jouant le rôle de la victime ayant été réellement assassiné.

Qui a pu tuer Charles Rankin, un coureur de jupon bien fait de sa personne, et pour quelle raison ? Est-ce l'un des six invités, l'hôte lui-même, un(e) domestique ou une personne de l'extérieur ? Pour le déterminer, Alleyn n'aura pas d'autre choix que de passer la scène du crime au crible, interroger chacun en essayant de gratter la surface pour comprendre les non-dits et les relations entre les personnes présentes, sans oublier de creuser la piste d'une société secrète russe et d'une arme du crime qui semble susciter les passions et cristalliser les tensions. La tâche est de taille, mais notre inspecteur pourra compter sur son flair de fin limier, son sang-froid et l'aide, entre autres, du cousin de la victime et participant à la muder party, un journaliste qui détonne parmi les autres invités.

Au fil des pages, on voit le duo se former selon une dynamique qui ne sera pas sans rappeler, dans une certaine mesure, celle du célèbre duo Sherlock/Watson, bien que nos deux comparses soient quand même bien moins impressionnants et doués. Mais comme le souligne Alleyn, une tête pensante n'a-t-elle pas toujours besoin d'un faire-valoir pour avoir l'impression de briller ? Si la pique peut-être blessante, elle est dite sans méchanceté et caractérise assez bien l'humour non dénué de dérision d'Alleyn, qui flirte entre le sarcasme et une froideur de bon aloi. D'ailleurs, Nigel ne s'en offusque guère et prend son rôle d'assistant au sérieux : s'il n'était pas proche de son cousin, il aimerait néanmoins en débusquer l'assassin. Et puis, un journaliste, comme un inspecteur, ça aime enquêter… Un point commun qui les rapproche dans leur manière assez froide de considérer la situation.

L'enquête en huis clos se révèle intéressante et dynamique, Alleyn sollicitant régulièrement les invités, parfois de manière peu conventionnelle, tout en prenant le temps de récapituler les faits et son avancée. J'ai apprécié le procédé qui m'a donné le sentiment de participer activement à l'enquête, voire à une murder part en raison du côté très théâtral de la plume de l'autrice et du scénario. le suspense sans être intenable est, quant à lui, au rendez-vous, certains invités ayant un mobile, quand d'autres semblent cacher des informations et/ou réagir de manière suspecte. le parti pris de l'autrice de ne pas développer outre mesure la psychologie de ses personnages leur confère, en outre, une certaine aura de mystère, puisque difficile de savoir qui est capable de quoi.

J'ai néanmoins regretté des personnages féminins assez clichés (le contexte historique et social n'aide pas), bien qu'une femme sorte heureusement du lot. Intelligente, indépendante, conductrice intrépide, voire chauffarde en puissance, et courageuse, Angela n'hésite pas à prendre des risques pour innocenter son amie et aider notre duo Alleyn/Nigel. J'ai d'ailleurs trouvé Angela plus intéressante que Nigel qui m'a semblé avoir tendance à subir les événements plutôt qu'à les anticiper. En ce sens, il respecte parfaitement son rôle de faire-valoir d'un inspecteur, peut-être pas brillant, mais intuitif et méthodique, qui aime ménager ses effets.

J'ai douté jusqu'à la fin du ou de la coupable, éliminant et revenant régulièrement sur des suspects en fonction des raisonnements de l'inspecteur et de ses découvertes... Si j'aurais souhaité une fin plus flamboyante, je reconnais son réalisme notamment quant aux raisons expliquant un crime qui a transformé une soirée de jeu amusante en un véritable drame. Alors un petit conseil, réfléchissez-y à deux fois avant d'accepter de participer à une murder party et plongez-vous plutôt dans ce roman qui allie charme anglais, plume vive et dynamique, meurtre et enquête à la mise en scène très théâtrale !

Je remercie les éditions de l'Archipel pour m'avoir envoyé ce roman en échange de mon avis.
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Belle découverte avec le 1er tome de la saga Les enquêtes de Roderick Alleyn : le jeu de l'assassin de Ngaio Marsh, publié par les éditions L'Archipel. Un cosy-mystery façon Agatha Christie très réussi, qui me donne hâte de lire la suite.

Dans ce roman, nous rencontrons Nigel Bathgate, un journaliste, qui est invité a participer à une murder party dans la maison de campagne d'un riche collectionneur d'armes. Mais la réalité va vite rattraper la fiction quand Charles Rankin, un des participants, va être retrouvé mort.

C'est à ce moment qui nous allons rencontrer l'inspecteur Roderick Alleyn, de Scotland Yard, qui va devoir découvrir qui est le meurtrier, et ce n'est pas les suspects qui manquent entre : le maître des lieux, son majordome russe, le professeur d'origine russe, la maîtresse du défunt, son mari jaloux, la femme que Rankin devait épouser….

Même si le scénario est assez classique, dans une ambiance de huis clos, l'effet est très réussi. L'auteure arrive à laisser planer le doute jusqu'au bout, tous les participants à cette murder party cachent des secrets et sont tous suspects.

Les deux personnages principaux sont très intéressants : Nigel Bathgate a un sens du détail très intéressants et l'inspecteur Alleyn est un drôle de personnage, très doué dans son métier malgré des méthodes pas très orthodoxes mais efficaces. Ils sont tous les deux assez attachants, chacun à leur façon mais c'est dommage qu'ils ne soient pas un peu plus développés, j'espère que le tome suivant nous permettra de mieux les connaître et comprendre.

Belle découverte avec cette auteure que je ne connaissais pas alors qu'elle était, à l'époque, la rivale d'Agatha Christie. Sa façon d'écrire est très agréable et m'a vraiment permis de me plonger dans cette enquête.

Au final, j'ai passé un bon petit moment avec ce livre, l'intrigue est bien menée et ce tome pose les bases d'un duo qui a du potentiel. Je suis curieuse de découvrir ce que la suite va donner.
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La panne de lecture est officiellement terminée grâce à une rockstar du Cosy Mystery : Ngaio Marsh. Je découvre seulement maintenant cette auteure qui a largement gagné sa place auprès de ma chère Agatha.

Le jeu de l'assassin, publié aux éditions l'Archipel, est le premier tome d'une série d'enquêtes menées par l'inspecteur Roderick Alleyn.

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Résumé de l'éditeur

Six invités sont conviés par un excentrique collectionneur d'armes à participer à une murder party dans sa propriété campagnarde.

Seulement, c'est un véritable cadavre qui est retrouvé à l'issue du jeu de rôles… La victime ? Charles Rankin, un quadragénaire aisé et coureur de jupons.

Parmi les coupables possibles ? le maître des lieux, son majordome russe, un professeur d'origine russe, lui aussi, la maîtresse du défunt, son mari jaloux, la femme que Rankin devait épouser….

Parue en Grande-Bretagne en 1934, la première enquête de Roderick Alleyn, de Scotland Yard, aristocrate cultivé et élégant, est à savourer pour son humour à froid so british.

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Une murder party, un poignard aux origines douteuses et des invités qui cachent de lourds secrets… Soyons clair, c'est une intrigue qui commence bien ! Dès les premières pages, l'auteure nous plonge dans une ambiance brumeuse, humide et mystérieuse.

Le jeu de l'assassin, est un roman qui se savoure. On se retrouve hors du temps, sous un plaid et bien loin du monde extérieur. Cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas oubliée dans un roman au point de ne plus savoir quel jour on était. L'auteure nous offre un mystère palpitant. On se prend d'affection pour Nigel Bathgate et son sens du détail, et on découvre avec ravissement Roderick Alleyn. Moi qui pensais que Poirot était loufoque, j'ai fait la connaissance de son rival.

L'inspecteur Alleyn est extrêmement discret, il passe d'un invité à l'autre sans faire de bruit. Ce n'est pas pour autant qu'il ne sème pas la pagaille autour de lui. Nous avons là un adepte de la mise en scène, il ne paie pas de mine (un peu comme Columbo) mais peu à peu on se rend compte qu'il n'a pas un, mais trois coups d'avance sur le meurtrier.

Le duo Alleyn/ Bathgate fonctionne merveilleusement bien et il me tarde de lire la suite de leurs aventures ! C'est un vrai coup de coeur !

Je remercie Mylène des éditions l'Archipel pour cette superbe découverte !

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Bonne lecture à tous !
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