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4,1

sur 1957 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le dernier Martin-Lugand sur un présentoir à la bibliothèque, je n'ai pas résisté. Pourtant souvent déçue par cette auteure, j'y reviens. Pourquoi exactement, je ne saurais le dire, une belle critique lue récemment, un titre qui interpelle, une belle couverture, ...

Cela commençait bien. Les chapitres alternent entre deux personnages, chacun parlant à la première personne.
Quelque part, un homme perdu, rongé par la douleur, seul avec son piano, près de se tuer, qui hésite, sauvé finalement par la pensée puis la venue de son fils
Autre part, une femme, que l'on devine, en fin de vie, victime d'une maladie qui ne sera pas nommée.

Il est seul, juste son fils pour l'aimer et l'entourer.
Elle a deux soeurs, aimantes, un ex-mari qui est aussi son meilleur ami, une fille étudiante, pleine d'attentions pour elle.

J'ai aimé tous ces chapitres où l'on fait doucement connaissance avec chacun, où l'on découvre leurs failles. Ils ont tous les deux vécus l'amour fou et en sont sortis meurtris.

J'ai été déçue par la suite. Comment en dire plus sans divulgâcher ? Je l'ai trouvée à la fois trop prévisible, et à la fois irréaliste. Je n'ai pas cru à cette séparation sans explication, à ces longues années sans essayer de mieux .comprendre. Et puis cet amour naissant, quelle coïncidence !
Dommage, de beaux personnages au service d'une histoire qui ne tient pas la route, à mon avis.

Noté 3 pour laisser à chacun la possibilité de se faire son opinion, n'est ce pas Paul
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Il y a des jours comme ça, qui commencent sous de bon hospice et puis un grain de sable vient soudainement gripper la machine à bonheur.
Mon rendez-vous avec Agnès Martin-Lugand n'a pas eu lieu.

Peut-être qu'après avoir entendu et lu toutes ces éloges, je m'attendais à un roman d'amour des plus vibrants, comme ceux que je venais de lire. Des belles histoires d'amour-passion, qui parlaient de folie, de fièvre, de désirs brûlants, de sexe, de larmes, avec des mots doux, avec des mots crus qui sentaient à la fois, la transpiration des corps et la désillusion des coeurs.
*

Avec « la Déraison » c'est tout ce que je redoutais d'un roman. Qu'il soit trop cousu de fil blanc, trop prévisible, ce qui a gâché un peu ma lecture.
Il n'a fait que m'effleurer et j'ai ressenti un manque de cohérence et de profondeur.
Son histoire m'a paru improbable, car pour moi, elle n'existe pas dans le vrai monde, avec des êtres qui meurent dans un bonheur absolu, entouré avec des trop-pleins de « je t'aime ».

Certes Agnès Martin-Lugand écrit avec une grande délicatesse, en y mettant beaucoup de sentiments et sa plume est fine et sensible.
Mais parfois cela ne suffit pas !
*

Et puis pour moi, l'auteure a voulu relever deux grands défis.
Déjà celui de décrire les états d'âme d'un homme dépressif et rongé par les souvenirs.

Et là, l'auteure a manqué de vrais mots pour me transmettre la brutalité qu'est une dépression chez un homme.
L'histoire n'a pas eu la moindre résonance en moi !

Et pourtant, la dépression et son amie la schizophrénie, est cette « bête noire » des plus gluantes, qui vient doucement et pernicieusement s'immiscer dans votre esprit. Et lorsque vous vous en rendez compte, il est déjà trop tard.
Cette bête noire, qui vous dépossède d'une réalité pour vous faire basculer et vous engluer dans une autre réalité de vie, où toutes les choses suintent le chagrin, la mélancolie, la tristesse, la grisaille, le disgracieux, l'affreux.
Où il n'y a plus de place pour un seul espoir, une seule envie, un seul sourire.
Une bête sournoise qui vous torture l'âme en vous figeant dans vos souvenirs, en vous faisant ressasser votre passé et vos regrets, jusqu'à l'étourdissement.

C'est elle « l'infâme » qui vous convainc parfois que seule la mort est l'unique option pour vous délivrer de votre souffrance.
*

Il faut des années, des dizaines d'années et parfois une vie entière pour dompter « la bête noire », à coups de désamour, à coups de larmes, à coups de lames de rasoir parfois, à coup de longues journées allongé sur votre lit, à coups de cures de sommeil, à coups de médocs qui vous embrument et vous anesthésient l'esprit, à coup de séances psy.

Il m'a paru bien puéril et illusoire, comme dans le roman, de faire disparaitre une dépression, comme cela d'un seul coup de baguette magique, par un événement émotionnel.
*

Le deuxième défi que l'auteure s'est donné, c'est de parler des sentiments d'une femme condamnée à une mort proche.
Et je me suis posé la question si un vivant en bonne santé était capable d'exprimer au plus près le ressenti d'une condamnée à mort. A moins que cette dernière fasse des confidences.

Agnès Martin-Lugand a bien évoqué ce côté où les personnes bienveillantes et courageuses veuillent cacher leur terreur de mourir, veuillent dissimuler leur souffrance et la faiblesse de leur corps. Veuillent donner une belle image d'elles avant de partir, pour que leurs enfants gardent un beau souvenir, pour ne pas donner plus d'affliction à leur famille, à leurs très proches.

Parce que ce sont eux qui finalement vont rester et vont souffrir.

Mais l'auteure n'a pas abordé toutes les interrogations, toutes les angoisses que nous pouvons peut-être ressentir face à notre mort prochaine et éminente, face à ce vertigineux et grand saut dans l'Inconnu. Face à cette épouvante du vide, du néant.
Parce que la mort n'appartient pas à la vie. Elle est pour certaines personnes « son terminus ». Elle est pour d'autres, un autre état d'être, dans un tout autre lieu, dans une autre dimension.

Et que nous soyons croyants ou pas ne change rien aux grandes questions existentielles que nous nous posons sur la présence du cosmos, sur le mystère de la vie et de la mort.

Peut-être il y aurait de la colère de se dire pourquoi moi ?
De se dire pourquoi dois-je partir dès maintenant ?
Quelle fut la nécessité de ma présence sur terre, si le destin me fait mourir si jeune ?
Qu'est-ce que l'univers ?
Qu'est-ce que la vie ?
Qu'est-ce que la mort ?
Pour quelle raison, dans quel but l'existence du monde des vivants ?
Qui crée l'existence et pourquoi ?
Quel est le sens de la vie ?
Qu'est-ce que le temps ?
Peut-on quantifier ce que représente une seconde ?
Qu'est-ce que l'âme éternelle ?
Que représente un souffle de vie par rapport à une éternité ?
*

Qui suis-je ?
Pourquoi toutes ces questions ?
Combien d'années me reste-il avant de rencontrer « la Grande Faucheuse ».
Combien de livres aurais-je encore le temps de lire.
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Encore une célèbre auteure que j'ai découvert grâce à un livre audio, lu par Bénédicte Charton et Yann subberg, j'aime particulièrement quand il y a deux lecteurs, c'est très agréable et plus naturel d'entendre chaque personnage incarné par quelqu'un de son sexe, on se sent plus immergé dans l'histoire. Ces deux acteurs ont tout à fait la bonne intonation pour nous entraîner sur les traces de Madeleine et de Joshua.

Dans ce roman choral, nous suivons alternativement Joshua, un pianiste qui ne joue plus et songe à se suicider car il a perdu son grand amour vingt sept ans plus tôt, il vit dans une maison au fin fond de la Bretagne, sous la surveillance de son fils, Nathan, dix-neuf ans qui le surveille pour l'empêcher de boire et d'attenter à sa vie.

Madeleine vit à Paris où elle a elle a crée une agence de voyage avec Vasco, son ex-mari devenu son meilleur ami. Ils ont une fille de dix-huit ans, Lisa. Madeleine a un cancer qu'on ne peut soigner, elle s'apprête à quitter toutes les personnes qui ont fait sa vie. Elle a connu un grand amour avant Vasco dont la perte a brisé sa vie. Lisa ne sait rien de cette histoire et sa mère n'aimerait pas qu'elle l'apprenne de son père ou de ses tantes après son départ. Aussi décide -t'elle de l'emmener dans la maison de famille au fin de la Bretagne dans laquelle elle n'est jamais retournée et que Lisa ne connaît pas.

Jusque là le roman sonne vraiment juste, les sentiments des deux personnages principaux sont bien décrits et étayés, Madeleine est très crédible dans sa volonté de ménager sa famille qui continue à nourrir un espoir fou, pourtant elle est lucide, et sa famille aussi quand ils veulent bien regarder la réalité en face. Malheureusement lors de l'arrivée en Bretagne, on sombre dans le roman à l'eau de rose qui décrédibilise tout le reste : Joshua se trouve évidemment sur la même plage et Madeleine reconnaît qu'elle n'a aimé que lui, c'est parti pour une fin bien larmoyante, sans compter que les deux enfants tombent amoureux l'un de l'autre pour en rajouter une couche.

Je trouve qu'on a vraiment deux qualité d'écriture dans ce roman, le début et le milieu sont convaincants et m'ont plu, mais la fin si cousue de fil blanc m'a franchement énervée. Si Madeleine est très réaliste et crédible on peut quand même douter fortement de Joshua. D'accord que c'est un artiste et on peut penser que ces personnes ne réagissent pas comme le commun des mortels, mais comment croire qu'un homme puisse déprimer durant près de trente ans pour avoir été quitté par son amour de jeunesse ? Qui peut croire à une histoire pareille franchement ?

L'écriture est fluide et agréable, dommage qu'elle ne soit pas mise au service d'un projet plus cohérent. Un grand merci à Lizzie et Netgalley pour leur confiance.

#Ladéraison #NetGalleyFrance !
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Une histoire d'amour qui ne m'aura pas convaincue comme dans les précédents romans de l'auteure. On y rencontre deux personnages Joshua et Madeleine, le premier qui veut sauter de la falaise, la deuxième qui est mourante. On se doute que ces deux personnages sont liés et c'est lorsque la fille de Madeleine lui demande de tout lui raconter de son passé que l'on va comprendre comment.
J'ai bien aimé ma lecture, c'est fluide, intrigant. Mais par contre, pas vraiment convaincue par l'histoire d'amour, enfin plutôt par la séparation ( on le sait depuis le début qu'ils ne sont pas ensemble). Sur le coup je comprends mais ensuite que ce soit définitif ce n'est pas très logique vu comment est décrit leur amour. Comme c'est la trame du roman du coup c'est une lecture en demi-teinte pour moi.
Challenge coeur d'artichaud 2023
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la sortie d'un livre d'Agnes Martin Lugand est toujours un grand moment pour moi. Ce sont des livres humains et psychologiques qui nous entraînent dans son monde. Avec la déraison, le livre est bien moins optimiste. il y est beaucoup question de mort. certes, il y est aussi question d'un amour conditionnel entre deux êtres : l'un rongé par le cancer, l'autre par le remords. et ce livre raconte leur dernière rencontre. Les sentiments y sont très présents mais malgré tout, les sensations du
lecteur restent moins imprégnées et plus superficielles. Je m'y suis moins retrouvée …
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Agnès Martin Lugand publie La déraison aux éditions Michel Lafon et nous offre un récit profond et sensible.
La déraison est un roman choral où nous suivons alternativement deux protagonistes au fil des chapitres.
Nous rencontrons Madeleine qui vit à Paris, elle tient une agence de voyage avec Vasco, son ex-mari qui est devenu son meilleur ami. Ensemble, ils ont une fille Lisa. Madeleine est malade et en fin de vie. Elle part avec sa fille et revient sur sa jeunesse lors d'un voyage dans une maison de bord de mer où elle avait passé un bel été.
Joshua, un pianiste, vivant avec son fils Nathan en Bretagne. Rongé par la tristesse, Joshua est un homme brisé et noie son chagrin dans l'alcool. Nathan fait tout pour le sortir de cette spirale et tente par tous les moyens de le soutenir. L'un qui veut se suicider et l'autre qui est condamné, le lecteur accompagne ces deux êtres unis par un lien puissant au fil des pages.

Une jolie couverture.
Un titre attrayant.
Un résumé prometteur.
Chaque année je suis impatiente de lire cette autrice mais avec La déraison, la magie n'a pas opéré.

Malgré une plume poétique et emplie d'émotions, ça n'a pas suffit pour que je me laisse captiver.
Un début lent et une fin trop rapide à mon goût. Une histoire prévisible. Il m'a manqué de profondeur et je ne me suis pas attachée aux personnages. Malheureusement, je n'ai pas été touchée par l'histoire malgré une thématique forte et poignante.
C'est fluide, c'est doux et poétique mais ce roman ne fait pas partie de mes préférés.

Il me tarde de lire le prochain roman de l'autrice.

Lien : http://juliechronique.fr/202..
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Avis à contre courant !

Je suis passée complètement à côté du dernier roman d'Agnès Martin-Lugand.
J'avais pourtant adoré La Datcha (mais pas du tout Nos résiliences). A croire que c est une fois sur 2.

Le sujet est émouvant, dramatique.
Elle va mourir et veut confier à sa fille, le secret de son passé. Elle l'emmène sur les terres de son enfance. Lui, dérive dans sa vie, s'y raccroche tant bien que mal.

Je ne sais qu'ajouter de plus, tant je me suis sentie à distance de l'histoire, des personnages.
Les avis sont ultra positifs, donc faites votre propre avis.
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Il me reste la Datcha à lire de cette Auteure que je lis depuis ses débuts. Depuis "les gens heureux lisent et boivent du café ".
La Datcha est dans la Pal de ma fille et j'attends qu'elle le lise pour lui emprunter.
Après "nos resiliences " avec lequel ma déception avait grandi, je m'étais fait la réflexion, qu'il me fallait arrêter, laisser du temps, que mes rencontres avec l'auteure étaient moins magiques, moins satisfaisantes, que le rythme d'un roman par an, réduisait, à mon sens, la richesse, des personnages, l'approche délicate et complète, que je ne pouvais continuer à rechercher à chaque livre, les sensations éprouvées pour le 1er, le second, puis chaque fois un peu moins...
Mais je rentre dans ma librairie, je vois son nom, le titre, la photo de couverture et je ne résiste pas... qui sait, la magie est peut-être dans celui-là ?
Encore une fois, non...
Des ingrédients intéressants qu'on aimerait creuser un peu plus, la fin de vie, la dépression, les relations mère fille, père fils, l'importance d'un lieu, les souvenirs, ...
Mais tout est survolé, prévisible, impossible, cousu de fil blanc.
On sait qu'on aurait pu pleurer, ou au moins être ému aux larmes, on sait qu'on aurait pu être embarqué, et on reste en dehors, seul et triste, de ne pas vibrer sur les notes de piano, sur le bruit des vagues, sur la peine des enfants, sur l'amour incomparable de ces 2 êtres...
L'une condamnée par une maladie incurable...
L'autre englouti par une dépression chronique terrible dont il semble difficile de se relever si aisément dans de telles conditions...
Bref je n'y ai pas cru, et je le regrette...
Je me répète mais j'implore les maisons d'éditions de ne pas contraindre les auteurs à écrire un roman chaque rentrée littéraire.
C'est condamner les auteurs à produire sans trop de talent, et faire des romans qu'on dévore sans faim, et que l on oubliera aussi vite qu'on les a lus...
Laissez leur le temps...
J'ai mis 3, mais j'aurais pu mettre 2 et surtout je sais qu'il y avait matière à ce que je mette plus...
Je suis attachée à cette Auteure, mais triste d'être tant déçue...
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j'aurai -une fois de plus- un avis plutôt mitigé pour le dernier roman d'AGNES MARTIN-LUGAND.

Avec un thème pourtant émouvant je ne suis pas parvenue à ressentir une once................d'émotion.

Les 15 premiers chapitres m'ont ennuyé, je ne comprenais pas le lien qu'il pouvait y avoir entre Joshua et Madeleine.

Autant le roman "les derniers jours de Rabbit Hayes" sur le même thème m'avait bouleversé autant "la déraison" m'a laissé de marbre.

Peut être est ce parce que je deviens plus difficile ou bien que ce genre de littérature ne m'attire plus ?

Malgré tout la plume de cette auteure reste pleine de sensibilité et de poésie et je comprends qu'elle plaise à un grand nombre de lecteurs mais en ce qui me concerne l'histoire de ce roman ne m'a pas conquise.
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J'ai beau avoir beaucoup aimé les précédents romans de l'autrice (du moins ceux que j'ai lus), j'ai un avis contraire sur celui-ci qui m'a déçue. Je l'ai trouvé terriblement ennuyeux, et même si la plume de l'autrice reste délicate, cela ne m'a pas suffi.

Le roman est court, et j'ai malheureusement trouvé le début très laborieux. On ne comprend le lien entre les deux personnages, dont les points de vue s'alternent tout au long du livre, qu'au tiers de celui-ci; déjà, cela ne laisse que peu de place aux révélations et évolutions des personnages. Mais surtout, il ne se passe absolument rien dans ce roman jusqu'au trois quarts du récit ! Quel ennui, mais quel ennui ! Pour une fin en plus, convenue, voire improbable par certains aspects…

J'ai certainement été déçue par ce livre, mais pour le coup, peut-être encore plus par l'autrice. J'ai l'impression qu'Agnès Martin-Lugand a trouvé sa recette pour faire un succès : un roman à l'écriture délicate, avec des accents de romance dramatique. Et bien moi, ça ne me suffit plus. Proposer de suive un personnage sur le point de mourir sous une jolie plume, cela ne suffit plus à me faire apprécier un livre. En terminant ce livre, j'ai clairement eu l'impression que l'autrice avait fait son job, mais se reposait sur les lauriers de son succès. Et ça m'a presque mise en colère…

Je comprends que des lecteurs puissent être touchés par cette histoire, mais pour moi, les ficelles étaient bien trop énormes : un personnage mourant, des au revoir à mener avec des enfants, une histoire d'amour dramatique, un autre personnage en dépression. Tout était gros, évident, sans surprise et très long. Je ne peux nier que la plume de l'autrice est très jolie, pleine de délicatesse, mais quand l'histoire ne suit pas, cela ne suffit pas.

C'est la première fois que je suis déçue par un roman d'Agnès Martin-Lugand, et j'espère que c'était la dernière…
Lien : https://matoutepetiteculture..
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