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C'est toujours avec un sentiment de crainte que je découvre un nouvel Alix, la peur d'être déçu...
Alix a bercé mon enfance et malheureusement les derniers tomes n'étaient pas à la hauteur de mon attente.

Ce trente-septième tome est un retour aux sources...Les couleurs et la mise en pages (Albertini a fait un travail magnifique) sont superbes.

Le scénario de David B. est de qualité bien que parfois confus, j'ai retrouvé Enak tel que je l'aime capricieux, taquin, drôle. Un sentiment mitigé donc même si cette histoire est digne des soixante-dix ans d'Alix et du grand Jacques Martin.
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L'album intitulé Veni Vidi Vici suit le serment des gladiateurs, sans pour autant proposer de lien direct. Cet album s'adressera davantage aux anciens lecteurs plus à l'aise avec les albums historiques.

La quatrième de couverture annonce que l'album va tenter de donner du sens à la fameuse citation que l'on attribue à Jules César. Et de fait, il en sera bien question... en conclusion.

Le scénario sera ici assez classique avec la participation d'un méchant bien connu des lecteurs. Comme annoncé il va être question de conflit, de politique et de religion.

De manière générale, l'on peut se dire que l'album est sympathique, nous permettant de passer un agréable moment, même si celui-ci se révélera assez court. Nous sommes loin de l'approche des anciens ouvrages. le texte ne tiendra pas une si grand place. D'ailleurs le dynamisme sera au rendez-vous.

Même si cette approche reste plus que suggérée (il faudra noter l'apparition de deux servantes dénudées et d'une alliée à la poitrine qui semble n'avoir de cesse que de sortir d'une tunique), certains dessins semblent être là pour faire plaisir aux adultes. le trait, notamment pour ce qui concerne les personnages sera d'ailleurs assez carré, rompant avec l'approche classique.

Sans être le meilleur album, Veni Vidi Vici reste donc un album à découvrir qui n'en demeure pas moins dispensable.
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Alix et Enak sont à Samosate pour dénicher des livres afin de garnir la nouvelle bibliothèque de César. Mais le lieu est mal choisi car il couve une rébellion envers l'empire romain.

Bon... je n'ai pas été emballé par ce nouvel Alix.
Je trouve le scénario tiré par les cheveux, sans intrigue palpitante. Les personnages secondaires comme cette géante ne sont pas du tout exploité et développé.
La seule chose que j'ai trouvé plaisante c'est que les auteurs ont donné à Enak un côté sarcastique qui le rend moins transparent.
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Cet album, sorti à l'occasion des 70 ans de la série a un goût assez étrange. le contexte historique est plutôt pas mal décrit : nous sommes dans le conflit entre Pompée et César, sur le théâtre d'Orient, dans le royaume de Pharnace, fils de Mithridate. Les auteurs décrivent un duo lLix-Enak, dans lequel ce dernier fait beaucoup de remarques acerbes à son compagnon de route. je n'ai pas souvenir de ce fait dans les albums de Jacques Martin. Les dessins sont parfois un peu gauche. Quant à l'histoire, elle de fonde pas mal sur les cultes parfois assez locaux de l'orient, avec un anthropomorphisme de la déesse de la peur qui ajoute un peu de piquant, mais la multiplication des sous histoire dans l'histoire nuit un peu à la lisibilité du tout.
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Vers 47/46 avant JC, après sa victoire à Alexandrie, dont la plus vaste bibliothèque de l'antiquité a disparu dans les flammes, Jules César charge Alix et son compagnon Enak de récupérer le maximum de livres ou de manuscrits pour reconstituer une nouvelle bibliothèque. Alors qu'ils se trouvent à Samosate, une ville d'Asie mineure, ils découvrent un complot ourdi par des partisans de Pompée, à la tête duquel se trouve Pharnace, le fils de Mithridate. Très vite ils vont croiser un adversaire bien connu : Arbacès...
Pour son 70e anniversaire, le héros créé par Jacques Martin dans le journal de Tintin, et de nombreux auteurs et dessinateurs plus tard, s'offre une nouvelle jeunesse avec au scénario : David B. (Pierre-François David Beauchard) et au dessin Giorgio Albertini.

Longtemps j'ai suivi les aventures d'Alix de J. Martin, en commençant il y a plus de 50 ans par Alix l'Intrépide (quel bonheur !), dans une version originale, deux pages en couleurs, deux pages en noir & blanc, que j'ai fait dédicacer par le Maître en personne lors de la sortie de l'album Les Barbares en 1998. Depuis j'ai espacé mes rencontres avec Alix, et plus récemment j'ai renoué avec lui à travers les nouvelles histoires rédigées avec talent par Valérie Mangin et Thierry Démarez, sous le titre d'Alix Senator.

J'ai terminé il y a quelques jours la lecture de ce dernier opus pré-publié cet été dans les pages du Figaro Magazine, et je suis vraiment resté sur ma faim... Côté dessin le trait est souvent malhabile et même si Albertini a voulu se rapprocher des premiers albums, ce qui est le cas pour les trois personnages les plus connus : Alix, Enak et Arbacès, les autres sont souvent exagérés jusqu'au grotesque, et on sent bien qu'il n'a pas l'habitude de pratiquer le dessin académique de Martin. Pour le scénario, un peu décousu, on a beau s'appliquer dès le début, on se perd très vite dans des situations improbables…

Pour paraphraser César je dirai en conclusion : j'ai lu, j'ai relu et j'ai été déçu !
Quel dommage ! Jacques Martin et Alix auraient mérité tellement mieux pour ce soixante-dixième anniversaire.
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Je dois avouer que je suis déçue. Après quelques opus pas si mauvais que cela avec un dessin classique mais relativement solide. Ici effectivement on se rapproche du dessin de la tiare d'Oribal, mais voilà, le dessin que je prefere est celui de Spartacus...Quant au scenario, le titre me semble un peu éloigné de l'histoire, le retour d'Arbaces est une nouvelle fois tiré par les cheveux (d'ailleurs pas d'explication sur ce retour), l'histoire racontée est confuse. Un petit peu d'humour, pas si fréquent que cela dans les aventures d'Alix. Tout comme le Yoko, cette série reste liée à mon enfance, et donc je persiste à les lire...
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Encore une occasion agréable de se remémorer (?) l’histoire de l’Antiquité romaine. Nous voici en 46 avant J.C., en pleine guerre civile entre partisans de Pompée et de Jules César, dont Alix Graccus, notre héros, est un fidèle lieutenant. En qualité de préfet intérimaire, il est avec son ami Enak envoyé en Asie mineure, dans la cité de Samosate, afin d’acheter des livres destinés à garnir la bibliothèque de César.

La ville est en ébullition. Des phénomènes étranges surviennent. Mais surtout réapparaît un vieil adversaire d’Alix : Arbacès, vendu cette fois à Pharnace II, le fils du roi du Pont (Crimée) Mithridate, qu’il a poussé au suicide pour prendre sa place avec l’appui des partisans de Pompée.

Arbacès est à Alix ce qu’est le professeur Moriarty pour Sherlock Holmes. Il apparaît dès le premier album de la série, puis sous divers avatars : prince égyptien dans Le Sphinx d'or, ministre de Sardon dans L'Île maudite, vizir dans La Tiare d'Oribal, chef pirate dans La Chute d'Icare, gouverneur de Khorsabad dans C'était à Khorsabad et Grand Prêtre de Baal dans La Conjuration de Baal. Son objectif est de nuire à Rome par tous les moyens, bien qu'il soit par moments un allié de Pompée, ce qui est le cas dans ce dernier épisode.

Une opération de déstabilisation et de massacre programmé des Romains de la ville de Samosate, mais déjouée par Alix et Enak, hébergés par la veuve Livia, et qui se termine par une victoire éclair de César contre les soldats de Pharnace, malgré ses chars à faux et sa cavalerie lourde des cataphractères.

Ce dernier épisode est un peu confus, même s’il illustre les circonstances qui ont généré la fameuse phrase de César au Sénat : Veni, vidi, vici lors de la bataille de Zéla.

On y découvre des femmes, pas toujours à leur avantage, le scenario se déroule en grande partie dans des souterrains (cela m’évoque mes héros de BD préférés, Blake et Mortimer) et pendant la nuit. Cela ne permet pas d’apprécier le dessin particulièrement fouillé des mouvements de foule et des combats. Une nouvelle figure apparaît, celle d’une géante … La reverrons-nous dans de nouvelles aventures ?

Bref, je n'ai pas vraiment accroché.

Sans doute les auteurs – David B., passionné d’histoire et Giorgio Albertini, illustrateur archéologique, se sont fait plaisir en nous racontant cette histoire fort embrouillée. Je ne sais pas si la jeunesse accrochera – à moins que ce nouvel opus ne soit destiné en priorité aux vieux fans de la série, comme moi… J'ai toutefois bien apprécié l'humour ravageur d'Enak ... que je n'avais pas remarqué dans les aventures antérieures.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Déçu...
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