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3,37

sur 141 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Réédition d'un roman paru dans les années 30, le jeu de l'assassin marque les débuts d'une série de cosy mystery que je prendrais plaisir à continuer, ayant apprécié la plume de l'autrice et son style assez particulier. Il se dégage, en effet, quelque chose de très théâtral dans la manière dont l'autrice met en scène les personnages, et plus particulièrement, son enquêteur et un journaliste qui, de fil en aiguille, va passer du stade d'invité à une murder party, à celui de suspect avant d'endosser le rôle d'assistant.

J'ai, en outre, été agréablement surprise par l'enchaînement des scènes qui m'a donné l'impression d'assister à une pièce de théâtre grandeur nature, avec des dialogues ciselés, précis et bien souvent relancés par un inspecteur assez insaisissable. Courtois, compréhensif, mais guidé par un instinct affûté et une intelligence froide, Alleyn est le genre de personnes dont il est quasiment impossible de deviner les pensées. Un côté insaisissable qui lui sera fort utile pour enquêter sur les dessous d'une murder party à l'issue mortelle, la personne jouant le rôle de la victime ayant été réellement assassiné.

Qui a pu tuer Charles Rankin, un coureur de jupon bien fait de sa personne, et pour quelle raison ? Est-ce l'un des six invités, l'hôte lui-même, un(e) domestique ou une personne de l'extérieur ? Pour le déterminer, Alleyn n'aura pas d'autre choix que de passer la scène du crime au crible, interroger chacun en essayant de gratter la surface pour comprendre les non-dits et les relations entre les personnes présentes, sans oublier de creuser la piste d'une société secrète russe et d'une arme du crime qui semble susciter les passions et cristalliser les tensions. La tâche est de taille, mais notre inspecteur pourra compter sur son flair de fin limier, son sang-froid et l'aide, entre autres, du cousin de la victime et participant à la muder party, un journaliste qui détonne parmi les autres invités.

Au fil des pages, on voit le duo se former selon une dynamique qui ne sera pas sans rappeler, dans une certaine mesure, celle du célèbre duo Sherlock/Watson, bien que nos deux comparses soient quand même bien moins impressionnants et doués. Mais comme le souligne Alleyn, une tête pensante n'a-t-elle pas toujours besoin d'un faire-valoir pour avoir l'impression de briller ? Si la pique peut-être blessante, elle est dite sans méchanceté et caractérise assez bien l'humour non dénué de dérision d'Alleyn, qui flirte entre le sarcasme et une froideur de bon aloi. D'ailleurs, Nigel ne s'en offusque guère et prend son rôle d'assistant au sérieux : s'il n'était pas proche de son cousin, il aimerait néanmoins en débusquer l'assassin. Et puis, un journaliste, comme un inspecteur, ça aime enquêter… Un point commun qui les rapproche dans leur manière assez froide de considérer la situation.

L'enquête en huis clos se révèle intéressante et dynamique, Alleyn sollicitant régulièrement les invités, parfois de manière peu conventionnelle, tout en prenant le temps de récapituler les faits et son avancée. J'ai apprécié le procédé qui m'a donné le sentiment de participer activement à l'enquête, voire à une murder part en raison du côté très théâtral de la plume de l'autrice et du scénario. le suspense sans être intenable est, quant à lui, au rendez-vous, certains invités ayant un mobile, quand d'autres semblent cacher des informations et/ou réagir de manière suspecte. le parti pris de l'autrice de ne pas développer outre mesure la psychologie de ses personnages leur confère, en outre, une certaine aura de mystère, puisque difficile de savoir qui est capable de quoi.

J'ai néanmoins regretté des personnages féminins assez clichés (le contexte historique et social n'aide pas), bien qu'une femme sorte heureusement du lot. Intelligente, indépendante, conductrice intrépide, voire chauffarde en puissance, et courageuse, Angela n'hésite pas à prendre des risques pour innocenter son amie et aider notre duo Alleyn/Nigel. J'ai d'ailleurs trouvé Angela plus intéressante que Nigel qui m'a semblé avoir tendance à subir les événements plutôt qu'à les anticiper. En ce sens, il respecte parfaitement son rôle de faire-valoir d'un inspecteur, peut-être pas brillant, mais intuitif et méthodique, qui aime ménager ses effets.

J'ai douté jusqu'à la fin du ou de la coupable, éliminant et revenant régulièrement sur des suspects en fonction des raisonnements de l'inspecteur et de ses découvertes... Si j'aurais souhaité une fin plus flamboyante, je reconnais son réalisme notamment quant aux raisons expliquant un crime qui a transformé une soirée de jeu amusante en un véritable drame. Alors un petit conseil, réfléchissez-y à deux fois avant d'accepter de participer à une murder party et plongez-vous plutôt dans ce roman qui allie charme anglais, plume vive et dynamique, meurtre et enquête à la mise en scène très théâtrale !

Je remercie les éditions de l'Archipel pour m'avoir envoyé ce roman en échange de mon avis.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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J'ai lu quelque part qu'Agatha Christie aimait beaucoup cette auteure. Je me suis donc dit que cela valait le coup d'être découvert. L'intrigue n'est sans doute pas aussi sophistiquée que celle de la reine absolue du roman policier, mais elle est bien construite et la galerie de personnages a quelque chose d'attachant et d'élégant. C'est au final un bon roman qui m'encourage à aller plus loin.
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un cosy crime sympathique. je ne connaissais pas l autrice qui semble avoir été en concurrence avec Agatha Christie.

lors d'une murder party chez Sir Hubert, Charles Rankin est réellement assassiné. sur les lieux, son cousin, Nigel-journaliste, sa prétendante, une ex relation et son mari, quelques amis et une légende sur un poignard russe sacré.

ici est la 1ere enquête de Roderick Alleyn de scotland yard, plutôt bien ficelée.

une lecture sympathique
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Ça ressemble beaucoup à du Agatha Christie, avec un style bien à elle , une écriture simple et efficace .
Roman policier , époque entre les 2 guerres mondiales , un détective de Scotand Gard qui a la première approche à l'air gauche mais qui va révéler avoir un flaire de chien de chasse.
Des invités venus de partout , se connaissant peu pour certains et peut être trop pour d'autres . Un jeu, celui de l'assassin . Un invité est désigné comme étant l'assassin , il doit assassiner ( virtuellement ) un des invités. Puis comme dans un procès, les joueurs doivent découvrir qui est le meurtrier .
Sauf que tout ne se passa pas comme d'habitude...un vrai meurtre a été commis dans la maison et il va falloir trouver rapidement l'assassin .
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Archipoche a la bonne idée de ressortir les polars de grande rivale d'Agatha Christie. En effet Ngaio Marsh écrit du romans policiers à l'anglaise dans la grande tradition du Who's done it?
Mais alors que nous raconte « le jeu de l'assassin »
Angleterre, début des années 1930. Cinq invités sont conviés le temps d'un week-end à participer à une murder party par sir Hubert Handesley, un riche et excentrique collectionneur d'armes. Mais c'est le véritable cadavre de Charles Rankin qui est retrouvé à l'issue du jeu de rôles. Roderick Alleyn, inspecteur de Scotland Yard et représentant raffiné de l'aristocratie anglaise, entre en scène.

Publié en France à la fin des année 80 sous le titre « Et vous êtes prié d'assister au meurtre de... » ce roman policier publié en 1934 est la première enquête de Roderick Alleyn. Avec lui Ngaio Marsh rejoint le trio infernal des Dames Anglaises, excentriques qui ont en commun la religion du Five o'clock tea, j'ai nommé Agatha Christie, Dorothy Sayers, Patricia Wentworth. Elle a aussi en commun avec celles-ci un sens de l'humour à tout épreuve. Et tout cela est très british bien sûr.
l'inspecteur Roderick Alleyn est le petit cousin de Miss Marple , de Lord Peter ou encore Miss Silver en quelques sorte. Il a pour lui qu'il les meilleures manières de tout Scotland Yard. Elégant, courtois, séduisant. Amateur de peinture et de théâtre avec ça, une perfection de détective en somme.
Alors pourquoi bouder son plaisir. Allez découvrir ou redécouvrir la première enquête du très élégant et séduisant inspecteur Roderick Alleyn. « so cute cet british touch ». du cosy mystery avant l'heure

Lien : https://collectifpolar.com/
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Les cosy crimes étant un (relativement nouveau) genre qui assure le succès des éditeurs plus ou moins policiers, plus d'un s'est engouffré dans ce créneau, avec – il faut bien le reconnaître – des couvertures qui se font concurrence à coup de recherche esthétique et/ou d'inventivité. Je n'ai donc pas honte d'avouer que c'est bel et bien la couverture de ce petit livre qui m'a attirée… et puis j'ai découvert qu'il s'agit de la réédition d'un ouvrage paru en anglais dès 1934 ! Il est à noter toutefois qu'il aura fallu attendre un demi-siècle pour qu'il soit (enfin ?) traduit, une première fois, en français. Il paraît ici dans le même texte qu'en 1984 (en tout cas, c'est la même traductrice, et il n'est pas précisé si le texte français a été revu), mais avec un nouveau titre, tout aussi infidèle à l'original (A man lay dead), mais plus court et qui se veut sans doute plus accrocheur.

Tant que j'en suis aux aveux : toute amatrice de polars que je dis être, je n'avais encore jamais lu un seul livre de cette autrice, qui m'était inconnue, pas davantage que de celle qu'on présente comme sa grande rivale (et qui est pourtant beaucoup plus célèbre) : Agatha Christie ! En ce qui concerne cette dernière, c'est même pire : sachant que les diverses adaptation ciné ou téléfilm que j'ai pu voir de l'un ou l'autre de ses livres m'ont le plus souvent ennuyée, je n'ai jamais ressenti d'envie particulière de lire lesdits livres... Ce total manque d'intérêt m'avait fait conclure qu'il ne sert à rien de m'acharner à tenter de lire les classiques du roman policier, puisqu'ils ne m'attirent pas (pour l'instant). Pour citer un autre exemple, dans un style certes bien différent, semble-t-il, et bien plus éloigné du cosy comme on le connaît aujourd'hui, mais ils sont contemporains : je ne suis jamais arrivée au bout d'aucun livre de mon compatriote George Simenon, fierté nationale, dont j'ai pourtant dû lire l'un ou l'autre extrait (je ne me rappelle pas avoir dû lire un livre entier) à l'école autrefois.

Et voici l'inconnue Ngaio Marsh… Sachant que le risque que je n'accroche pas était élevé, j'ai beaucoup hésité à acquérir ce livre, mais évidemment, l'acheteuse compulsive de livres en moi a fini par craquer. Toutefois, comme vous pouvez imaginer, ce livre s'est très vite retrouvé dans le fond de ma PAL. Il a pourtant suffi d'un challenge me proposant de lire un auteur de Nouvelle-Zélande en ce mois de mars, pour qu'il revienne dans la liste des livres à lire à court terme, et c'est maintenant chose faite !
Alors, soyons honnête : ce n'est pas une révélation, je ne vais certainement pas classer ce livre parmi mes coups de coeur de l'année. Cependant, je suis beaucoup moins déçue que je n'aurais craint, et ça, c'est une bonne nouvelle !

Au risque de me répéter : pour l'amatrice de romans policiers et thrillers, ainsi que de (quelques) séries policière télévisées, que je suis, l'histoire d'un homicide réel dans le cadre d'une murder party, ce fameux « jeu de l'assassin », c'est du vu et re-re-vu ! Ngaio Marsh était-elle la première ou, pour le moins, parmi les premiers, à se risquer dans une telle histoire ? Peu importe, en réalité, car il y a 1.001 façons de traiter un tel schéma de départ…

L'autrice a pris le biais propre à son époque : on est dans une grande demeure qui a les allures d'un véritable petit manoir, le maître de maison est un « sir » et ses invités semblent d'un certain niveau social, tandis qu'un nombre assez important de serviteurs divers et variés font tourner la maison – et bien sûr, tous, serviteurs compris, sont autant de suspects potentiels ! Dans un premier temps, j'ai cru que la multiplication des personnages allait être problématique, mais finalement non : Ngaio Marsh a ce véritable don de rappeler, et à plusieurs reprises mais toujours de façon simple et naturelle, qui est qui, au fil de l'avancée de l'enquête par ce fameux inspecteur Alleyn, qui sera semble-t-il le personnage récurrent de la série initiée ici. En tout cas, si je me suis un peu sentie perdue dans les présentations initiales, j'ai très vite réussi à reconnaître les différents personnages et les interactions qu'ils avaient les uns avec les autres.

Pourtant, la psychologie de ces différents personnages n'est guère fouillée, à peine survolée ! On en sait juste assez pour pouvoir les soupçonner (au moins quelques secondes) les uns après les autres ; on se sent un peu plus proche de l'inspecteur Alleyn, du jeune journaliste Nigel Bathgate qui apparaît bien un peu nigaud (en tout cas c'est ainsi qu'Alleyn le qualifie, et il l'en remercie presque !) et de la jeune femme Angela North, particulièrement émancipée pour l'époque – sans pour autant s'attacher vraiment à aucun d'entre eux.
On est plutôt dans un récit qui va à toute vitesse, les scènes se succèdent à un rythme effréné, le plus souvent grâce à des dialogues qui, eux, sont réellement travaillés – on sent tout le travail de celle que Wikipedia présente comme « dramaturge » (et non comme « femme de lettres », ce qui est le cas d'Agatha Christie par exemple). Je ne veux pas débattre ici de la question si une dramaturge est (ou non) une femme de lettres – j'ai envie de dire que oui, évidemment ! – mais clairement, Ngaio Marsh maîtrise l'art de la mise en scène, de l'enchaînement (rapide) de situations qui apparaissent comme très visuelles, grâce à des dialogues parfois saccadés, souvent empreints d'une touche de cet humour pince-sans-rire qu'on qualifie si souvent de britannique. Oh ! il y a bien quelques événements qui nous sont contés au fil de l'histoire, et on voyage à Londres, on retourne au manoir, etc. En outre, on n'évite pas divers questionnements qui apparaissent comme autant de fausses pistes (qui ne m'ont que moyennement convaincue), avec notamment une « composante russe » dont je n'ai pas trop compris l'utilité et qui m'a semblé embrouiller l'intrigue plus qu'autre chose, mais elle ajoute un peu de piquant à l'ensemble. Cependant, j'insiste pour dire que ces dialogues, réellement maîtrisés, sont le moteur principal de ce livre et font avancer l'intrigue.

Ainsi, de scène en scène, on arrive à la résolution de l'enquête, inévitablement très classique. En effet, on est dans un schéma final plus qu'attendu : tandis que les deux acolytes désignés de l'inspecteur continuent de mouliner sans trop rien comprendre (vous aviez dit nigaud, en parlant de Nigel ? et l'image de la femme, même émancipée comme Angela, reste assez archaïque), l'inspecteur Alleyn a quant à lui rassemblé tous les éléments presque en catimini, comme le fin limier au flair exceptionnel qu'il dit être (il y a quelques allusions à sa prétendue grande intelligence), et les expose à l'assemblée qu'il a fait réunir, dans un pseudo-coup de théâtre final au bout duquel le coupable est effectivement arrêté.

Ce n'est donc pas un grand polar qui fait vibrer et/ou frissonner, ce n'est pas non plus un cosy crime exceptionnel ni même agréablement piquant comme ceux qui ont fait le succès du genre dans un décor de village à la Agatha Raisin, de toute façon les repères temporels sont trop anciens, mais c'est une image intéressante de la société aisée de ces années 1930, qui occupe ses week-ends en jouant à une murder party qui tournera mal. le tempo rapide du texte empêche de développer en profondeur la psychologie des personnages, ce qui crée un sentiment de non-attachement, mais l'autrice maîtrise à merveille l'art du dialogue, jusqu'à une résolution classique et attendue, qui donne néanmoins la vague envie de poursuivre la série - avec, je me répète mais c'est ainsi, un grand bravo pour la couverture!
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Les hôtes de Sir Hubert Handesley sont conviés à jouer à un jeu, celui – ci s'appelle le jeu de l'assassin. Pour commencer un faux cadavre, un meurtrier et des participants. Tout cela a l'air super jusqu'à ce qu'on retrouve Charles Rankin réellement assassiné d'un coup de poignard dans le dos. Qui a tué Charles et pourquoi…………Pour l'inspecteur Alleyn ça ne va pas être facile, car au premier abord tous sont coupables. Mais l'inspecteur n'a pas dit son dernier mot.
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Nigel Bathgate est un jeune journaliste anglais invité par son cousin Charles Rankin, un mondain, à une murder party chez un riche collectionneur. ses relations avec son cousin beaucoup plus âgé sont plutôt limités mais il est ravi de se retrouver dans ses week ends très courus. Hélas Rankin va être réellement assassiné. Coureur, celui ci s'est fait de nombreux ennemis chez ses ex et chez les maris. C'est Alleyn, un inspecteur de Scotland Yard qui va devoir enquêter. Il va découvrir que lors de ce week end se trouvaient aussi réuni sous le même toit deux comploteurs russes et que Rankin s'est vanté d'avoir obtenu un mystérieux poignard, objet ô combien symbolique pour ceux ci. Alors crime passionnel, complôt ou autre chose...
Un "whodoit" intéressant qui plante le décor d'une série de plus de 30 tomes. l'intrigue est assez classique, elle se termine par la réunion de l'enquêteur et des coupables potentiels. Ponctués de quelques pointes d'humour bien venues, cette première histoire est plutôt intéressante, l'intrigue est touffue presque trop et les personnages nombreux, ne sont pas très approfondis, en dehors de Nigel, même si on en apprend un minimum. Cela se lit facilement. A suivre.
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Une murder party, quel drôle de divertissement ! Préparez-vous à vivre une soirée inoubliable et morbide !
Les réceptions organisées par Sir Hubert Hendesley sont toujours surprenantes. Cette fois-ci, c'est le jeu de l'assassin qui est prévu pour distraire ses invités.
Un jeu de rôles qui tournera au drame : un des invités est poignardé (pour de vrai !).
A vous de jouer maintenant Scotland Yard !
Un bon policier d'une écrivaine néo-zélandaise, dans la même veine que les romans d'Agatha Christie.

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La toute première entrée de Roderick mais aussi le récit de sa rencontre avec Nigel et Angela. J'ai vraiment aimé le principe du jeu de l'assassin et j'avoue que le huis clos m'a séduite tout comme la personnalité de la victime pour laquelle on a envie de dire " bien fait". J'avoue que l'enquête m'a vraiment passionnée et je n'ai pas trouvé le meurtrier . Comme souvent tout le monde ment et je trouve cela intéressant d'avoir deux intrigues en parallèle qui se croisent. Pour ne pas avoir lu les tomes dans l'ordre, je trouve cela bien de découvrir comment Vassily (oui j'aime ce personnage) est entré au service d'Alleyn ! Je conseille vraiment de lire les tomes dans l'ordre pour suivre les personnages

Ce que j'aime : le huis clos, les tiroirs de l'intrigue

Ce que j'aime moins : la bêtise de notre pauvre Nigel

Pour résumer

Une superbe entrée en matière

Ma note

8,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.co..
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